Balder Ex-Libris - Amaudruz Gaston-ArmandReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearAmaudruz Gaston-Armand - Le peuple russe et la défense de la race blancheurn:md5:1a7014a450601f7323359a2b7e968c5d2018-09-09T15:31:00+01:002021-12-15T02:00:16+00:00balderAmaudruz Gaston-ArmandAustraliaBrazilChinaConspiracyEuropeEx-LibrisGermanyHaitiJapanJewLybiaRacesRacialismeRussiaRussieUnited StatesVatican <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Amaudruz_Gaston-Armand_-_Le_peuple_russe_et_la_defense_de_la_race_blanche.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le peuple russe et la défense de la race blanche</strong><br />
Année : 2000<br />
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Bien qu’il soit hasardeux de commencer par une notation subjective, je ne peux m’empêcher de penser au merveilleux choeur de paysans dans Ivan Soussanine de Glinka : une musique venue de l’âme et qui émeut l’âme. Certes, la littérature émane d’une élite naturelle, mais la musique va plus profond, elle plonge ses racines dans le peuple lui-même. Le folklore, qui inspire jusqu’au plus grand compositeur, révèle une réserve de force morale. Voilà pourquoi je suis sûr que le peuple russe jouera un rôle de premier plan dans la défense de la race blanche. Divers auteurs d’avant et d’après-guerre, assimilant Russie et URSS, pensaient qu’une dissolution des forces vives par métissage avec les populations turco-tatares et mongoles de l’empire stalinien se produirait inévitablement. Ils n’ont pas prévu le déclin soviétique. L’éclatement de l’URSS, désastreux sur le plan mondial, a au moins eu l’avantage de diminuer le risque de métissage du peuple russe, alors que ce risque s’aggravait de façon dramatique en France, en Italie, en Angleterre, au Portugal, aux Pays-Bas et même en Suisse. De plus, en Occident, le danger apparaît sous sa forme biologiquement la plus négative : l’immigration nègre. Comme le savent les anthropologues, les différences physiques entre grand-races vont de pair avec des différences psychiques. Réunir en un seul individu les caractères psychiques du Blanc et du Nègre conduit à un être déchiré entre des aspirations contraires et incapable de réaliser sa propre unité. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - Nous autres racistesurn:md5:1829176afc0583f262761f0e8bab93b52013-01-04T14:05:00+00:002021-12-16T00:37:35+00:00balderAmaudruz Gaston-ArmandEugénismeEuropeEx-LibrisNouvel Ordre EuropéenRacialisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Amaudruz_Gaston-Armand_-_Nous_autres_racistes_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Nous autres racistes Le manifeste social-raciste</strong><br />
Année : 1988<br />
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DÉFENSE DE LA RACE - Dans l’histoire contemporaine, il n’y a guère de vocable qui soulève autant d’émotion et de peur que celui de racisme. Aucun n’engendre plus d’infantilismes et de lâchetés. Aucun problème n’est plus fatal ou plus provocant que le problème racial. Et pourtant, le destin de l’humanité ne dépend que d’un examen approfondi de ce problème et de sa seule, unique et indispensable solution. Il est vrai que le mot racisme a été galvaudé, détourné de sa conception véritable par des dilettantes ou des maniaques, et l’on se croirait bien inspiré de l’abandonner. Ainsi, nous pourrions remplacer le mot « racisme » par celui de « racialisme » afin d’échapper peut-être à la mauvaise presse. Mais cela ne nous mettrait pas à l’abri d’une nouvelle déformation et ajouterait au mal de notre temps (où la valeur et le sens des mots sont tombés dans une confusion pénible), tout en donnant raison à nos ennemis. De plus, cette adaptation au milieu démocratique serait suspecte à plus d’un point de vue. Or, l’honnêteté la plus élémentaire exige plutôt que nous rétablissions la signification du mot racisme dans sa pureté. Tout d’abord, nous condamnons la discrimination. Le fait de maltraiter un individu à cause de sa race, de sa couleur, de son parler ou de sa religion est très injuste. Tout le monde peut être d’accord sur ce point. Par contre, peu de personnes se rendent compte de l’effroyable danger engendré par l’antiracisme systématique. La maladresse et la déloyauté qui caractérisent les politiciens ont obscurci et déformé cette situation. Ceux qui refusent d’affronter ce sujet capital combattent en réalité contre ceux qu’ils croient défendre. Nous constatons qu'il existe, à l’échelle mondiale, un complot lucide qui tente de faire un seul monde en recourant à l’intégration raciale. Or, dans tous les pays où l’on a imposé cette intégration, il en est résulté une plus grande discrimination que jamais. Les individus sont ainsi poussés à la révolte extrême avec tout ce que cela comporte de ressentiments, d’amertumes, de haines et de tueries. Nous constatons aussi que le fait racial est à ce point puissant que le mal subsiste même là où le mélange est admis, car chaque degré de métissage fait naître souvent une nouvelle classe sociale. Dans le domaine social, les esprits superficiels et les bien-pensants infantiles sont devenus des jouets entre les mains de dirigeants qui incitent à la violence raciale ... au nom de l’amour universel ! Il est grand temps que les populations prennent conscience de l’insondable imbécillité de ces tentatives faites sous le couvert de l’ « amour universel ». En effet, le sort de l’Homme est en jeu ! Le respect de l’héritage biologique est un principe qu'il est impossible de ne pas prendre en considération lorsqu’il s’agit de l’évolution de l’homme. Ceux qui, au nom de la « fraternité humaine », effacent le patrimoine héréditaire d’un trait de plume, ne l’empêchent pas d’agir. En effet, la Nature punit les violations des lois de la vie, et les antiracistes travaillent à leur disparition même en nous combattant. Que cette réflexion, au moins, les pousse à