Balder Ex-Libris - Arcand AdrienReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearArcand Adrien - Chrétien ou juif ?urn:md5:51069f3730ef9a8c5dc00278beee78652015-11-11T15:59:00+00:002015-11-11T16:05:33+00:00balderArcand AdrienCanadaChristianismeConspirationFascismeHébraïsmeJewKabbalahQuébecSatanismTheosophy <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Arcand_Adrien_-_Chretien_ou_juif.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Chrétien ou juif ? (Les Juifs forment-ils une “minorité” et doivent-ils être traités comme tels dans la province de Québec ?) Précédé du discours prononcé par M. Joseph Ménard au Monument National, le 3 novembre 1930</strong><br />
Année : 1930<br />
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Discours prononcés par MM. Joseph Ménard et Adrien Arcand au ralliement de l’Ordre Patriotique des Goglus, le 3 novembre 1930, au Monument National. M. Joseph Ménard. Mesdames, Messieurs, Il nous a semblé qu’une deuxième assemblée des Goglus, à ce temps-ci de l’année, pourrait plaire à ceux qui s’intéressent à notre mouvement. Plusieurs de nos amis nous ont félicités du succès remporté en février dernier et nous avons cru qu’un discours d’Emile Goglu ou, si vous aimez mieux, d’Adrien Arcand, venait à son heure après les événements qui se sont produits depuis ce jour. Deux élections, municipale et fédérale, ont eu lieu depuis notre dernière réunion. Nous avons pris une part active à ces deux élections et nous laissons à d’autres le soin de juger quelle influence nos journaux, le “Goglu” et le “Miroir”, ont pu avoir durant les luttes qui ont précédé ces élections. Nous avons aussi poursuivi avec toute l’énergie possible, notre campagne contre l’influence juive et nous avons défendu, de toutes nos forces, le faible et l’opprimé. Nous avions pour but de combattre pour notre race en toutes occasions et nous croyons n’avoir pas dévié de ce but. Nous avons parfois reçu le reproche d’être violents et même méchants, mais ceux qui connaissent bien les raisons de nos attaques ont cru que nous étions plutôt indulgents. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Instructions et serment 33e degré de la Franc-Maçonnerieurn:md5:06f541ae1184c34578a5b8b0000525aa2015-11-11T15:43:00+00:002015-11-11T15:58:22+00:00balderArcand AdrienCanadaConspirationFascismeFranc-maçonnerieHébraïsmeQuébecRacialisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Arcand_Adrien_-_Instructions_et_serment_33e_degre_de_la_Franc-Maconnerie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Instructions et serment 33e degré de la Franc-Maçonnerie</strong><br />
Année : 19**<br />
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Le général Garibaldi, révolutionnaire italien (ami intime du révolutionnaire et haut maçon Mazzini), fut admis au 33ème degré de la Franc-Maçonnerie du Rite Ecossais. Les auteurs Paul Rosen, Meurin et Warren Weston ont publié dans leurs livres le texte suivant (qui n’a pas encore été dénié depuis 1870), extrait d’une lettre d’instructions secrètes adressée à Garibaldi par le Suprême Conseil du Rite Ecossais : “La Franc-Maçonnerie n’est pas autre chose que la révolution en action, une conspiration permanente contre le despotisme politique et religieux... Pas un seul degré ne révèle la Vérité entière; le voile qui cache la Vérité aux yeux des curieux est levé par degrés. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La révolte du matérialismeurn:md5:fbcd291800a7c85407af624ce5b22a582013-07-17T22:29:00+01:002022-01-11T00:24:48+00:00balderArcand AdrienBolchéviqueCanadaCommunismeConspirationEx-LibrisFranc-maçonnerieHébraïsmeMontréalQuébecRussieTalmudÉconomie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_La_revolte_du_materialisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La révolte du matérialisme "Notre devoir devant les faits" Causerie prononcée à Montréal</strong><br />
Année : 1966<br />
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Préambule. La lutte à finir qui se poursuit de nos jours sur toute l’étendue de la terre, est vraiment la lutte du matérialisme contre tout spiritualisme, la bataille implacable de la matière contre l’esprit. Le Communisme qui régit tous les territoires dans l’orbite de Moscou, s’affirme ouvertement comme le culte et l’organisation du matérialisme ; il affirme que tout n’est que matière, qu’il n’y a ni au-delà, ni divinité, ni âme humaine. Donc, pas d’autre nécessité, pas d’autre foi, pas d’autre espoir qu’en la matière. La plupart des autres pays non-communistes sont régis de façon invisible par la franc-maçonnerie, dont les chefs suprêmes ont exactement les mêmes convictions et visent au même but final, mais par des moyens plus détournés, plus hypocrites, dosant tous leurs mouvements dans une gradation aussi diabolique qu’habile. Ce sont là des vérités sommaires, presque des lieux communs, que n’importe quel chercheur peut trouver en peu de temps. Mais néanmoins, ce n’est qu’une parcelle de vérité sur la question, un premier aperçu, et ce n’est pas encore suffisant pour comprendre pleinement le péril qui nous menace, pour nous en libérer, pour vaincre finalement l’ennemi. Quand on veut se donner la peine assez ardue d’explorer la grande conspiration dans son dernier repaire, on fait des découvertes vraiment étranges et l’on perçoit des choses que tout le dispositif de la conspiration ne permet pas de soupçonner. Je vous ferai grâce d’une infinité de détails là-dessus, et vous résumerai succinctement les faits. Ces faits constituent la Vérité, cette vérité qu’il n’est pas permis de publier, de dire, voire même d’avoir l’audace de tenter de connaître. La Vérité cachée, inconnue même des masses juives, la voici : L’or, maître du monde. La ploutocratie juive internationale, c’est-à-dire la Haute Banque Mondiale de l’Or, est l’autorité suprême qui conduit la vie financière et économique du monde. C’est de ce groupe que Henry Ford disait, en 1921 : « Eliminez cinquante juifs influents, et vous n’aurez plus de guerres, de révolutions, d’effondrements économiques, de crises de chômage ni de communisme. » Cette ploutocratie juive des rois de la finance réside à Wall Street ; elle a autant d’influence sur le Kremlin que sur la Maison Blanche. C’est ce qui explique que, en tout ce qui concerne l’avancement de la conspiration mondiale, Washington et Moscou ont conjugué leur action depuis 1933. Leurs mésententes ou querelles publiques, suscitées par Wall Street pour la galerie et pour dérouter l’opinion mondiale, ne nuisent en rien au progrès du complot. Leur affaire de Corée, par exemple, n’a servi qu’à instaurer l’armée ou la police mondiale, et à pousser l’Amérique à établir un système de militarisme et de garnison permanent, nécessaire pour étouffer les initiatives et les libertés des nationaux, tout en les dépouillant par les taxes et un coût de la vie toujours plus élevés. Cette ploutocratie juive exerce l’autorité et l’influence suprêmes sur le Communisme, sur la Franc-Maçonnerie et les autres associations et sectes qui en découlent. Les chefs suprêmes de la grande conspiration matérialiste ne sont pas des matérialistes. Ce sont ce qu’on appelle chez les ignorants de « bons juifs », des Juifs de synagogue, qui soutiennent la synagogue, et, au besoin, pour leurs fins, soutiennent des institutions chrétiennes. Les hommes « sans âme ». Ce qu’on appelle « le bon juif » est plus dangereux que le Juif non-pratiquant. Car le Juif de synagogue est complètement saturé de Talmudisme et il croit aux enseignements du Talmud, qui a fini par prévaloir sur la Torah ou l’Ancien Testament. Le Talmud, même dans ses éditions modernes, enseigne que le Dieu unipersonnel des Juifs, Jéhovah, ne reconnaît et n’aime qu’un seul peuple, qui est son élu, qui est le peuple saint, parce que seul le Juif a une âme ; que les autres êtres humains, les Gentils ou goyim sont des êtres sans âme, créés uniquement pour être utiles au Juif, pour le servir, pour l’enrichir, pour être conduits et régentés par le Juif. D’après le Talmud, toutes les religions des goyim sont des idolâtries et doivent être effacées de la terre, pour que seul le Judaïsme, la vraie religion, subsiste universellement. Lorsque seul le Judaïsme subsistera, les goyim devront en prendre connaissance et reconnaître enfin l’onction, la royauté d’Israël, devant laquelle ils devront docilement s’incliner, en acceptant leur sort définitif de serviteurs du peuple-élu. On se rappelle encore l’action en libelle intentée contre le journal La Croix, de Québec, par les Juifs. Devant le tribunal, l’un des rabbins les plus éminents de Montréal t témoignage. Lorsqu’il affirma que le Judaïsme croit à l’enseignement d’ « aimer Dieu et son prochain comme soi-même », la question lui fut posée : « Sous votre serment, est-ce que le non-juif peut être le prochain du juif ? » et il répondit catégoriquement : Non. La croyance juive est encore la même qu’au temps où le Christ racontait la parabole du bon Samaritain, qui scandalisa si fortement les rabbins de l’époque. L’irréligion, l’athéisme, prêchés par le communisme et les autres organisations, ne sont qu’à l’intention des Gentils, afin de les mieux subjuguer. Si le communisme parvenu au pouvoir frappe avec tant de fureur rageuse les religions et les temples des Gentils, il ne moleste pas la synagogue. Bien au contraire. Un bulletin de l’Intourist soviétique publié entre les deux guerres, nous donnait la photographie de la cathédrale Saint-Isaac, la plus grande de Léningrad, transformée en musée antireligieux. Depuis cette époque, on a bâti à Léningrad une synagogue nouvelle, aussi grande et imposante que n’importe quelle basilique majeure de Rome. La dernière édition de l’Encyclopédie Juive en donne la photographie, au mot Léningrad, et ajoute que le gouvernement soviétique a fourni une partie des fonds pour ériger cette énorme construction. Ainsi, pendant que le gouvernement juif de Moscou transformait les temples chrétiens en salles de danse, musées antireligieux, maisons de prostitution, clubs, écuries ou casernes, il bâtissait la reine des synagogues avec les trésors arrachés aux églises des Gentils. La domination du monde. En somme, la lutte du matérialisme, quand on comprend bien le fond de la question, est la lutte du spiritualisme judaïque contre tous les autres spiritualismes, par ticulièrement le spiritualisme chrétien. C’est le cadavre de l’Ancien Testament qui veut ressusciter et s’imposer sur les ruines du Nouveau Testament. Si, pour nous, goyim, ce doit être une affaire d’irréligion et d’athéisme, pour les Juifs c’est une affaire essentiellement religieuse, une poussée générale de tous leurs organismes vers un messianisme terrestre, vers la domination du monde par les Juifs, la domination du Judaïsme sur la pensée humaine. Voilà la vérité, l’unique Vérité, sur la conspiration communiste, la Vérité qu’il faut taire, et je sais ce qu’il en coûte pour avoir le courage de la dire. Si le Talmud disait la Vérité, s’il était vrai que nous n’avons pas d’âme, que nous ne sommes que du bétail, alors j’admettrais le premier que le plan juif est justifié, qu’Israël a raison et a droit d’agir comme il le fait, que son complot suprêmement logique avec ses prémisses a raison d’être et s’impose. Mais, malgré les prétentions d’Israël, nous avons une âme, nous avons un spiritualisme, et c’est ce qui fera la perte du Juif si convaincu du contraire, c’est ce qui fera avorter son complot et réduira à néant toute sa puissance et tous ses efforts. Et puisque nous avons une âme, il y a nécessairement un monde et une vie spirituels, il y a fatalement un Esprit suprême qui a fait cette âme, il y a un-Dieu, une Révélation et tout ce qui s’ensuit. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Le communisme installé chez nousurn:md5:06e44cfd432db7f40ab7d85ace33759f2013-07-17T00:04:00+01:002022-01-11T00:24:43+00:00balderArcand AdrienAsieBolchéviqueConspirationEducationEuropeEx-LibrisFranc-maçonnerieHébraïsmeQuébecRussieÉconomie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_Le_communisme_installe_chez_nous_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le communisme installé chez nous "Notre devoir devant les faits" Causerie prononcée à Montréal en 1966</strong><br />