tolérer nos idées et à respecter la liberté d’opinion dont ils se réclament. Le bien-être de l’humanité dépend du bien-être de chaque race et réciproquement, car l’un ne peut vraiment pas s’épanouir sans l’autre. Le raciste chasse le mot égalité de son vocabulaire. L’idée même d’égalité est une absurdité. Les hommes sont par essence inégaux tant au physique qu'au moral. Il en est de même pour les races. Le raciste sait fort bien que ce que les démocrates appellent préjugé est un réflexe défensif normal, communautaire, et qu'il appartient à chaque race. On ne peut résoudre dans l’harmonie géographique et la paix les problèmes qui s’attachent à l’idée du Sang qu'en travaillant dans le sens d’une conscience raciale éclairée. Dr Jacques Baugé-Prévost, Psy. M.D., N.M.D. Directeur. Institut Supérieur Des Sciences Psychosomatiques, Biologiques et Raciales. AVERTISSEMENT. Par cette présentation et ce commentaire, l’auteur n’engage que lui-même. Alors que le Manifeste social-raciste est une oeuvre collective, élaborée dans le cadre du Nouvel Ordre Européen, le présent ouvrage, par ses dimensions, ne peut pratiquement pas l’être. Néanmoins, de nombreux amis ont apporté de la documentation, des conseils, des idées. Nous devons beaucoup, par exemple, à notre camarade Aryas, collaborateur dès le début à l’ « Europe réelle », périodique de combat pour un nouvel ordre européen. Mais si l’auteur n’engage que lui-même, il s’est efforcé de rester dans la ligne des Déclarations du Nouvel Ordre Européen , lesquelles, depuis 1951, expriment les idées communes d’une équipe sociale-raciste d’Europe et d’outre-mer. En 1969 à Barcelone, à sa Xe assemblée, le Nouvel Ordre Européen, faisant suite à une proposition du Mouvement celtique, a chargé les camarades du Québec d’établir l’ « Institut Supérieur des Sciences psychosomatiques, biologiques et raciales » , afin de promouvoir le social-racisme à l’échelle mondiale. La même année, cet Institut publiait son premier livre : « Précis de Biopolitique », par Jacques de Mahieu , directeur de l’Institut de Science de l’Homme, de Buenos Aires, ancien recteur de l’Université argentine des Sciences sociales. Il s’agit là d’un ouvrage d’extrême avant-garde, résumant quelque vingt années de recherches scientifiques et philosophiques et ouvrant à la biopolitique une foule de perspectives capitales nouvelles. Notre travail, lui, se propose un objectif plus modeste : fournir aux racistes des répliques aux objections des antiracistes. Aussi avons-nous évité parfois des thèses encore controversées, pour nous en tenir aux résultats les plus solidement acquis. Cependant, nous avons cherché à dépasser l’actualité en pensant rendre service aux racistes de la prochaine génération. Lausanne, 1970. AVANT-PROPOS Depuis quelques années, un drapeau a été déployé sur le monde. Ce n’est pas celui d’une nation, ce n’est pas celui d’un parti mais celui d’une nouvelle sorte d’hommes, armés d’une connaissance nouvelle et qui appartiennent à toutes les nations blanches : ces hommes sont les racistes. René Binet. L’ONU, L’UNESCO, les grands partis « démocratiques », diverses institutions protestantes, jusqu’à la Fédération luthérienne, réunie à Evian (et trahissant Luther), une foule d’associations culturelles, de municipalités, d’assemblées législatives, jusqu’au Grand Conseil du canton de Vaud en 1962, une nuée de « personnalités » de tout poil, professeurs, scientifiques, écrivains, artistes, pitres, sportifs, prédicateurs, du haut de leur imbécillité individuelle ou collective, ont solennellement condamné le racisme. Au nom de la démocratie, de l’humanité, de la liberté d’opinion, ces millions de bouches déversent et la haine et la bave, réclament — et obtiennent parfois — la mise hors la loi des « criminels » racistes, l’interdiction de leurs écrits et de leurs paroles, faute de pouvoir les traduire devant un tribunal de Nuremberg et les envoyer au gibet. Autour du nouveau drapeau qui flotte parmi cette haine, quelques hommes : nous autres racistes ... Au dehors, les hurlements du désordre et de la décadence ; en nous-mêmes, le calme. Car nous savons. Nous savons la modernité malade. Sa maladie, elle l’appelle civilisation, progrès, démocratie — sans s’apercevoir que ses seuls progrès se font en direction du tombeau. Elle aspire au bien-être, au « bonheur » ; elle voudrait supprimer la souffrance et, si possible, la mort. Idéaux typiques d’un taré mal à l’aise dans sa peau, profondément malheureux de ce qu’il est, souffrant de ses propres contradictions et terrorisé par la mort qu’il sent déjà rôder autour de lui. L’homme moderne parle d’humanité, de fraternité, d’amour du prochain, de paix, de non-violence, alors qu’il crève de haine. Haine de tout ce qui est sain, noble, fort, généreux, créateur, beau, pur. Haine de la volonté, haine de l’honneur. Nous savons d’où vient le mal et, seuls, nous en connaissons le remède. Mais nous, minorité raciste, dispersés de par le monde, nous ignorons encore si notre génération sera en mesure d’administrer ce remède. Car notre savoir est peu répandu et nous avons à surmonter le barrage de l’erreur et de la calomnie. Aussi, notre petit livre ne s’adresse pas seulement aux générations actuelles, mais à celles qui suivront. Nous savons que l’antiracisme, cette forme militante de la décadence, conduit aux grandes catastrophes. La Chine, en un effort exemplaire, s’est dotée de toutes les armes modernes qui, sitôt produites en quantités suffisantes, permettront aux Jaunes de se répandre sur toute la Terre. Et si quelque miracle, in extremis, écartait ce péril, les contradictions internes des démocraties ploutocratiques ou communistes auraient tôt fait d’amener d’autres désastres, pensons par exemple aux grandes famines sur une planète surpeuplée, à la pollution de l’air, de l’eau et du sol qui, certaines limites franchies, pourrait supprimer d’un coup des populations entières ; pensons aussi à l’inexorable dégénérescence des nations « civilisées », qui pourrissent littéralement sur place jusqu’au jour où un simple souffle les balaiera. Lecteur, garde ce petit livre dans ta bibliothèque ... il s’adresse peut-être aux survivants du XXIe siècle ! INTRODUCTION. Le racisme est vieux comme la vie. En tant que comportement visant à éliminer les porteurs de tares (exemple-type : les guerres entre rats), un racisme instinctif se retrouve à tous les échelons du monde animal. Devenu conscient chez l’homme, on le rencontre déjà dans la préhistoire, puisque l’agriculture et l’élevage n’ont pu progresser que par des mesures délibérées de sélection fondées sur une longue observation de la nature. On ignorait évidemment les finesses de l’hérédité, mais on en devinait les lois principales et, surtout, on les appliquait avec succès. Pour l’Antiquité, rappelons simplement l’exposition des enfants chez les Grecs qui, par là, transposaient à l’homme des méthodes éprouvées en élevage. Fondée sur l’hérédité, la noblesse médiévale s’est montrée raciste à sa manière. Entre temps, la pensée philosophique avait découvert quelques bribes théoriques de racisme. Ces éléments s’additionnent : on en trouve déjà d’appréciables ensembles chez Kant, Goethe ou Schopenhauer. Le temps des précurseurs commence. Fabre d’Olivet, dans son Histoire philosophique de l’Humanité, constate, à l’étude des plus anciens textes religieux et légendaires, que tous relatent le choc d’une race venue du nord (appelée boréenne) avec une autre venue du sud (dite sudéenne), et il en tire des conclusions dont certaines nous surprennent par leur clairvoyance. En 1824, il est assassiné par une secte opposée à ses vues. Entre temps naît la biologie de l’hérédité : Mendel en est le père. Darwin tire les premières conclusions théoriques des vieilles méthodes pratiquées par les éleveurs. L’anthropologie prend son essor avec Virschow et Quatrefages. Parallèlement aux scientifiques (dont on retrouvera facilement les oeuvres dans la littérature spécialisée), les précurseurs, utilisant aussitôt les apports de ceux-ci, ouvrent la voie au racisme moderne. Nietzsche démonte les mécanismes de l’antisélection dans la décadence moderne. Gobineau fait époque en analysant l’histoire sous l’angle racial, mais sa conception des « races pures », aujourd’hui insoutenable, l’a conduit à un pessimisme désespéré. Vacher de Lapouge, indépendamment de Nietzsche mais avec plus de précision, a montré le rôle sélectif des structures sociales. Après les précurseurs, les continuateurs : Houston Stuart Chamberlain corrige Gobineau : il insiste sur les facteurs contribuant à la formation de races nouvelles : isolement d’une communauté, sélection, mélange racial avant l’isolement (étant donné que tout mélange ne « réussit » pas). Au XXe siècle, la génétique ouvre de vastes horizons. L’étude des jumeaux établit l’énorme importance de l’hérédité psychique. La France continue de produire des auteurs de premier ordre, comme G. Montandon, A. Carrel et A. de Chateaubriant. Mais le racisme trouve des moyens de diffusion supérieurs en Allemagne et en Italie avec le national-socialisme et la fascisme. Günther et von Eickstedt assurent avant tout le fondement anthropologique du racisme et Rosenberg jette les bases critiques de la connaissance et de la culture (il fut pendu en 1946 par les vainqueurs de la deuxième guerre mondiale). L’apport italien est beaucoup moins connu, mais cela vaut la peine de lire à ce sujet « Saggi sulle teorie etiche e sociali dell’Italia fascista » par A. James Gregor qui rend justice à Giovanni Gentile et souligne l’originalité du racisme italien. En 1945, la victoire des « démocraties » fut aussi celle de l’antiracisme et de sanglantes épurations se prolongèrent sur le plan des propagandes par un tir de barrage. Néanmoins, en France, René Binet publiait en 1950 Théorie du Racisme ; il fut l’un des cinq membres fondateurs du Nouvel Ordre Européen en 1951 et écrivit encore Socialisme National contre Marxisme. En Allemagne, Friedrich Ritter éditait lui-même les trois volumes de Das offenbarte Leben dont nous parlons plus loin. De même, en 1969, Jürgen Rieger éditait un opuscule Rasse, ein Problem auch für uns. En Italie, Julius Evola, par de nombreuses oeuvres, a maintenu le flambeau après guerre ; mentionnons encore les articles de Gamma dans la « Legione » et ceux de Pino Rauti dans « Ordine Nuovo ». En Amérique, biologistes et anthropologistes repoussaient victorieusement l’offensive de l’UNESCO. À côté de Grégor, déjà cité, des noms comme Garrett, Gates et Swan ont franchi l’Atlantique, et nous demanderons à nos amis du Nouveau-Monde, mieux placés, de compléter notre bref aperçu. Aujourd’hui, passant outre aux tabous du jour, les scientifiques se sont tranquillement remis au travail, et une équipe encore restreinte de racistes a repris le sien. Mais les « démocraties », après l’échec des épurations et de la terreur d’après guerre, chercheront d’autres armes contre des idées d’autant plus dangereuses pour elles qu’elles n’en ont aucune à opposer. Nous sommes curieux de voir ce qu’elles trouveront. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - Réflexions Décembre 2008urn:md5:46726568998182874044ef0afb366f732012-04-25T17:15:00+01:002013-11-19T00:42:22+00:00balderAmaudruz Gaston-ArmandEuropeFranceRacialisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Amaudruz_Gaston-Armand_-_Reflexions_Decembre_2008_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Réflexions Décembre 2008</strong><br />
Année : 2008<br />