Année : 1966<br />
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Préambule. Je vous ai dit que le Communisme est solidement installé chez nous. Non pas le Communisme tel que nous le fait voir ordinairement la propagande anticommuniste des enfileurs de mots : c’est à dire un parti communiste à la solde de Moscou, avec des réseaux d’espionnage soviétique, d’agents de Moscou cherchant à voler nos secrets politiques, diplomatiques et militaires, de propagandistes spéciaux infiltrant tous les rouages de l’appareil administratif et social. Ces forces sont connues, la plupart d’entre elles opèrent au grand jour, ont leurs publications, se réunissent régulièrement. C’est le moindre des périls que présente chez nous la conspiration communiste, et il est facile de le mettre hors d’état de nuire. Le danger communiste que je veux particulièrement souligner à votre attention, c’est le Communisme légal, gouvernemental, administratif, qui opère dans notre pays depuis plus de trente ans, qui nous a plongés dans un communisme actif partiel, en a fait une coutume sociale et nous a préparés au communisme total, intégral, définitif. C’est en 1917 que les chefs communistes, dont 89 % étaient de sang juif, ont pris le contrôle et l’administration de l’État russe. C’est la même année, 1917, que nos bons démocrates conservateurs et libéraux ont, dans presque tous les pays du monde, implanté le communisme dans l’administration des autres Etats occidentaux. Comme il est dit dans l’Évangile, il y en a qui crient « Seigneur ! Seigneur ! » mais qui se conduisent et agissent comme des ennemis du Seigneur. De même, en politique, nos bons démocrates libéraux, conservateurs et autres, crient sa cesse contre le Communisme, mais ils ne cessent pas de le servir, de le répandre, de lui donner la protection des gouvernements, des parlements, des lois et des tribunaux. Quand je vous aurai expliqué clairement la justification de mon affirmation, qui peut vous paraître extravagante ou exagérée, vous devrez admettre que vous faites tous du communisme sans le savoir ; que vos gouvernants sont tous des serviteurs zélés de Karl Marx, propageant l’action communiste dans la mesure même qu’ils le condamnent. Et cette admission vous en fera faire une autre ; c’est que vous êtes trahis par une partie de vos gouvernants, tandis que l’autre partie constitue simplement une bande d’aveugle conduisant un peuple aveuglé par leurs mensonges ou par leur ignorance crasse. Le Communisme n’est pas seulement, comme on est trop porté à le croire, une organisation politique composée de pauvres diables dégoûtés des injustices sociales, des mensonges ou des abus des politiciens véreux ; composée d’intellectuels tarés, névrosés ou décadents ; composée de ceux que le vice attire plus que la vertu ; composée de jaloux, d’en vieux, de haineux, d’insoumis, de révoltés, de repris de justice et de rageurs congénitaux, tous conduits par des chefs juifs qui, eux savent où ils vont. Si ce n’était que cela, le Communisme, un simple coup de balai suffirait à le faire disparaître au fond d’un porte-poussière. Mais le Communisme est beaucoup plus que cela. Un simple stratagème. C’est un stratagème juif en vue de conduire Israël au pouvoir mondial. Et comme il y a de solides barrières fermant la route à cette ascension juive vers le sceptre mondial, la conspiration communiste a pour but d’ébranler, puis de renverser ces barrières l’une après l’autre. Ces barrières sont la monarchie, la religion, la tradition, l’esprit national, l’esprit familial, l’initiative individuelle, la propriété privée, avec tout appareil des autorités, des droits et des lois qu’ils comportent. Toute la littérature théorique du communisme, de même que son application pratique dans les pays qu’il a subjugués, ne laisse aucun doute là-dessus. L’évangile du communisme, « Manifeste Communiste » de Marx et Engels, livré au monde en 1848, il y a plus d’un siècle, l’affirme solennellement et donne la ligne de conduite à suivre pour parvenir au but final. Il faut affaiblir toutes les institutions politiques, sociales et économiques, au point qu’un simple ébranlement les fera crouler et que le parti communiste, simple instrument de prise de pouvoir, n’aura qu’à se baisser pour ramasser les débris de ces institutions effondrées. Mais tout cela ne peut se produire que si la base originaire et principale sur laquelle toutes les institutions s’appuient : La propriété privée, a été, sinon détruite, du moins conduite par épuisement à un état de faiblesse impotente. Toute la littérature marxiste ne constitue qu’une incantation sans répit contre la propriété privée, principalement elle qui est représentée par les classes terriennes et agricoles, les classes qui possèdent personnellement, sans caractère anonyme, le petit commerce et la petite industrie, c’est-à-dire la petite bourgeoisie. Le haut est facile à conquérir, du moment que l’on contrôle la Finance Internationale qui fait la valeur des monnaies, que l’on contrôle la force déterminante des prix du marché mondial, que l’on contrôle les grands consortiums intercontinentaux, par lesquels on absorbe à volonté les entreprises qui en dépendent ; le bas est aussi facile à contrôler, quand on le tient à la merci d’un paupérisme constant déterminé par le coût de la vie et, au besoin, par les crises économiques facilement créées, quand on détient les leviers du crédit. Mais le centre, lui, la petite bourgeoisie, est beaucoup moins facile à enrégimenter, à contrôler, à internationaliser, parce que son intérêt est exclusivement local, parce qu’elle est fermement enracinée dans le sol national, parce qu’elle participe plus que toute autre classe à la pulsation du cœur national, parce qu’elle représente les fruits de l’initiative, du travail, de la patience et de l’économie. Dans l’idée du marxisme, c’est elle qu’il faut détruire, et le moyen choisi pour la détruire c’est l’agression sans répit contre son avoir : la propriété privée. Les dix commandements de Karl Marx. Toutes les institutions au monde, même celle de l’État, sont soutenues par la propriété privée, à laquelle elles font toutes appel, par un moyen ou l’autre. Dès que la propriété privée disparaît, toutes les institutions qui en dépendent tombent d’elles-mêmes ou deviennent des simples instruments de l’État, qui hérite automatiquement de la propriété. Le citoyen lui-même, dépouillé au profit de la propriété publique, ne se trouve plus qu’un esclave de l’État. Aussi longtemps que les citoyens peuvent jouir de la propriété, ils peuvent toujours se défendre contre les attentats à leurs droits ; quand ils n’ont plus rien et sont tous également pauvres, c’est pour eux la servitude totale et définitive sans moyen ni espoir de libération. Dans leur conspiration pour la domination mondiale, les chefs juifs ont tout prévu et, s’ils réussissaient dans l’exécution de leur plan, ils ont parfaitement raison de dire que leur règne sur tous les peuples durerait au moins mille ans. Dans son deuxième chapitre, le Manifeste Communiste des Juifs Marx et Engels énumère son décalogue, ses dix commandements matérialistes, dont presque tous visent à l’anéantissement de la propriété privée. « Pour commencer, dit le Manifeste, tout cela ne peut être effectué que par le moyen d’agressions despotiques contre la propriété privée et contre les conditions de la production bourgeoise... Ce sont des moyens indispensables pour révolutionner le mode de vie ». Quelques lignes auparavant, le Manifeste Communiste déclare que, « par la politique, il faut travailler à dépouiller la bourgeoisie de tout son capital, par degrés, et de centraliser toute la production dans les mains de l’État ». Le premier commandement de ce décalogue matérialiste réclame l’abolition de la propriété terrienne. En attendant que le Communisme au pouvoir confisque toute propriété terrienne, il faut naturellement (comme pour l’industrie et le commerce), encourager la centralisation de cette propriété en le moins de mains possible, pour qu’au moment voulu, la masse des propriétaires d’hier, dans la rancœur ou l’esprit de vengeance naturels chez les dépossédés, accueille avec plaisir la dépossession de tous au profit de l’État. Les grands organismes du capitalisme international ont, dans tous les pays, des sociétés d’immeubles qui, avec les profits réalisés par la Haute Banque achètent et accumulent tout ce qu’elles peuvent de propriétés immobilières, rurales comme urbaines. En même temps, l’État fédéral devient, à la faveur des guerres ou préparatifs de guerres, détenteur d’une proportion toujours plus vaste de la propriété immobilière du pays. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Le Parti Québecois au service de la haute financeurn:md5:7b6a8ccfdc3748e1a3da17aea83b82212013-04-01T14:26:00+01:002013-04-01T13:31:32+01:00balderArcand AdrienCanadaFascismQuébec <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_Le_Parti_Quebecois_au_service_de_la_haute_finance_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Parti Québecois au service de la haute finance Comment la campagne Noranda est passée sous l'influence des frères Bronfman avec la complicité de la caisse de dépôt et de placement du Québec</strong><br />
Année : 1981<br />