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Nos réflexions de 2005 ne prévoyaient pas la si brusque aggravation du chaos et de l’incertitude : Soudain, en été 2008, éclate aux Etats-Unis la ‘‘crise subprime’’, puis la ‘‘crise financière’’ et déjà l’on parle de la crise tout court, comme en 1929. Aujourd’hui, la crise ne se limite pas aux seuls Etats-Unis, mais gagne les satellites de la Maison-Blanche ou, si l’on préfère, les protectorats du Pentagone. Et même le reste du monde en ressent le contre-coup. Différence spectaculaire d’avec 1929 : Au lieu de laisser les banques sauter (les épargnants perdaient leurs économies), l’Etat américain renfloue ces banques à coups de centaines de milliards de dollars. Les Etats vassaux imitent leur suzerain. Même la Confédération helvétique injecte 60 milliards de francs dans une Union de banques suisses (U B S) moribonde !... Autrement dit, on épargne les épargnants, mais on répartit les pertes sur l’ensemble des contribuables. Rien de gagné pour la communauté nationale, mais le désastre a meilleure façon. En outre, on aura fourni à quelques filous le moyen rêvé d’échapper aux conséquences de leurs actes. Depuis 1945, les ‘‘démocraties libérales’’, pour justifier leur politique monétaire, ont invoqué la doctrine de lord Keynes qui, mort en 1946, ne pouvait plus protester contre les interprétations abusives. Keynes, en effet, préconisait la création de monnaie dans la mesure où augmente la population. Il n’y aurait pas d’inflation, puisque l’offre et la demande croîtraient en même temps. Résultat : Les disciples de Keynes, plus hasardeux, justifiaient une légère hausse des prix, donc une légère inflation par le plein-emploi. Cela contrairement à l’Ecole de Lausanne qui, de Pareto à Oulès, exigeait une politique monétaire stabilisant le niveau général des prix et, par conséquent, l’équilibre des contrats. Le keynésisme sans Keynes repose finalement sur le postulat absurde d’une croissance indéfinie des populations. La Terre, non extensible, limitera tôt ou tard la croissance. Les keynésiens foncent droit dans le mur. À noter que la création de monnaie appelle une immigration compensatoire. Ce qui réjouit un patronat négrier et des ‘‘sociaux-démocrates’’ escomptant l’appui électoral des allogènes, une fois ceux-ci naturalisés. Quant aux dirigeants états-uniens, s’ils ont encore une ombre de bon sens, ils remettront à plus tard une hégémonie mondiale au-dessus de leurs moyens. D’où, pour les peuples de la planète, un répit inespéré, peut-être d’une dizaine d’années. Les Blancs d’Europe sauront‑ils en profiter pour reprendre des forces, donc pour s’armer, afin de rentrer en scène après une absence de soixante ans ? Il est permis d’en douter à la lumière de l’après-guerre. L’Allemagne et l’Autriche, ligotées par les vainqueurs et leurs larbins, ne peuvent presque pas bouger. La France, sous le coup d’une énorme immigration africaine qui la rend chaque jour un peu moins française, peut-elle encore se ressaisir ? Même question pour l’Italie et l’Espagne. Ou Sud européen, la vague africaine monte, atteint la Suisse romande la Belgique, la Suède et la Finlande. Curieusement, les Etats ex-communistes en sont encore épargnés ; Probablement suite à quelques aspects positifs de leurs régimes. Ainsi, la Roumanie de Ceaucescu avait redressé sa courbe démographique par de judicieuses mesures natalistes (comme l’Allemagne de l’Est). Il n’y a donc pas eu d’aspiration d’immigrés comme dans les pays aux berceaux vides. Soulignons en passant que certains Etats marxistes-léninistes présentaient des aspects positifs, tel le natalisme, totalement absent chez les ‘‘démocraties libérales’’. Cela même si l’essentiel de la doctrine, notamment la valeur-travail de Marx, était erroné au point d’entraîner pour finir la chute de ces régimes. Ainsi, les dirigeants d’Europe occidentale n’ont pas su profiter des quelque quarante ans de ‘‘guerre froide’’ pour redevenir des puissances réelles. Plus grave encore, les mouvements nationaux-européens ont en grande partie mené leurs adhérents sur le voie de garage états-unienne. Seuls une minorité a proclamé : « Ni Américains, ni Russes, Européens ! » (Au sens réel de : « Ni ploutocrates, ni communistes ! ») En effet, la ‘‘guerre froide’’ ne mobilisait pas les peuples d’Amérique ou de Russie, mais leurs dirigeants momentanés qui prétendaient les représenter. Certes, les soviétiques s’étaient imposés au peuple russe par la force, mais on ne voulait pas voir que les maîtres de la ‘‘démocratie libérale’’ avaient pris le pouvoir aux Etats-Unis par la ruse et le mensonge. Précisons-le ici : Les peuples sont de moins en moins responsables de leurs dirigeants, mais ce sont les peuples, de plus en plus, qui paient pour les erreurs commises. Aux Etats-Unis, depuis longtemps, les présidentielles offrent aux naïfs deux candidats ‘‘fabriqués’’ par des groupes de pression (souvent les mêmes), et les électeurs tireront toujours la courte paille. En France, au second tour, on demande aux citoyens de choisir entre la peste et le choléra. On peut multiplier les exemples, les systèmes en place sont si bien verrouillés qu’un changement par les urnes est presque impossible, situation encore aggravée par le vote des immigrés naturalisés qui s’efforceront d’affaiblir les autochtones. En résumé, la tentative états-unienne d'accéder à l'hégémonie mondiale aboutit à un chaos mondial dont émergent une Russie convalescente, une Chine en voie d'industrialisation, un Japon bénéficiaire du déclin américain ainsi que des forces difficiles à évaluer, comme l'Inde, ou de grandeur moyenne comme l'Iran. Autrement dit, le chaos, instable par nature, fera tôt ou tard place à des structures nouvelles : Nationales, régionales ou même locales. Et maintenant se pose la question : Que va-t-il advenir ? Certes, par métier, les politiciens – comme tout homme par nécessité – interrogent l'avenir. De l'avenir dépendent les décisions à prendre. Et, comme le disait Victor Hugo, l'avenir n'est à personne. On essaiera de prévoir. On soupèsera les possibilités. On envisagera le plus probable. Mais à quoi bon, si l'improbable se réalise, comme l'histoire l'enseigne