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Deux caractéristiques majeures de notre désolant paysage économique attirent immanquablement l'attention de tout observateur sérieux. Il ne s'agit pas de l'inflation. du chômage, des taux d'intérêts usuraires ou de notre devise chancelante. Tous ces problèmes angoissants sont bel et bien réels, personne ne sera assez étourdi pour le nier, mais il nous semble que ces maux dépendent de deux grandes tendances de fond, de deux périls qui sont en train de nous étouffer. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Exposé des principes et du programme du Parti National Social Chrétienurn:md5:2c7ce11e74c6bbcfd5ad33bf379b9e662013-03-22T23:23:00+00:002013-03-22T23:24:02+00:00balderArcand AdrienChristianismeFascismeQuébecTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_Expose_des_principes_et_du_programme_du_Parti_National_Social_Chretien_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Exposé des principes et du programme du Parti National Social Chrétien</strong><br />
Année : 1934<br />
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Animé par une inébranlable foi en Dieu, un profond amour du Canada, de·s sentiments ardents de patriotisme et de nationalisme, une loyauté et un dévouement complets envers le Gracieux Souverain qui forme le principe reconnu d'autorité active, et un respect entier de l'Acte de l'Amérique Britannique du Nord, le Parti National Social Chrétien du Canada soumet à l'approbation du.peuple canadien, pour le maintien de l'ordre, pour la prospérité, pour l'unité nationale, pour l'honneur national, pour le progrès et le bonheur d'un plus grand Canada, les principes politiques, économiques et sociaux ci-dessous énumérés, s'engageant solennellement et formellement à les mettre en application pratique aussitôt que l'électorat canadien lui aura accordé sa confiance. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Le christianisme a-t-il fait faillite ?urn:md5:8f5c271b82559f3a54a4c23bb87094452013-03-22T22:25:00+00:002022-01-11T00:30:29+00:00balderArcand AdrienCanadaChristianismeConspirationEx-LibrisFascismeHébraïsmeQuébec <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_Le_christianisme_a-t-il_fait_faillite_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le christianisme a-t-il fait faillite ? "Notre devoir devant les faits"</strong><br />
Année : 1954<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Arcand_Adrien_-_Le_christianisme_a-t-il_fait_faillite.zip">Arcand_Adrien_-_Le_christianisme_a-t-il_fait_faillite.zip</a><br />
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Préambule. Le Comité Montréalais de Recherches Sociales m’a invité à inaugurer la série de conférences qu’il entend offrir au public que son genre de recherches peut intéresser. C’est un périlleux honneur dont je ne sous-estime pas les difficultés, sachant que d’autres me suivront sur cette tribune ou une autre pour faire valoir des idées et des points de vue différents. Quel que soit le résultat du débat entrepris par le Comité, je crois qu’il aura dans son ensemble des effets bienfaisants, utiles pour la société, ne serait-ce qu’en attirant l’attention d’un plus grand nombre sur le problème capital de notre époque : la mort ou la survie de notre civilisation chrétienne. “ Le malaise qui angoisse le monde actuel est-il voulu ? Notre devoir devant les faits ”. Je ne crois pas que le Comité Montréalais de Recherches Sociales pouvait soumettre à ses conférenciers de sujet plus important et plus captivant, du moins pour ceux qui réalisent la gravité des temps et s’inquiètent de l’avenir. Je m’en tiendrai strictement à la question posée, de même qu’au titre auquel j’ai été invité, selon les exigences fort raisonnables du Comité ; mais aussi j’ignorerai entièrement les tabous qu’un certain terrorisme social impose davantage chaque jour et je dirai la vérité telle que mes recherches me l’ont fait trouver, suivant la latitude fort raisonnable que le Comité m’a accordée. Dire la vérité, de nos jours, est un privilège qui coûte assez cher et un sport qui comporte bien des risques. Mais ceux qui consentent à payer le prix et prendre les risques, si grands et si durs soient-ils, reçoivent en retour une “ marchandise ” qui a bien sa valeur : la liberté réelle et la paix qu’elle confère. “ Le malaise qui angoisse le monde actuel est-il voulu ? ” S’il est voulu, il importe au plus haut point de savoir par qui. S’il n’est pas voulu, il importe pareillement de trouver quelle en est la cause. Il ne fait aucun doute que l’humanité entière assiste à un ébranlement qui n’a pas eu de parallèle depuis l’effondrement du fier et majestueux empire romain, porteur de la civilisation olympienne, généralement appelée gréco-latine. D’autres empires avant lui, plus vastes et plus puissants, principalement en Asie, avaient croulé, provoquant parmi les masses humaines des perturbations plus grandes et des changements plus profonds. Cependant, si l’on tient compte des étendues concernées et des moyens modernes d’influence, le simple ébranlement de notre civilisation occidentale suscite des remous plus dévastateurs et des bruits plus retentissants que les affaissements combinés de toutes les civilisations précédentes. Le destin : naître et mourir Ce qui se passe sur notre planète depuis deux siècles, le grand penseur Oswald Spengler a tenté de nous l’expliquer dans son magnifique essai d’une morphologie de l’histoire, comparant les étapes de notre civilisation avec celles des autres qui l’ont précédée. Il en a conclu au déclin, à la phase pré-mortelle de notre civilisation. On ne fut pas surpris d’entendre les autres écoles crier au pessimisme historique. Pourtant, Spengler n’avait fait qu’appliquer aux civilisations la loi du destin qui régit les hommes et qui veut que tous aient une conception, une naissance, une enfance, une jeunesse, une adolescence, une maturité, une sénilité et une mort. Cette loi du destin est universelle et immuable pour tout ce qui a vie, dans le cours normal des choses. Lorsqu’un arbre est frappé à mort par une épidémie dans sa jeunesse ou qu’il est abattu par un bûcheron dans sa maturité, cela ne change rien au destin des arbres environnants, destin que seules des circonstances fortuites et extérieures pourront interrompre. Tout ce qui vient des hommes porte nécessairement en soi la limite et le destin des hommes. Les grandes civilisations qui ont précédé la nôtre et que la recherche historique nous fait toujours mieux connaître, ont toutes suivi le cycle spenglérien, de l’état embryonnaire à la caducité et à la mort. Les convulsions agitées et violentes qui accompagnèrent chaque mort n’en furent nullement la cause ; elles n’étaient pour les civilisations expirantes que la contre-partie des mouvements physiologiques observés dans les agonies humaines individuelles. De lui-même, l’homme ne peut rien produire qui soit au-dessus de l’homme ou qui ait des caractéristiques différentes de celles de l’homme, même dans les civilisations nées de son activité. Il est peu de mots dont on n’abuse plus que ceux de culture et civilisation. On les restreint et les régionalise, on les adapte à toutes les courtes vues, voire à de simples objets. Cela tient évidemment au mal de notre époque, où la valeur des termes et le sens des mots abstraits sont tombés dans une confusion pénible. Civilisation, culture, culte Toute civilisation constitue le corps physique, l’extériorisation sensible et l’oeuvre tangible d’une manifestation spirituelle ; celle-ci se nomme la culture. L’ensemble d’une ère dans la vie des hommes est à l’image des hommes : elle a une âme et un corps. Si la culture représente tout l’ensemble des mouvements et travaux de l’âme d’une grande collectivité humaine, la civilisation en représente les manifestations extérieures dans le monde physique : littérature, théologie, liturgique, philosophique et artistique, beaux-arts, théâtre, législation et jurisprudence, moralité publique, coutumes sociales, comportement civique, politique, usages de la guerre, etc. D’âge en âge, on note une continuité de pratiques humaines : chasse, pêche, production du feu, cultivation du sol, tissage, construction d’habitations, fabrication d’armes, confection d’ustensiles domestiques, érection de palissades ou défenses ; mais tout cela n’a rien à faire avec une culture ou la civilisation qu’elle engendre ; c’est du pur fellahisme répondant aux nécessités élémentaires de l’animal humain ”, une activité primaire bien indépendante des soucis spirituels ou intellectuels de l’être humain. Si, de civilisation en civilisation, il y a des différences de style même dans les activités primaires du fellahisme — cette inéchangeable routine de la rusticité toujours soumise aux saisons, aux éléments, en tous temps comme en tous lieux — ces différences sont apportées uniquement par le changement d’inspiration, élément spirituel qui accompagne tout changement de culture. Il n’y a jamais eu de civilisation sans culture. Il n’y a jamais eu de culture qui ne fût fondée sur un culte. Et, de quelque façon qu’on l’examine, il faut prendre ce mot culte dans son sens le plias métaphysique et sa portée la plus religieuse. De tout temps, comme le démontrent même les cultes les plus primitifs et les plus grossiers, l’homme a été hanté par le mystère et l’origine de la vie, cette vie qu’il avait reçue et pouvait transmettre mais qu’il ne s’était pas donnée à lui-même. L’homme a toujours été conscient qu’il ne pouvait pas créer la vie, qu’il n’en était ni l’arbitre ni le maître. Il a toujours eu la préoccupation de chercher l’origine et le pourquoi de la vie en quelque chose qui fût extérieur et supérieur à lui-même, quelque chose capable de vouloir et créer la vie ; étant seul dans la nature qui fût une personne, un être pouvant penser et dire ego, moi, il chercha toujours son origine dans un autre ego, une autre personne qui n’eût pas les limites et les faiblesses de l’homme. Depuis les temps préhistoriques, il fallait attendre jusqu’à nos jours pour voir ce spectacle d’hommes cherchant l’origine de leur ego dans quelque chose d’inférieur à eux-mêmes et tenter d’expliquer l’esprit par le jeu de la matière. Origine toujours religieuse L’histoire de toutes les cultures jusqu’à la nôtre n’est qu’une succession de cultes religieux différents, une longue et nostalgique recherche de la divinité qui connaît le mystère de la vie, son origine son pourquoi et son but ; c’est l’histoire d’une série, immensément variée, de façon de rendre hommage à la divinité acceptée, de communiquer avec elle, d’accomplir ce qu’on croyait être sa volonté. Certains cultes n’ont jamais été capables de produire une culture durable ; certaines cultures n’ont jamais engendré de civilisation extensible et influençante. Mais on ne trouve pas