si souvent ? On tiendra compte, non seulement de sa volonté propre, mais de celle d'un groupe, d'une région, d'une province, d'une nation. Ce qu'on sait, on le placera sur les plateaux de la balance, puis l'on cherche à deviner. Tous, du paysan au chef d'Etat, cherchent à deviner pour savoir que faire. Cet aspect problématique augmente à mesure qu'augmente la communauté considérée. Les quelques centaines de naufragés sur une île déserte affronteront des problèmes relativement simples. Il en va autrement sur notre globe avec ses milliards d'habitants. Voyons, puisqu'ils nous tiennent à coeur, le sort des peuples blancs d'Europe et d'outre-mer. Comparée à l'avant-guerre, leur situation est critique, dramatique, désespérée. En Afrique, ils ont le couteau sur la gorge. Aux Etats-Unis, ils coexistent avec des effectifs croissants de Nègres, de Peaux-Rouges métissés appelés hispaniques, et de Jaunes. Avec les actuels taux de natalité, les Blancs deviendront minoritaires vers 2050. 0r, aujourd'hui déjà, les Blancs n'ont pratiquement aucun pouvoir en raison du système politique à deux partis où des force plus ou moins connues et même occultes donnent aux électeurs l'illusion d'un libre choix. Les maîtres du système appellent cela ‘‘démocratie’’ et donnent ce même système en modèle obligatoire à tous les peuples du monde. Nous formons, bien sûr, le voeu que les Blancs états-unien surmontent ce système funeste et portent au pouvoir les meilleurs des leurs. Mais voilà un voeu bien téméraire !... « Pourquoi donc voulez-vous préserver les Blancs ? » demanderont les mondialistes. Et nous touchons là, une fois encore, à la question de la race. Ce mot fait hurler d'horreur les média de l'an 2008. Certains antiracistes évitent même le mot ‘‘race’’ pour les chiens, de peur de le légitimer pour les hommes. Rappelons ce que nous avons déjà dit. Depuis des siècles, ‘‘race’’ désigne les subdivisions des espèces. ‘‘Race’’ à son tour, se subdivise en races-types ou sous-races, puis en variétés. Le racisme se fonde sur les lois biologiques, de l'hérédité surtout, appliquées aux communautés humaines. Contrairement aux inepties médiatiques, la race ne se limite pas à la couleur de la peau. En effet, son importance principale, invisible, tient à la structure de l'âme. Une race résulte d'une sélection exercée sur une, communauté durant une période assez longue pour forger des âmes semblables à côté de traits physiques de moindre importance mais qui, visibles, servent à la classification. Et comme nous appartenons à la race blanche de type européen (qui se retrouve notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Argentine, en Afrique du Sud), nous devons en assurer la survie, sous peine de trahir nos frères de sang, d'esprit, et de participer à leur naufrage. Les antiracistes – des illuministes de Bavière à nos jours – croient obtenir, en mélangeant les races une espèce humaines homogène. Erreur. Ils n'obtiendront que le chaos racial, et cela parce que les caractères héréditaires, du corps et de l'âme, se séparent au bout de deux générations pour se recombiner au hasard. Ce chaos racial, lui, disparaîtra peu à peu par l'élimination des non-viables et par la formation de races nouvelles. Les antiracistes, au lieu d'unifier les races, susciteront, par delà le chaos, des races nouvelles. Ils auront seulement fait perdre à l'humanité des dizaines de milliers d'années. La question revient : Que va-t-il advenir ? Si l'avenir reste incertain, nous avons besoin de savoir. Et ici, il faut considérer les qualités morales de nos peuples. Là se tient en puissance la renaissance européenne… A première vue, le pessimisme s'impose. Puis nous considérons le fait que les ennemis de l'Europe ont construit, autour des braves gens, un univers sécurisant qui volera en éclats sous le coup des grandes catastrophes. Comme toujours, le salut viendra de l'excès du mal. Pour l'instant, tout va trop bien encore. Les mondialistes cultivent l'illusion que le détraquement de l'économie mondiale est réparable. En tout cas, si ce détraquement se confirme, et il en a tout l'air, il y aura à coup sûr une révision des notions admises, et un grand réveil dont on peut espérer une prise de conscience des peuples d'Europe. En fin de compte, les raisons d'espérer résident dans la naïveté d'un public qui ne voit pas les manoeuvres lénifiantes et se dit : "Il serait impossible de mentir de la sorte". Le mensonge est non seulement possible mais c'est un moyen de gouvernement. Au cours de cet ouvrage, nous avons distingué entre l'immanence et la transcendance au sujet de laquelle nos connaissances, indirectes, ont valeur d'hypothèse, valeur impossible à transformer en certitudes. Les hypothèses quant à la structure du cosmos, resteront toujours en révision permanente. Platon, par le mythe de la caverne, pose le problème, de la connaissance. La caverne, ses parois, son ouverture, les ombres projetées et qui évoluent, tout cela, c'est l'immanence. Quant à la transcendance, ce sont les êtres supposés causer les ombres mobiles. Au cours des siècles, les philosophes ont brodé sur ce thème. Kant, dans la première antinomie ("Critique de la raison pure") reprend un aspect important de ce problème, posé par une thèse et une antithèse : « Thèse : Le monde a un début dans le temps… » « Antithèse : Le monde n'a point de début... » Et il montre que l'antinomie est sans solution. Nous ne saurons donc jamais si l'univers a un début ou non. Le ‘‘monde’’ correspond ici aux êtres qui, chez Platon, suscitent les ombres mobiles, substances évoluant dans un espace cosmique où le temps sera défini par la mesure d'un mouvement par un autre, puis exprimé par exemple en secondes, minutes et heures. Subsiste encore le mystère du mouvement. Outre le mouvement dans le cosmos, il y a celui que nous voyons et ne révèle rien de ce cosmos. Preuve : Le cinéma fournit des images immobiles, tant par seconde, mais le spectateur voit un mouvement. Ce mouvement-vu est oeuvre du spectateur, éventuellement aussi (qui sait ?) la reconstruction d'un mouvement cosmique. Voilà un des points de rencontre entre le cosmos et la représentation et où le mouvement se transmet au moyen d'images-supports immobiles.. Notre ‘‘mouvement’’ est bien à nous. Schopenhauer progresse de plusieurs pas en faisant correspondre à la caverne-immanence, le concept de ‘‘représentation’’, et aux substances génératrices des ombres animées, celui de ‘‘volonté’’. Animiste comme Schopenhauer, Nietzsche l'est aussi, mais avec prudence et surtout parce que l'animisme donne sa portée au concept ‘‘force’’. Il résume ainsi sa théorie de la connaissance : « La vérité est l'espèce d'erreur sans laquelle une catégorie déterminée d'êtres vivants ne peut pas vivre. » Rosenberg, dernier venu, conclut : « Ce n'est pas la technique qui tue l'élément vital, en revanche l'homme est dégénéré. » L'homme a un pied dans la tombe, l'autre sur un degré de la marche vers les étoiles. Lequel va l'emporter ? Qu'est-ce que la vérité, demandait Ponce Pilate.. Aujourd'hui l'humanité reçoit en cadeau la ‘‘vérité organique’’ : Les idées, la doctrine, les illusions même qui maintiennent une communauté et apporteront les nouveaux dieux.. En bref, le combat entre la vie qui monte et celle qui descend ne finira jamais. La nature éliminera les non-viables, fût-ce l'humanité tout entière, Mais nous formons l'espoir d'un renouveau. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - Europeurn:md5:012838f7dee0a7e0c8672be3085564962012-04-25T17:12:00+01:002013-11-19T00:42:31+00:00balderAmaudruz Gaston-ArmandEuropeFranceRacialisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Amaudruz_Gaston-Armand_-_Europe_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Europe Les fondements de la renaissance européenne en théorie de la connaissance</strong><br />
Année : 2000<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Amaudruz_Gaston-Armand_-_Europe.zip">Amaudruz_Gaston-Armand_-_Europe.zip</a><br />
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Le présent ouvrage comportant un très grand nombre de pages, l'auteur s'est résolu à le publier en plusieurs cahiers, si le temps qui lui reste à vivre le permet. Dans le cas contraire, il appartiendra à ses amis de faire le nécessaire, dans la mesure du possible. Pour le reste, il faut prévoir que le présent ouvrage s'adressera surtout aux survivants des grandes catastrophes du XXIe siècle. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - Les peuples Blancs survivront-ils ?urn:md5:4658dc8418cb895d3d4f72c83e33c9d52012-04-13T12:34:00+01:002023-09-26T01:24:11+01:00balderAmaudruz Gaston-ArmandNouvel Ordre EuropéenRacialisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Amaudruz_Gaston-Armand_-_Les_peuples_Blancs_survivront-ils_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les peuples Blancs survivront-ils ? Les travaux du Nouvel Ordre Européen de 1967 à 1985</strong><br />
Année : 1987<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Amaudruz_Gaston-Armand_-_Les_peuples_Blancs_survivront-ils.zip">Amaudruz_Gaston-Armand_-_Les_peuples_Blancs_survivront-ils.zip</a><br />
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Préface. Ecologie raciale. La Race, c’est-à-dire ces racines conscientes, inconscientes, individuelles et collectives qui font essentiellement ce que nous sommes et qui tracent potentiellement notre route, constitue la réalité centrale de l’adaptation écologique. Croître au milieu des dangers (de l’intérieur comme de l’extérieur), telle est la loi de toute évolution passée et présente, tel sera aussi notre destin futur. On conçoit qu’en des involutions mortelles, la question de la Race (patrimoine génétique, commun et diversifié) qui engendre sa Culture (nature + culture + interaction) doit être la première à s’imposer à l’attention puisqu’elle est la question vitale et décisive. Nous le proclamons clairement depuis près de quarante ans et nos travaux ont depuis essaimé. Incidemment, dans cette lutte pour les plus hautes formes de vie, chacun utilise la stratégie qui lui convient, car les conditions d’environnement sont plus sévères et nombreuses. Ce pourquoi nous combattons, la fidélité à soi-même, la foi ancestrale, la plus longue mémoire, l’inconscient collectif, l’âme des peuples et l’enracinement culturel sont dénaturés, tandis que le reniement, la traîtrise, l’insignifiance et la béatitude servent de modèles. La conscience infantilisée, la faiblesse vieillarde, la respectabilité bourgeoise et l’amour mondial cumulent leurs crimes innocents contre la qualité de la vie fécondante, différente, inégale, sélective, responsable, non homogénéisante, non incapacitante et non culpabilisante. La société marchande de tout, réclame un nouveau Veau d’or et une nouvelle Terre promise, telle la pile ou face d’une même pièce de consommation qui ne trompe aucun esprit libre. Les législations antiracistes (antiraciales, somme toute, d’un chantage omniprésent) ne changent rien quant au fonds des difficultés qui s’y rencontrent. Elles ne font que créer d’autres problèmes, plus complexes. Car elles sont fondées sur la rêverie bien-pensante (« la poursuite de l’égalité » ), le refus catégorique du réel (« la race n’existe pas »), l’illusion schizoïde (le meilleur ou le pire n’est qu’affaire d’opinion) et systématiquement, comme tout ce qui précède, sur la peur et l’hypocrisie. « Soyez sourd, muet et aveugle pour tout ce qui est manifestement racial », traduit de nos jours l’interdit consommé. L’antiégalitarisme, la fierté d’appartenance à un peuple, la méfiance normale à l’égard de l’étranger, etc., peuvent, selon les contingences du moment, prendre des formes plus radicales. Qui dit racisme dit alors effectivement crise raciale provoquée par une situation critique