une seule civilisation qui n’ait reposé sur le fondement d’une idée religieuse forte, saisissante, prétendant établir le rapport entre l’homme et la divinité. A l’origine de toute grande civilisation, on trouve donc un culte religieux, manifestation extérieure de ce qui existe au tréfonds de tout être humain normal : le sens du sacré. Que ce sacré ait eu une dorme ou une autre, une personnalité unique ou plurale, cela importe peu pour ce qui est de notre temps. La constatation suffit. Suivant l’image que les peuples se faisaient de la divinité, suivant l’essence de cette divinité, suivant les messages qu’ils prétendaient en avoir reçus, ils élaboraient un code religieux. Ce code religieux conditionnait nécessairement leur façon de se comporter, moulait leur vie intime, leur vie- familiale, leur vie sociale ; ce code religieux devenait fatalement la racine d’où devaient surgir leur liturgie, leur philosophie, leur éthique, leur législation, leurs légendes et leurs arts, leurs aspirations, leurs coutumes sociales, leurs rapports avec l’étranger. Leur culte engendrait leur culture et celle-ci se manifestait dans leur civilisation. Il fallait parvenir à notre vingtième siècle pour entendre parler, dans l’empire soviétique et dans notre Occident, d’une culture sans culte, avec la même aberration que si l’on voulait fonder un humanisme sans hommes ou un déisme sans dieu ; nous reviendrons sur ce sujet dans quelques instants. Les grandes civilisations qui ont précédé la nôtre ont eu le destin de l’homme lui-même : naître, grandir, mûrir, vieillir et mourir. Elles étaient donc essentiellement humaines, marquées du sceau de l’homme, de ses limites, et devaient avoir, comme l’homme qui les origina, un commencement et une fin. Mais la nôtre, cette civilisation chrétienne occidentale — que je préfère appeler la civilisation gothique — a-t-elle les mêmes caractéristiques humaines et subira-t-elle le même sort ? Est-elle marquée du sceau humain, a-t-elle une origine humaine et des limites humaines ? En d’autres termes, l’idée religieuse chrétienne qui forme le fond de toute la culture occidentale et sa civilisation porte-t-elle en elle-même les germes de sa propre destruction ? Et a-t-on raison de répéter, en tant de milieux, que l’on assiste à l’agonie naturelle d’une civilisation ; que, comme les cultes qui l’ont précédé, “ le christianisme a fait son temps ” ? Des questions d’une aussi colossale portée, connexes à la question posée par le Comité Montréalais de Recherches Sociales, exigent des réponses. Phases “ pré-mortelle ” et “ post-chrétienne ” Les grandes civilisations passées ont disparu lorsque la substance religieuse qui avait servi de germe à leur culture eût été épuisée. Les guerres, avec leurs migrations et infiltrations, leurs destructions et changements territoriaux, n’ont jamais fait tomber une civilisation. C’est toujours l’esprit qui a conduit l’homme et jamais un glaive n’a pu décapiter une idée. Quand une civilisation mourut, ce fut toujours de sa propre insuffisance, après avoir exploité toutes les possibilités de sa culture ; après que l’idée religieuse originelle, qui lui servait d’étincelle vitale eût dévoré toutes ses fibres dogmatiques, et fût devenue incapable d’offrir une espérance nouvelle ou plus complète aux masses humaines toujours angoissées par le problème de la vie et de la mort. Et comme il n’y a pas de vacuum dans le “ monde spirituel ” de l’homme, pas plus que dans son monde physique, une idée religieuse nouvelle a toujours surgi pour remplacer celle qui disparaissait, exactement comme une autorité sociale ou politique surgit automatiquement pour remplacer celle qui tombe. C’est ainsi que l’idée chrétienne, porteuse d’un suprême message de pacification intérieure et d’espérance nouvelle, se glissa dans les masses au fur et à mesure que l’idée olympienne, vidée, inerte et desséchée, s’effritait dans le coeur de foules désenchantées. Le glaive et la torture, que l’on voulut substituer à la sève spirituelle disparue pour soutenir l’idée olympienne, ne purent ranimer cette dernière ni affaiblir la nouvelle. Les césars romains de la décadence offrent aux césars de notre époque la plus saisissante démonstration qu’une idée, et surtout une idée religieuse, ne peut succomber sous les coups de la violence physique. Seule une idée supérieure en qualité peut la tuer. Pour que l’on parle de la “ faillite du christianisme ” dans le monde, il faut nécessairement supposer que l’idée chrétienne, parvenue à sa caducité, a été vidée de sa substance, que sa dogmatique a depuis longtemps dépassé sa limite optima, qu’elle ne peut plus absorber la nourriture qui, dans le passé, a fait les conditions de son énergie et sa vitalité. Les deux plus brillants — ou plus réputés — historiens de notre époque ont chacun donné leur version. Oswald Spengler, taxé de pessimisme, a conclu que nous sommes rendus au déclin, au stage pré-mortel de notre civilisation. Même s il eût cru le contraire, en raison de la foi chrétienne, il se devait d’être logique avec sa loi du destin ; de plus, pour répondre aux exigences de l’académisme moderne, qui cherche l’évidence matérielle plutôt que la Vérité, il se devait de paraître plutôt “ objectif ”, “ impartial’, “ dépersonnalisé ” enfin, pour respecter les tabous du même académisme, il devait se contenter d’apprécier les faits en surface, les attribuer à la masse même où ces faits se produisaient et ignorer les possibilités d’influences extérieures ou parasitaires. Arnold Toynbee, catalogué dans l’optimisme historique et dont la propagande va nous parler de plus en plus, va beaucoup plus vite et plus loin que son confrère allemand. Par un tour de force vraiment sensationnel, il “ démontre ” que, depuis deux siècles (la Révolution Française), l’ère chrétienne a pris fin et que nous sommes entrés dans une ère nouvelle ; c’est dommage qu’il ne propose pas une revision du calendrier à la jacobine et ne nous demande pas de remplacer en même temps les termes “ Anno Domini ” par “ Anno synagogæ ” ! L’optimiste Toynbee nous annonce, comme unique condition du salut universel, la nécessité d’un super-gouvernement mondial, dont les propagandistes sionistes, maçonniques et marxistes ont parlé bien avant lui. Aussi ne s’est-on pas étonné de voir la Fondation Rockefeller, si férue d’une religion et d’un gouvernement universels pour l’humanité, s’empresser de financer la publication de l’optimisme ” de Toynbee ; de même que cette Fondation avait cru devoir financer la classification des papiers de notre défunt W. L. Mackenzie-King, qui préconisait l’élaboration d’une religion “ scientifique ” nouvelle pour unifier le genre humain. La racine et le tronc d’arbre Pour savoir si Spengler ou Toynbee ont eu raison, il faut se demander si vraiment le christianisme a épuisé sa substance intérieure, si sa dogmatique a cessé d’être jeune et expansive, si ses postulats moraux ont dégénéré, si son idée fondamentale a stérilisé ses possibilités de prosélytisme, d’acceptation joyeuse du renoncement, de la persécution et du martyre, si une idée religieuse plus forte a surgi pour lui disputer l’adhésion des esprits. Lorsque l’on parle du christianisme dans l’ensemble des vingt siècles qu’il enjambe, on a surtout présente à l’esprit l’image dit catholicisme romain, qui forme la racine et le tronc de l’arbre, avec une continuité qu’il n’est pas possible dg mettre en doute. Bien des branches latérales ont tigé sur ce tronc multiséculaire, les unes tombées depuis longtemps, les autres desséchées, les autres anémiées et produisant de moins en moins de feuilles, mais le tronc primitif est toujours là, debout et vigoureux, vainqueur de toutes les tempêtes mortes de s’être trop dépensées contre lui. Sa substance intérieure est plus abondante qu’en toute époque précédente ; sa dogmatique, dont l’ensemble des gloses a à peine effleuré la surface, est plus luxuriante que jamais auparavant ; sa morale est restée constante dans son incitation à l’héroïsme et l’abnégation personnelle ; son prosélytisme est plus que jamais accentué par la tribulation ; son acceptation de la torture et du martyre est plus enthousiaste qu’aux jours de ses débuts ; l’idée qui lui dispute l’adhésion des hommes n’est pas même une idée religieuse plus forte, c’est tout au contraire une négation totale et sans équivoque de toute religion, de toute spiritualité, de toute divinité, avec le désordre moral et social qui en découle. Procédant contre le christianisme avec une haine et une brutalité sauvages, le communisme, qui constitue la somme et l’aboutissement de toutes les fureurs contre-évangéliques déchaînées depuis vingt siècles, déchiquette avec un sadisme hystérique toutes les manifestations extérieures de la culture occidentale. La violence physique, la contrainte, le terrorisme forment ses seuls arguments, sa seule :contradiction. Personnalité et dignité de l’être humain, droit naturel de choisir et de posséder, liens familiaux, sens national, auto-détermination personnelle ou collective, conscience raciale, identité sociale, égalité morale, tout cela est impitoyablement balayé avec d’autant plus de violence que le christianisme le proclame plus hautement. C’est fort conséquent avec les négations fondamentales du communisme : négations de Dieu, d’un monde spirituel, d’une âme humaine, d’un au-delà. On peut même dire que les dirigeants des pays communistes sont plus logiques avec leur néant principiel que nos gouvernants occidentaux le sont avec les principes qu’ils se sentent obligés de proclamer pour obtenir l’appui des peuples chrétiens. Notre monde moderne se trouve donc placé devant une situation absolument inédite, sans précédent dans aucune autre civilisation passée. La situation d’une idée religieuse plus fort et plus dynamique qu’à son origine avec une culture qui dégénère rapidement, une morale qui n’animalise avec célérité et une civilisation dont de vastes portions croulent brusquement dans le gouffre d’une anticivilisation. Influence extérieure de retardement Puisque le christianisme n’a pas épuisé sa substance intérieure et n’a rien perdu de son dynamisme dogmatique, puisqu’une idée religieuse plus forte ne lui dispute pas l’orientation de la culture, par quel phénomène exceptionnel expliquer un pareil état de choses, le premier qu’on puisse signaler dans les annales humaines ? Et quand on pose la question, elle n’enclot pas uniquement dans ses bornes les pays sombrés dans l’abîme, mais encore tous ceux en-deçà du Rideau de Fer, nos pays d’Occident qui ont conduit le monde avec leur droit, des gens (chrétien), leur éthique internationale (chrétienne) et qui aujourd’hui, tous sans exception, même le nôtre, sont déjà assez avancés dans le stage du pré-communisme. J’ai voué bien des années de ma vie à trouver la réponse à cette question. De réponse, je n’ai pu en trouver qu’une cule. C’est que la civilisation chrétienne, au moment même où elle atteignait son plus haut sommet dans tous les domaines, après la vie intérieure intense et la prodigieuse gestation spirituelle du moyen-âge, a, subi tout à coup un hiatus qui a freiné avec soudaineté l’élan de son ascension verticale. Des non-chrétiens, au sein même de la société chrétienne, s’emparèrent des directions et des contrôles, soit par des agents gagnés à leurs projets, soit par la puissance matérielle directe des non-chrétiens eux-mêmes. Et l’on a vu, depuis, le non-christianisme, voire l’antichristianisme civil, présider à l’orientation des masses religieusement et éthiquement chrétiennes. Cette antinomie, cette opposition de deux polarités différentes, est l’unique explication de ce qui se passe de nos jours : une société tourmentée, angoissée dans le conflit spirituel de son âme, dirigée qu’elle est en même temps par les postulats antichrétiens de ses maîtres extérieurs et les vérités chrétiennes de ses croyances intimes. Ces pauvres masses humaines, il ne faut pas leur lancer la pierre puisqu’elles ne sont que de tristes victimes comme était la faible et trop aimante Madeleine. L’ennemi antichrétien, s’il faut le craindre et s’en défendre, n’est pas encore le vrai coupable, puisqu’il poursuit la route dans laquelle il s’est engagé, par aveuglement ou autre cause. La grande coupable, la prostituée, n’est-ce donc pas l’ “ élite ” chrétienne du dix-huitième siècle, noblesse en tête, qui, pour de l’argent ou de l’ambition a offert le viol empressé de son âme au rationalisme que lui présentait le vieil écho antichrétien des flancs du Golgotha ? Et l’élite ” du même argent, de la même ambition, qui lui a succédé jusqu’à ce jour ? On peut vraiment dire que la civilisation chrétienne a été soudainement mise en arrêt par des agents extérieurs, étrangers à son propre corps, des agents parasitaires et paralysants. Rien de sa puissance n’a été perdu dans la contrainte physique faite à son élan et soi ; expansion ; au contraire, la compression qu’on lui fait subir lui confère une force explosive qui se manifestera, à un certain moment, avec un dynamisme difficile à imaginer. La marche de notre culture occidentale a été, dans le monde moderne, désorientée par l’effet d’un parasite extérieur et étranger à la culture ; le résultat en a été, non pas de dégénérescence par sénilité, mais un résultat de distortion, de défiguration, de retardement temporaires. Dans tout conflit où les masses humaines sont l’enjeu, quels que soient les aléas des grands chocs physiques, c’est toujours l’idée la plus forte, la plus juste, qui l’emporte. La vie des peuples, comme la vie des hommes, est affirmative ; un code de n’égalions ne pourra jamais la subjuguer, surtout le code qui veut forcer l’homme à croire qu’il n’a pas d’âme et n’a pas d’autre statut que celui de l’animal. La violence physique pourra user sa fureur, mais l’idée forte n’en sera toujours que plus forte. Et l’idée forte sera toujours l’idée d’Amour, essentiellement créative. La lutte ouverte entreprise il y a deux siècles par les forces de la haine contre la civilisation d’Amour a maintenant atteint des proportions globales, une dimension oecuménique, et rien ne peut plus empêcher sa phase suprême, et décisive. Aussi perçoit-on de tous les coins du monde une angoisse lourde et accablante comme une agonie morale, en même temps qu’une agitation et des bruits de panique dans certains quartiers déterminés. Si l’Amour souffre l’angoisse, c’est toujours la haine qui subit la panique et tente de la propager ; car l’Amour croit et espère, tandis que la haine est négative et sombre dans le désespoir. Des exemples saisissants en ont été donnés tout le long de ces deux siècles de lutte ouverte. Notre monde contemporain est réglé, avant tout, par la réclame et la publicité, les stages les plus bas de l’influence sur l’esprit avant que n’arrive le stage du terrorisme commandant à l’instinct animal de survivance. Avant la deuxième guerre mondiale, on pouvait encore parler du mot plus noble de propagande ; avant la première guerre mondiale, il était encore possible de parler d’opinion publique. Aujourd’hui, la fabrication de l’opinion constitue une industrie de gigantesque envergure. Cette industrie gravite autour de l’axiome lancé il y a à peine cinquante ans : “ Un mensonge répété mille fois finit par être accepté pour une vérité ” ; et le mensonge est devenu un art d’une grande finesse et d’une grande souplesse, débarrassé de la brutalité grossière d’autrefois, agrémenté par toutes les séductions dont peuvent le parer les nombreux moyens de présentation modernes. Tous les grands moyens de présentation sont reliés ensemble, de façon directe ou indirecte, constituant un vaste réseau qui fait le tout de la terre, de sorte qu’une campagne mondiale pour orienter les esprits dans un sens ou dans un autre est une possibilité journalière. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La croix gamméeurn:md5:f4c0a687039571deda1a819ca87cab1e2012-10-21T23:20:00+01:002013-11-16T13:20:22+00:00balderArcand AdrienAllemagneCanadaCivilisationsEuropeHébraïsmeQuébec <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_La_croix_gammee_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Anonyme</strong><br />
Ouvrage : <strong>La croix gammée ce qu'elle représente La croix gammée symbolise la lutte contre le destructeur de la race blanche.</strong><br />
Année : 1933<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Arcand_Adrien_-_La_croix_gammee.zip">Arcand_Adrien_-_La_croix_gammee.zip</a><br />
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Depuis leur dispersion les Juifs, répandus sur toute la terre,n'ont jamais cessé de former un tout compact, fanatiquement uni en ce qui concerne leurs intérêts nationaux. Ce sont les plus ardents des nationalistes, leurs livres sacrés et profanes en font foi. Qu'ils soient en Allemagne, en Angleterre, en France, aux Etats-Unis, en Pologne ou au Canada, les Juifs restent immuablement Juifs, à cause de ce profond nationalisme qui les caractérise. Là où ils se trouvent, ils n'ont pas voulu devenir des Allemands, des Anglais, des Français, des Américains ou des Canadiens, alors que les vieilles races romaine, celtique, gauloise, franque, etc., se sont fondues en groupes plus généralisés, plus souples et plus civilisés. La marche du temps et le travail des siècles ont raffiné et policé toutes les races, mais rien n'a pu altérer la juiverie et le juivisme. Ils sont exactement aujourd'hui ce qu'ils étaient au temps de Moïse, au temps du Christ et au temps de Maïmonides, les agents, les apôtres, les propagateurs du matérialisme. Ceci s'explique parce que les Juifs, ne se considérant nulle part dans leur patrie, ne trouvant dans aucun pays un foyer de judaïsme, se sont confinés aux intérêts matériels des pays qui les recevaient, sans vouloir en accepter les intérêts spirituels et moraux. Si les Juifs subissent avec plus ou moins de loyauté le drapeau qui les héberge, parce que ce n'est jamais leur drapeau, ils se rangent tous unanimement sous la bannière de l'Etoile de Sion, faite de deux triangles entrelacés. C'est le symbole du nationalisme juif, leur emblème national, et ils l'affichent dans tous les pays où ils se trouvent. Dans leur lutte pour la domination du monde, les Juifs d' Angleterre mettent de côté le drapeau anglais, de même font les Juifs français en France, de même, les Juifs canadiens au Canada, pour reconnaître au dessus de tout et avant tout l'étendard sioniste. Seuls les sémites, ou descendants de Sem, arborent ce drapeau; le symbole des triangles entrelacés s'est même imposé chez certains Arabes. Devant l'assaut des Juifs contre les races blanches ou Japhétiques (issues de Japhet), celles-ci tendent à graduellement se liguer dans un vaste mouvement défensif. Ce n'est pas par suite de propagande allemande, mais parce que tous ont conscience de la même attaque et ressentent le même danger, que tous les pays tendent simultanément vers un antisémitisme protecteur; c'est parce que chaque nation voit et constate ce que l'on a vu en Allemagne. Aussi a-t-on le spectacle d'une immense contraction, dans tous les pays de race blanche, pour se garer contre un péril dont on ne peut plus nier l'existence. La descendance de Japhet, dans un grand mouvement général et sous certains aspects inconscient, se lève pour répondre à l'offensive de la descendance de Sem. Au-dessus de nos caractéristiques secondaires anglaise, française, italienne, allemande ou autre, il y a une grande caractéristique basique et fondamentale; nous sommes tous de race blanche. Si nous avons chacun, suivant notre patrie, un drapeau national, nous avons tous, en tant que membres de la race blanche, un emblème commun qui la symbolise : la croix gammée ou swastika, dont nous donnons la reproduction en page frontispice. La croix gammée n'est pas un symbole hitlérien ni un emblème national. C'est un étendard générique qui rassemble sous son ombre tous les membres de la race indo-aryenne, à laquelle les blancs appartiennent. Si ce signe est si haineusement dénoncé par les Juifs, c'est parce que les sémites ne peuvent pas s'en prévaloir. Le Juif peut se réclamer du drapeau anglais, ou drapeau français, de n'importe quel symbole religieux qu'il accepte, mais jamais et pour aucune considération il ne pourra se mettre sous l'égide de la croix gammée, parce qu'aucune puissance ne peut en faire un indo-aryen. La plus récente étude scientifique faite sur les origines de la croix gammée l'a été par le professent· W.