et la réaction ardente d’un instinct auto-protecteur qui refuse la compromission. Il s’agit d’un choix éclatant, la décision fondamentale d’être loyal à sa mouvance héréditaire et culturelle, puis d’en exprimer le courage. On peut rapprocher ici une condition analogue : La fièvre, génératrice d’inflammations provoquées par une agression ou un stress de toute nature. Cette manifesta tion fait partie des mécanismes par lesquels le Moi — noyau spirituel de la personnalité — se défend contre des substances incompatibles avec le sang, organe mouvant fortement caractérisé. L’organisme se règle à une température élevé afin de les mettre hors d’état de nuire, favorisant ainsi la guérison. L’art médical consiste justement à moduler les énergies fiévreuses et non à les éteindre, car on ne peut le faire qu’au détriment du cours vital. On le sait de façon précise, depuis Hippocrate, fondateur d’une médecine humaine, qui voyait dans les énergies mobilisées par la maladie un processus conforme à la loi du rétablissement naturel. Il est beaucoup plus important alors de connaître la nature réelle de la maladie, ses causes, excès et insuffisances qui suggéreront les remèdes appropriés, que de la refouler (elle reviendra de toute façon) au moyen, par exemple, de paradis artificiels, vecteurs de séquelles possibles. Il y a dans la maladie une réserve qui déclenche aussi bien la souffrance (pathos) que l’action (ponos). Cette action remédiante est l’effort accompli par la nature humaine dans le but d’atteindre un équilibre intérieur, condition essentielle de la vie consciente (homéostasie dynamique), et de maintenir librement son individualité dans un monde en continuel changement (sélection et adaptation). Certes, l’aboutissement des réactions n’est pas toujours heureux. Il n’en demeure pas moins que l’écologie de la santé comporte aussi la sympathie (sun-pathein : Souffrir avec). Toutefois, « Mieux vaut prévenir que guérir » rappelle l’adage naturo-hygiéniste. Il renferme la majeure partie du programme racial et l’eugénisme est son orientation philosophique principale. L’eugénique, art-science-carrefour par excellence, fait appel à une multitude de disciplines : Biologie, génétique, psychologie, anthropologie, pédagogie, démographie, thanatologie, écologie, sociologie, nutrition, etc. On comprend facilement que seule une biopolitique peut la mener à bien pour l’ensemble des populations. C’est la voie royale tracée par Gallon, Mjôen, Carel, Delore et Verschuer. Sauf exception envisagée sur le plan de la morale biologique, l’eugénique ne vise pas tant à éliminer (avortement, stérilisation, euthanasie, etc.) qu’à promouvoir (éthologie, naturothérapie, hygiène naturelle, etc.). Le but n’est pas de surmédicaliser les populations mais de préciser, en vue de la propagation de races saines, la place essentielle que l’on doit accorder à la santé naturelle, ne demandant à la médecine pharmaceutique et chirurgicale que des services de pointe. L’inverse mis de l’avant par les dénigreurs professionnels n’est plus de l’eugénique. Faut-il redire qu’il ne saurait exister de races pures mais des races différenciées, possédant une certaine constance de leur milieu intérieur. Même dans les meilleures conditions, un minimum de facteurs araciaux adviennent. Les périls (dénatalité, surpeuplement, population vieillissante, parasitisme social, etc.) que chaque rameau génétique recèle de lui-même sont parmi les plus inquiétants. Et du fait que la Race soit un organisme vivant aux innombrables cellules, variées et spécialisées, elle va donc se transformant et s’ennoblissant sans cesse, ou bien elle déchoit ou disparaît. C’est le moment de souligner qu’il n’y a pas de supériorité absolue, mais de multiples supériorités (des élites à part, si l’on préfère) où interviennent simultanément les potentiels génétiques, les événements de l’histoire et les éco-systèmes naturels et culturels. Par exemple, les individus et les populations capables de détecter un virus nuisible pour eux sont dotés d’une aptitude génétique supérieure. Leur système immunitaire spécifique agit effectivement pour défendre l’organisme d’un envahissement allogène. Nous pouvons aussi citer le fait que la mobilisation consciente, simple et naturelle, de leur biodynamique propre (corps-âme-esprit), a permis à certains cancéreux de se rétablir. Par rapport à d’autres, c’est donc un avantage pour ces immunités préférentielles qui ont pu être mises en forme par une psychosomatique spontanée. C’est en pionnier que nous nous sommes appliqués à démontrer que dans l’ouverture pour une plus grande conscience et la grande santé, il importe absolument de connaître les nombreuses similitudes entre l’être humain, la nature végétale, le psychisme animal et tous les organismes vivants. L’humain hiérarchisé forme simultanément une plante transcendante, un animal évolué, mais aussi un être lumineux, fragile et inachevé entre un passé et un devenir cosmiques. Héritier de milliards de générations, il a toutes les races et toutes les audaces. Aussi, est-il à peine besoin d’ajouter que la Race est naturellement agressive, territoriale et altruiste. Le naturalisme moderne ou biologie du comportement animal et humain a précisé et développé ce que tout Terrien bien né savait déjà. Il y a nettement moins de conflits délétères entre les groupes dont la conscience raciale est définie. Le non respect des variétés intimes, tant personnelles que communautaires, engendre des problèmes humains endémiques. Plus la reconnaissance de l’autre s’affine, plus elle est la source de comportements amicaux durables. Tout ce que nous révèle le monde ascendant depuis ses origines jusqu’à nos jours n’est jamais que la suite de cette maîtrise de soi, marquée du double sceau de l’adaptation terrestre et de l’interrogation solaire. Ainsi mieux éclairé, à chaque exploitation énergétique, à chaque exploration spatiale, doit correspondre plusieurs pas en direction de l’Humain (un et pluriel), signifiant par là le génie respectueux des univers (macrocosmes et microcosmes). Les pires invasions, les pires pollutions, ne se font pas par des agressions violentes, mais par des commercialisations charitables, des escroqueries légalisées, des installations progressives, des chants de sirènes, des clameurs d’Eden... Or, le combat pour la re-naissance des patrimoines raciaux est continuel. Et comme facteur de régénération, nous préconisons sans relâche l’étude de l’écologie raciale, à l’instar de ce que Goethe disait de la vie naturelle : « La plus importante des conditions qu’on doit exiger. » Dr. Jacques Baugé-Prévost. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - UBU Justicier au premier procès de Nurembergurn:md5:46694d9b4c257386ec6b37331e92987a2012-04-13T12:26:00+01:002014-05-07T21:08:41+01:00balderAmaudruz Gaston-ArmandAllemagneEuropeRévisionnismeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Amaudruz_Gaston-Armand_-_UBU_Justicier_au_premier_proces_de_Nuremberg_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>UBU Justicier au premier procès de Nuremberg</strong><br />
Année : 1949<br />
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PREFACE. LA présomption la plus manifeste que l’on possède maintenant que les Allemands ne sont pas les uniques responsables du deuxième conflit mondial et que Nuremberg est un monument d’hypocrisie et de fausseté est celle-ci : quatre ans après la capitulation inconditionnelle du IIIe Reich, la guerre continue, froide à Berlin, chaude en Grèce, en Palestine, en Chine, en Indonésie et ailleurs. D’aucuns y crurent distinguer la survivance de l’esprit, malfaisant selon eux, d’Hitler. Selon la coutume, ils jugèrent donc les lieutenants du Führer et les condamnèrent à la pendaison. Mais, chose curieuse, la situation des pays précités ne s’améliora pas pour autant... Un autre événement vient confirmer notre propos ci-dessus : la déclaration de Mao-Tse-Tung, annonçant que le maréchal Tchang-Kaï-Chek est considéré comme criminel de guerre. Ainsi, le protégé de Roosevelt et de Churchill est un monstre de la même facture que Goering ou Keitel. De quelle manière justifiera-t-on, dès lors, le paradoxe suivant : un criminel de guerre — Tchang-Kaï-Chek — juge un autre criminel de guerre : le général nippon Tojo ?... Les mémoires du général Anders sont également significatifs. Parlant du charnier soviétique de Katyn, l’ancien chef de l’armée polonaise libre écrit : « Retrouver les assassins de Katyn et réclamer leur châtiment est une obligation morale pour tous les Polonais... » Et nous lisons plus loin ce témoignage sur l’U.R.S.S. qui glacera d’effroi, nous osons l’espérer, tous les démocrates qui, il y a peu de temps, baisèrent les pieds de Staline pour sauver leur misérable peau : « Nous avons pu établir approximativement, en nous basant sur les rapports faits par nos coreligionnaires libérés des camps de travail obligatoire que le chiffre global de la population détenue en prison et dans les camps variait entre 17 et 20 millions d’hommes » (on retrouve les mêmes chiffres dans « J’ai choisi la liberté » de V. A. Kravchenko). D’autre part, il est reconnu que des camps de concentration existent aujourd’hui partout : non seulement en U.R.S.S. et dans les « démocraties populaires », mais aussi en France, en Chine, dans les Indes et en Grèce. Certes, on se garde au mieux d’en parler. Néanmoins ils sont pires que ceux de l’Allemagne nationale-socialiste. Ce n’est pas nous qui l’affirmons, mais M. Jacques Bardoux, de l’Institut : « En Bulgarie, ceux de Kutzian et Rositza, Zagrad et Bolov-Dol dépassent même en horreur les plus célèbres établissements nazis de cet ordre, en traitements inhumains et en bestialité » (cf. « L’Epoque » du 5-2-49). Et que penser de cette déclaration du « New-York Times » : « L’Allemagne n’a plus le monopole des atrocités. Aucune nation ne possède d’histoire irréprochable ». Cela nous amène, inévitablement, à reconsidérer le procès de Nuremberg, et cela non pas à travers l’optique de la propagande israélite ou démocratique, mais en se plaçant sur un terrain strictement juridique. Or, dans cet ordre d’idées, l’ouvrage de G. A. Amaudruz nous paraît particulièrement utile. L’auteur, en effet, analyse le procès juridiquement — et historiquement — par un examen scrupuleux et attentif de chaque chef d’accusation. De telle sorte qu’aucune des preuves présentées par lui, démontrant en l’occurrence que Nuremberg ne repose sur aucun fondement valable, ne peut être catégoriquement réfutée. Le livre est intéressant aussi par un autre côté : son étude en profondeur des conséquences internationales du procès et sa critique remarquable, quoique brève, de l’oeuvre philosophique d’Alfred Rosenberg, ne peuvent que retenir notre attention. Dire, donc, que ce livre est quasiment indispensable à qui veut rechercher la vérité sur Nuremberg, serait un pléonasme. En effet de nouveaux « Nuremberg » sont chaque jour commis : de la condamnation de Nicolas Petkov à celle du cardinal Mindszenty, la liste s’allonge interminablement. Faut-il l’avouer ? La publication de ce texte, terminé en décembre 1946, n’a pas été sans mal. A plusieurs reprises, il fallut secouer une opinion intoxiquée par le conformisme démocratique et le poison marxiste. Bref, la liberté de penser fut pour nous l’interdiction de penser. Toutefois, quelques généreux souscripteurs permirent la réalisation de ce projet. Ajoutons qu’un fragment de ce volume est paru précédemment dans la revue suisse « Courrier du Continent ». Signalons encore que G. A. Amaudruz est l’auteur de plusieurs articles sur les « Criminels de guerre », sur Nietzsche et sur l’Autriche, ainsi que d’une étude politique, « La force du symbole ». Nous espérons l’éditer prochainement. P. HOFSTETTER. <strong>...</strong></p>