-Norman Brown, D.Ph., de l'Université de Pennsylvanie, où il enseigne le sanscrit. Dans cette étude (août 1933), le professeur Brown, qui est un anti-hitlérien, affirme que la croix gammée a d'abord été employée dans les régions "japhétiques" (vallée de l'Indus, Baloutchistan, Troie, Suse, Chypre, Rhodes, Athènes) aussi lointainement que trois mille ans avant l'ère chrétienne, comme l'attestent les découvertes archéologiques; que cet emblème ne fut jamais employé par les sémites, qu'on ne le trouve pas dans les antiquités de leurs territoires. Depuis l'an 2,000 avant Jésus-Christ, le swastika fut toujours employé avec profusion par tous les groupes de la race indo-aryenne. Aujourd'hui, il forme un point de ralliement pour tous les "japhétiques" Blancs assaillis par les sémites dans une invasion et un combat non-sanguinaires, mais économiques, politiques et dont les conséquences sont identiques à celles d'une conquête armée. Que l'on discute tant que l'on voudra la pureté de telle section indo-aryenne. il n'en reste pas moins que la race blanche est la race blanche, que les descendants de Japhet n'ont rien de commun avec les descendants de Sem, qu'ils diffèrent par des instincts fondamentalement opposés, que les tendances spirituelles des premiers ne pourront jamais s'allier aux tendances matérialistes des autres. Les fascistes antisémites de tous les pays ont adopté pour emblème la croix gammée, symbole de leur race. Bien que le fascisme soit énergiquement nationaliste, il trouve dans 1a croix gammée la clef d'un internationalisme qui doit répondre à l'internationalisme juif, puisque le combat engagé ne peut être gagné autrement. De même, bien que les fascistes antisémites soient positivement chrétiens, ils ne veulent pas traîner dans la poussière du combat la croix chrétienne, symbole religieux, parce qu'il ne s'agit pas d'une guerre religieuse. La croix gammée est et restera le symbole de ralliement de la race. blanche, dans son effort mondial pour se dégager de la domination économique et politique des Juifs. Comme les Juifs s'inspirent de leur Etoile de Sion, l'affichent, en font un mot d'ordre au sein de leur race, il faut que les "japhétiques" arborent sans crainte leur swastika, s'en inspirent, s'en fassent un mot d'ordre, afin que les peuples de race blanche cessent de s'entre-déchirer, de se craindre, de se laisser diviser par les Juifs, afin qu'ils puissent se comprendre, s'entendre et, écoutant la voix, de leur sang et leurs instincts communs, parviennent à la véritable paix mondiale. Que partout flotte fièrement et victorieusement la croix gammée ! <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - L'inévitabilité d'une reconstruction socialeurn:md5:4ca1bddef80595edb8747ccfe56fa5d72011-11-29T17:03:00+00:002013-11-16T13:20:20+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_L_inevitabilite_d_une_reconstruction_sociale_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'inévitabilité d'une reconstruction sociale</strong><br />
Année : 1967<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Arcand_Adrien_-_L_inevitabilite_d_une_reconstruction_sociale.zip">Arcand_Adrien_-_L_inevitabilite_d_une_reconstruction_sociale.zip</a><br />
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PRÉFACE "La question qui s'agite, est d'une nature telle qu'à moins de faire appel à la religion et à l'Église, il est impossible de lui trouver une solution efficace". "Assurément, une cause de cette gravité demande encore à d'autres agents leur part d'activité et d'efforts; nous voulons parler des gouvernants, des maîtres et des riches, des ouvriers eux-mêmes dont le sort est ici en jeu." -Léon XIII La vie est un mystère, la vie est irrationnelle justement parce que c'est un mystère. La vie est indépendante de la raison humaine, elle vient et évolue avec ou sans la raison. La raison peut tout au plus aider à orienter certains actes ou certaines phases de la vie, mais sans altérer en profondeur le destin que la Providence a assigné à la vie. Raison et logique sont des fonctions de l'esprit, des abstractions; la vie est réalité vibrante, influençante et influencée. Que de fois on entend une personne dire: "Qui aurait cru qu'un jour je serais rendu là, que j'aurais fait ceci, réussi cela, manqué dans telle entreprise! ", prouvant par là que la vie est indépendante de la logique et, même, non soumise à la raison; aidant aussi à prouver que la grâce de Dieu, Auteur de toute vie, est et reste l'unique élément auquel la vie peut être soumise. Le caractère illogique et irrationnel de la vie apparaît non seulement chez l'homme, mais aussi chez les peuples, les cultures et les civilisations, qui apparaissent ou disparaissent sans que la raison humaine puisse en donner d'explication satisfaisante. Si l'homme pouvait pénétrer le secret de la vie, lui arracher ses mystères, il pourrait faire plus que transmettre la vie, il pourrait la créer et en fixer le cours. Mais il ne pourra jamais atteindre à cette puissance exclusive du Créateur ni "ex-équer" cette prérogative de Dieu. C'est quand l'homme a voulu soumettre la vie --celle des hommes en particulier, celle des nations, celle de la société -à la raison, c'est-à-dire rationaliser vie, que le grand mal moderne a commencé. La première erreur du modernisme fut bien le rationalisme, qui consiste à faire dépendre la vie, son cours, son destin, de la raison humaine. Rationaliser un irrationnel! En deux mots peut s'expliquer le chaos d'où l'humanité paraît incapable de s'extirper, par ses propres moyens. Et l'unique appui qu'on peut supposer ou trouver pour le rationaliser, c'est le désir de se libérer de l'autorité que la raison ne peut comprendre, se libérer des mystères, de ce qui ne tombe pas sous la raison, des irrationnels; le désir vraiment luciférien de voir l'ego créé, qu'on ne peut pas donner soi-même, assumer l'autorité suprême et reconnaître comme loi ce que cet ego a décidé. C'est le libéralisme. Libéralisme et rationalisme (qui engendrent automatiquement le matérialisme, par voie de cause à effet) ont voulu régenter la vie, en déterminer le cours, en fixer le destin, la codifier, lui donner pour but "la poursuite du bonheur (en ce monde)" et pour fin à atteindre, l'établissement d'un paradis, non dans l'Au-delà, mais sur terre. La forme politique de ce défi au mystère et caractère irrationnel de la vie, est ce qu'on appelle communément D-É-M-O-C-R-A-T-I-E. Si saint Thomas d'Aquin disait que "en toutes choses, le meilleur gouvernement est celui d'un seul", aujourd'hui on enseigne que le meilleur gouvernement est celui de tous, du "peuple" de la foule anonyme. Autrefois, on enseignait que le gouvernant a l'autorité sur les gouvernés, aujourd'hui ce sont les gouvernés qui sont le "souverain" et qui génèrent l'autorité. On a donné au mot démocratie, la grandeur., la majesté, l'impératif d'un déisme. Tant est vrai qu'il faut un "dieu" même lorsque l'on a détrôné Dieu! Dieu existe encore dans le coeur des masses gouvernées, mais il n'existe pas dans la démocratie gouvernante, que ce soit la "démocratie populaire" d'au-delà ou la "démocratie capitaliste" d'en-deça du "rideau de fer"; car les postulats même de la démocratie (libéralisme, rationalisme) rejettent l'autorité de Dieu et encore plus l'idée de la Royauté du Christ sur les peuples comme sur les hommes. On ne peut définir le mot "démocratie", et quand on essaie de le faire, aucune définition ne correspond à la réalité. C'est donc un terme purement polémique, une abstraction. Et l'on sait que la réalité de la vie ne peut être conduite par des abstractions. Pourtant, la politique est une réalité, peut-être la plus importante des réalités pour l'existence de la société. Car, indépendamment des milliers de plans, programme et utopies qui se disputent l'adhésion des esprits, on réalise avec une brutale clarté que la politique peut non seulement bouleverser le monde par des guerres, mais encore détruire la religion, fermer les temples, les missions, tuer les religieux, dissoudre la famille, confisquer les biens, abolir le droit de propriété. Si les termes politiques sont généralement des abstractions creuses et des mots polémiques, il n'y en a pas moins quelque chose de tangible qui se cache derrière eux pour constituer la grande réalité politique. On nous dit qu'il y a la Franc-Maçonnerie universelle ou Contre-Église, qu'il y a le grand capital international, qu'il y a l'anti-christianisme messianique, qu'il y a toutes sortes d'organisations syndicales, sociales ou économiques ayant toutes une influence sur le jeu de la politique. Ce ne sont pas là des questions d'opinions. C'est vrai ou ce n'est pas vrai. Ce sont des faits ou ce sont des mythes. Ceux qui ont fait des études et publié des livres sur ces questions, affirment que c'est vrai; les influences mondiales dénoncées ou démasquées ne nient jamais; ou si elles nient, c'est avec si peu de bruit qu'on n'en entend pas les échos. S'il y a du libéralisme économique dans le monde, c'est parce qu'il y a au pouvoir un libéralisme politique qui le permet, qui légifère pour lui, au nom de "liberté du commerce", la liberté d'initiative", la "liberté d'action", S'il n'y avait pas d'abord de libéralisme politique, il n'y aurait pas, comme conséquence, de libéralisme économique. Nos sociologues attaquent avec beaucoup de vigueur le libéralisme économique (une conséquence), sans jamais l'identifier ni le localiser. Mais, dans une gêne timorée que l'on pourrait carrément appeler de la frousse, ils n'attaquent jamais le cause: le libéralisme politique. Ne serait-ce pas à cause de cette crainte (qui peut équivaloir à de la lâcheté ou de la trahison du christianisme), que les choses vont de mal en pis, que nos chefs sont en alarme et que l'ennemi gagne du terrain? Le libéralisme économique engendre le mal social par son mépris de l'être humain, qu'on estime être un capital, un élément production, un élément consommation, un terme de rendement, un quotient d'impôt, avant de le considérer comme une image même du Créateur, un être sublime appelé à être le cohéritier du Christ, vivant passagèrement sur cette terre dans l'unique but d'atteindre au bonheur céleste. Tout ce qu'on pourra dire ou écrire sur le mal social, sur les formules pour le guérir, sera temps et peine perdus aussi longtemps que ne sera pas corrigée sa cause: le libéralisme économique. De même, temps et peine perdus toutes les spéculations sur le libéralisme économique, simple fruit qui pousse sur l'arbre du libéralisme politique. Quand le libéralisme, déjà perdu dans la confusion, emmêlé à n'en plus sortir dans les filets de ses propres erreurs, aura fait son temps et aura croulé, on pourra espérer la reconstruction de la société sur des bases de vraie inspiration, de vraie justice et de vraie charité chrétiennes. En attendant, ce sont encore les poisons des Encyclopédistes, de leurs successeurs socialistes, communistes et marxistes, qui se partagent la direction politique du monde tant en Occident que dans les pays situés derrière les "rideau de fer" et de "bambou". Comme Dieu Lui-même, comme la vie, le christianisme est un mystère, fondé sur des mystères que seule la foi peut faire accepter par la raison. Seul le christianisme ne rationalise pas la vie. Seul il la vit, parce que sa source même, le Christ, est la Vie et le principe de toute vie. C'est pourquoi, seul il est apte à reconstruire le monde, la société, quand le château de bois vermoulu édifié par la petite raison humaine se sera écroulé. En attendant, on peut tâtonner, si l'on veut, autour de la Coopération, par exemple, qui ne peut bien fonctionner que comme outil adjuvant de la Corporation, puisque autrement la Coopération ne peut être qu'une pauvre et incomplète compétitrice du marchand ordinaire, établie sur des données identiques à celles des compagnies anonymes ou à fonds sociaux. Seule, la Corporation peut apporter ce dont on parle tant sans jamais le donner: la démocratie, en donnant à chaque classe sociale sa représentation politique (à la place des coteries partisanes), son pouvoir de légiférer sur ses propres problèmes, d'organiser la finance et l'économie de ses propres activités, de réglementer ses propres conditions, et inféodant les Corporations dans l'État lui même afin que, sur les grands problèmes politiques affectant la vie de toute la nation, les classes sociales puissent avoir, comme telles, leur voix délibérante dans les conseils de la nation. Mais Corporation et Démocratie libérale se contredisent formellement, tant dans leur origine, leur inspiration et leur opération que dans leur but propre, et la Démocratie libérale ne pourra jamais permettre, au nom de sa propre existence, l'établissement du Corporatisme. Comme pour la vie des hommes, la vie des Cultures et des Civilisations a une naissance, une enfance, une adolescence, une maturité, une vieillesse et une mort. La féodalité a passé par là. La démocratie libérale a passé tous ces stages, et tout ce qui se passe aujourd'hui à la surface de l'Histoire, indique bien clairement que le système qui nous a apporté tant de maux après avoir promis tant de paradis terrestres différents, est à l'agonie. Il faut attendre son trépas, dans les grandes secousses dont il a lui-même posé les conditions. Puis ce sera la vraie forme chrétienne de la justice sociale: le CORPORATISME, dans l'inéluctable et majestueuse résurgence de l'Autorité, celle des hommes qui ne rougira pas de s'exalter dans l'humilité de se subordonner à l'Autorité du Christ, Roi des hommes, Roi des peuples, Roi de la terre, Roi de l'univers. février 1967 Adrien ARCAND <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La République universelleurn:md5:e3673f8042241e6a9834562ed5faf5232011-11-29T17:02:00+00:002014-03-04T00:54:25+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_Le_Republique_universelle_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La République universelle</strong><br />
Année : 1950<br />
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Ce qu'iI y a de plus pénible, dans la tempête affreuse qui secoue la civilisation jusque dans ses fondements les mieux assis, c'est l'aveuglement général. Plus triste que les pertes gigantesques de l'humanité, et ses profondes blessures est cette cécité collective qui semble avoir frappé les victimes. Partout on manifeste étonnement, surprise. En tout milieu on entend demander: "Mais qu'est-ce qui se passe? Où va-t-on? Qu'est-ce qui s'en vient? Qu'arrivera-t-il demain?". Pour la foule, cette pauvre foule exploitée, trimée, ignorante, qui fait confiance à ses chefs, qui espère en la sagesse de ceux qui la dirigent, on comprend qu'elle ne voie rien, qu'elle n'apprécie pas le cours et la portée des événements. Mais pour les chefs en autorité, pour les dirigeants, les élites, il n'y a pas d'excuse à l'aveuglement, à l'incompréhension, au manque de vision. Puisque "gouverner c'est prévoir", leur rôle et leur devoir de gouvernants ou de chefs est de prévoir clairement les conséquences inévitables des actes posés par les hommes. Il faut cependant dire sans que ce soit une excuse que depuis que la politique a rompu avec le christianisme il y a bientôt deux siècles, en se livrant au libéralisme, elle n'a fait que s'enliser toujours plus rapidement dans les ténèbres et dans la confusion. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Le malaise qui angoisse le monde actuel est-il voulu ?urn:md5:b8fc106219390ff849f1326fd9f1f86e2011-11-29T17:01:00+00:002013-11-16T13:19:50+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_Le_malaise_qui_angoisse_le_monde_actuel_est-il_voulu_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le malaise qui angoisse le monde actuel est-il voulu ?</strong><br />
Année : 19**<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Arcand_Adrien_-_Le_malaise_qui_angoisse_le_monde_actuel_est-il_voulu.zip">Arcand_Adrien_-_Le_malaise_qui_angoisse_le_monde_actuel_est-il_voulu.zip</a><br />
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Le comité Montréalais de Recherche Sociales m'a invité à inaugurer la série de conférences qu'il entend offrir au public que son genre de recherches peut intéresser? C'est un périlleux honneur dont je ne sous-estime pas les difficultés, sachant que d'autres me suivront sur cette tribune ou une autre pour faire valoir des idées et des de vue différents. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La clé du mystère 2urn:md5:75cee0255d42876e5bb5e2b270b703fa2011-11-29T17:00:00+00:002013-04-01T13:24:57+01:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_La_cle_du_mystere_2_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La clé du mystère 2</strong><br />
Année : 1938<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Arcand_Adrien_-_La_cle_du_mystere_2.zip">Arcand_Adrien_-_La_cle_du_mystere_2.zip</a><br />
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Dons son numéro du Ier juillet 1880, "Le Contemporain ", grande revue parisienne, publiait un long article intitulé "Compte rendu de Sir John Readcliff sur les événements politico-historiques survenus dans les dix dernières années". C’était le texte d'un discours prononcé à Prague par le rabbin Reichorn, en 1869, sur la
tombe du grand rabbin Siméon-ben-Jéhuuda. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La clé du mystère 1urn:md5:6afc7652d3dba1b9704cc36283e030f42011-11-29T16:55:00+00:002013-11-16T13:19:45+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_La_cle_du_mystere_1_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La clé du mystère 1</strong><br />
Année : 1938<br />
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Presque soudainement le monde en général, et tous les pays en particuliers, ont été plongés dans un véritable enfer. L'humanité est accablée... QUI EN EST LA CAUSE ? Des guerres, des révolutions, des crises aiguës, des vagues de chômages, des ruines gigantestques, des boulversement terribles. Des assassinats politiques, des déchirement sociaux, des craintes et des angoisses, des dépressions sans précédent? Un plan juif de conquête mondiale. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Du communisme au mondialismeurn:md5:eba739c051a1ebbeb39d3300a4b4669f2011-11-29T16:54:00+00:002013-11-16T13:19:42+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_Du_communisme_au_mondialisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Du communisme au mondialisme</strong><br />
Année : 1995<br />
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LA FAUSSE DÉMOCRATIE. L'anticommunisme est devenu de mode. Il excite le zèle soudain de bien des hommes d'État, et il fait le sujet des conversations dans toutes les chancelleries. La campagne mondiale entreprise contre le communisme depuis quelques mois semble devoir prendre l'ampleur d'une croisade. II ne fait aucun doute que c'en sera une dans toute la signification du terme aussitôt qu'elle se conjuguera avec l'action militaire. Les historiens futurs de notre époque pourront bien difficilement comprendre non seulement l'inexplicable retard apporté à cette campagne anticommuniste, mais encore ce qui a pu transformer en anticommunisme les chefs politiques qui, connaissant les horreurs du communisme, ont aidé sa croissance pendant plus d'un quart de siècle. Ces chefs ont passé sous silence le massacre de la noblesse, des classes aisées, du clergé, des intellectuels, d'une trentaine de millions de chrétiens en Russie soviétique; ils ont laissé le régime détruire la tradition, la famille, la propriété privée, les droits humains, sans jamais faire appel à la «conscience universelle» ou aux «droits de l'homme» qui leur sont si chers en temps de guerre; et quand la monstruosité communiste a été menacée de mort, non seulement ont-ils volé à son secours avec précipitation, lui donnant argent, machines et armements comme il n'en fut jamais donné au plus cher ou au plus précieux des alliés, mais encore ils lui livrèrent par ententes secrètes dûment signées (contre le droit même des peuples ainsi livrés) la moitié de l'Europe civilisée et les trois quarts de l'Asie. Pour faire face au communisme, nos croisés modernes ne trouvent rien de mieux que de se lancer dans une course aux armements et de ressusciter, sous le nom de Pacte de l'Atlantique, l'ancien pacte anticomintern élaboré par Hitler, Mussolini, Franco, Salazar, Tiszo, Horty et Konoye. Durant la Deuxième Guerre mondiale, les mêmes Gouvernants avaient pareillement copié les systèmes ennemis de régimentation, rationnement, contrôles, plafonnements sur leur propre territoire, au nom du «devoir sacré» de les détruire dans les pays d'Europe qui en étaient affligés! On sait de quelle façon tous ces pays ont été par la suite «libérés», soit de leurs empires, soit de leur autonomie nationale, soit de leur initiative financière et économique, soit de leur stabilité politique. L'Europe entière a été broyée, désaxée, ravagée par deux grandes puissances extra-européennes, les deux seules puissances mondiales qui subsistent, U.S.A. et U.R.S.S., dont les impérialismes et les hégémonies se sont substitués à ceux qui ont disparu. Ce sont les deux seules puissances mondiales qui restent sur la terre parce qu'en notre ère de guerres totales, complexes, où tous les métaux, tous les produits imaginables et toutes les techniques entrent en jeu, ce sont les deux seuls arsenaux réels qui existent. Angleterre, Italie, France, Allemagne, Pologne, pays balkaniques sont définitivement éliminés en tant qu'arsenaux complets, et ne pourront plus jouer dans l'avenir que des rôles de satellites, soutenus et armés par l'Amérique du Nord ou la Russie soviétique. La Deuxième Guerre mondiale en avait clairement indiqué tous les prodromes, que l'après-guerre a confirmés. C'est ainsi que l'on voit les Etats-Unis devenus la puissance méditerranéenne majeure, et des pays non-atlantique comme l'Italie, la Grèce et la Turquie adhérer au Pacte de l'Atlantique. C'est dans ces conditions que le communisme, si complaisamment toléré avant la guerre, tant aidé pendant la guerre, est devenu subitement le péril qu'il faut conjurer. Non pas à cause de toute son idéologie contre nature, de ses méthodes inhumaines, de son matérialisme qui veut exclure même l'idée de Dieu du coeur des hommes, mais parce qu'il représente un défi industriel et commercial devenu trop immédiat, une menace militaire et aérienne devenue trop grande, une hégémonie politique trop vaste, une confiscation trop gigantesque des capitaux étrangers placés dans les territoires communistes La seule arme spirituelle que l'on oppose officiellement au communisme, c'est le mot démocratie, régime démocratique. C'est un mot que se disputent âprement les soi-disant démocrates (qui n'en sont nullement) et les communistes. II y a cent ans, voire deux cents ans, les protagonistes de l'idée communiste annonçaient que leur système donnerait au monde la plénitude de la démocratie; à la même époque, les Pères de la constitution américaine, de la constitution française, tous ardents partisans du système républicain, et les chefs de toutes les monarchies constitutionnelles, déclamaient violemment contre la démocratie, disant que son institution amènerait la fin des entités nationales, la dissolution de toute société civile, le renversement de toute religion, la perte du droit de propriété. Le vieil axe fasciste anticommuniste avait au moins le mérite d'opposé l'idée de nation à celle de «citoyenneté mondiale», l'idée de religion à celle d'athéisme, l'idée de discipline à celle de révolte, l'idée d'ordre à celle de chaos, l'idée de famille et de paternité à celle de l'individu anonyme, l'idée de propriété privée à celle de la propriété collective en tout et pour tout; c'est pourquoi elle exerçait sur les masses qu'elle contrôlait une influence spirituelle si puissante que, même après les malheurs, la ruine, la destruction, la famine et la misère de la guerre la plus dévastatrice, après quatre années d'occupation et de «ré-éducation», on admet que la physionomie morale de ces peuples n'a presque pas changé. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - Fascisme ou Socialisme ?urn:md5:d3ef091f08649e088be2d49c3955132b2011-11-29T16:54:00+00:002013-05-08T00:43:35+01:00balderArcand AdrienFascismeFührerHébraïsmeSeconde guerre mondialeSocialismeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_Fascisme_ou_Socialisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Fascisme ou Socialisme ?</strong><br />
Année : 1933<br />
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MM. Bennett et King ne cessent de répéter, depuis quelques mois, que la démocratie est eu grand danger, dans notre pays .. La démocratie a disparu en Russie, en Italie, en Allemagne, en Turquie, en Tchécoslovaquie, en Autriche. En Angleterre, où un régime travailliste-socialiste en avait fortement secoué la confiance, une vigoureuse réaction, facilitée par la trahison des chefs travaillistes contre leur propre parti, en a prolongé la .;!urée de quelques almées. Au Japon, la démocratie a perdu son autorité aux mains des factions militaires. Aux Etats-Unis, le .chef le plus démocratique du plus grand parti démocrate, le président Roosevelt, a pris des pouvoirs dictatoriaux qui font que, si la démocratie américaine existe encore en théorie, elle n'existe plus en pratique. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - A bas la haine !urn:md5:450b36c9ccaff349fca9e75c8f71786c2011-11-29T16:53:00+00:002013-11-16T13:19:37+00:00balderArcand AdrienFührerHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Arcand_Adrien_-_A_bas_la_haine_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>A bas la haine !</strong><br />
Année : 1965<br />
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À BAS LA HAINE ! Le grand journaliste John Swinton fut longtemps rédacteur-gérant (managing editor) du Times de New York. Lorsqu'il prit sa retraite, ses confrères américains lui firent un grand banquet. Ci-après, une partie de son discours en réponse du toast porté à la "presse indépendante": "Il n'existe pas de telle chose qu'une presse indépendante, à moins que ce ne soit dans une petite ville de campagne. "Vous le savez et je le sais. Il n'y en a pas un seul parmi vous qui ose écrire son honnête opinion, et si vous le faisiez, vous savez à l'avance que votre écrit ne serait jamais imprimé. Je suis payé $150 par semaine pour ne pas publier mon honnête opinion dans le journal pour lequel je travaille. D'autres, parmi vous, recoivent de pareils salaires pour un pareil travail et si n'importe qui d'entre vous était assez fou pour écrire son honnête opinion, il se retrouverait sur le pavé à se chercher un emploi. "L'occupation du journaliste de New York est de détruire la vérité, de mentir ouvertement, de pervertir, d'avilir, de ramper aux pieds de Mammon, et de vendre sa race et sa patrie pour son pain quotidien. "Vous le savez et je le sais; aussi, quelle folie que de boire à la santé d'une 'presse indépendante' ! "Nous sommes les outils et les valets d'hommes riches qui se tiennent derrière la coulisse. Nous sommes des polichinelles, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués spirituels".Voilà ce qu'un journaliste consciencieux se sentait obligé de dire publiquement, comme chant du cygne qui mettait fin à sa carrière, avant la dernière guerre mondiale. Il est vrai qu'il travaillait pour le "N.Y. TIMES", ce quotidien qui prétend donner le ton à l'opinion mondiale, surtout américaine, mais qui n'est en somme que le porte-voix des richissimes banquiers juifs de Wall Street. On se souvient que c'est ce "N.Y. TIMES" qui fit le plus pour justifier les deux premières guerres mondiales, pour exalter le "good uncle Joe" Staline, pour sanctifier les trahisons de Yalta, Téhéran et Potsdam, pour béatifier les "bons réformateurs agraires" Mao-Tsé-Toung et Tchouen-Lai et puis l'autre "bon réformateur agraire" Fidel Castro; pour discréditer les anticommunistes si dangereux pour le judeo-communisme, le sénateur Jos. McCarthy et le général MacArthur; qui fit campagne contre le sénateur Goldwater pour sa proposition de politique militaire au Vietnam, qui fait maintenant campagne contre le président Johnson parce qu'il applique cette politique, qui critique aussi le président Johnson parce qu'il a fait marcher trop rudement ses "Marines" contre les bandits de Castro qui tentaient de faire un nouveau Cuba avec San Domingo. La lecture régulière du "N.Y. TIMES" donne une assez juste idée des décisions prises par le grand sanhédrin financier international, qui se croit toujours le maître du monde moderne et fait marcher les journalistes et sous-journalistes comme des polichinelles attachés par des ficelles, comme disait le confrère John Swinton. (1) Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, la situation décrite par Swinton a empiré. C'en est rendu au point que, un peu partout, les autorités politiques, judiciaires, policières, religieuses, doivent de plus en plus fréquemment se plaindre ou fulminer contre la gent journalistique "engagée" qui se croit, à l'instar du "N.Y. TIMES" à contrôle non-chrétien et non-occidental, arbitre de l'avenir, de la morale, de la foi et de la "re-structure" du monde chrétien et occidental.Nous vivons dans un monde de mensonge et de perfidie. La vérité est constamment soustraite (quand elle ne plaît pas) ou salie (quand elle est trop belle) ou tronquée (quand elle est trop complète). En 1952, le Pape Pie XII a dû se plaindre même de la presse catholique qui avait fait pendant vingt ans la guerre du silence autour des miracles de Fatima. Et combien d'évêques, après les séances du Concile Oecuménique Vatican II ont lu avec un certain effarement les distorsions publiées dans les journaux de leurs diocèses concernant ce Concile ! Le mensonge, dont Satan lui-même est le père (s. Jean VIII), est d'autant plus temporaire, local, opportuniste, compromettant et tolérant que la vérité est éternelle, universelle, intégrale, intransigeante et intolérante. La vérité n'admet pas de soustraction, de souillures, de voile ou d'enténèbrement. La vérité est la mère de la compréhension, de l'entente, de l'ordre, de la justice et de l'amour, lequel engendre la vraie paix. Le mensonge crée les fausses nouvelles, les fausses théories, l'histoire erronée; en notre époque plus qu'en toute autre, il est devenu un produit de fabrication à la chaîne qui suscite le chaos des idées par la perversion des mots. Le dialogue, dont on parle tant, est devenu impossible puisque les mêmes mots ont un sens différent ou contraire suivant l'optique spirituelle de ceux qui les utilisent. Et il n'y a que deux seules optiques possibles dans ce dialogue recherché et qui ne sera possible qu'après la chute définitive d'une des deux optiques: celle du christianisme spiritualiste trinitaire, celle du judaïsme matérialiste farouchement antichrétien. Comme le répètent tant de savants auteurs juifs, il y a entre les deux un abîme sans fond et infranchisable que rien ne saura jamais combler. Et ceux qui, par esprit de faux "bonententisme" ou pour des considérations d'avantages personnels, ont voulu avoir un pied dans l'un et l'autre messianismes, en sont revenus irrécupérablernent "judaïsés dans la mesure qu'ils ont été déchristianisés", pour employer l'expression de l'historien juif Bernard Lazare. Et, leur foi (c'est-à-dire la Vérité) ayant été `détotalisée', ils sont devenus partiellement incrédules et, ne pouvant plus trouver de refuge dans la "Vérité intransigeante et intolérante'' du messianisme chrétien, ils se sont livrés partiellement au messianisme désuet d'il y a vingt siècles qui veut renaître matérialistement sur les ruines désirées du spiritualiste. C'est pourquoi l'historien juif éminent James Darmesteter a écrit avec tant de justesse: "Le Juif, est le docteur de l'incrédule, tous les révoltés de l'esprit viennent à lui, dans l'ombre ou à ciel ouvert". Les fondations "judéo-chrétiennes", de financement juif, sont les parfaits lupanars spirituels pour ces "révoltés de l'esprit". Le mensonge, par ses produits et sous-produits, engendre inévitablement la querelle, la révolte, l'émeute, la guerre, l'homicide. Il est le père de cette fille hideuse que l'on appelle la Haine. La haine ne peut, ni de près ni de loin, surgir de l'enseignement du Christ, qui n'est qu'Amour. Elle ne peut venir que de ce qui est antichrétien, anti-amour. Quand Saint Jean parle de "Satan, père du mensonge, car il n'y a pas de vérité en lui, homicide dès le commencement", il décrit assez bien comment le mensonge ne peut produire que de l'homicide. Et comme Jésus-Christ a dit, par un décret sans appel, "Je suis la Vérité", il s'ensuit que tout ce qui est contre le Christ et Son christianisme est mensonger et originateur d'homicide. Sur notre terre, depuis dix-neuf siècles et en ce moment, le judaïsme talmudique est ce qu'il y a de plus fervemment antichrétien, d'autant plus que le judaïsme a à sa disposition les contrôles mondiaux de la finance, de la propagande, de la politique et de la diplomatie: donc les contrôles primordiaux pour la propagation du mensonge. Tout l'Occident chrétien le sait, presque tous ses membres n'osent le dire, par intérêt personnel. Ayant payé le plein prix de dire la vérité, je suis un des rares Occidentaux chrétiens qui puisse se permettre de parler sans crainte des conséquences: privilège rarissime en notre époque. <strong>...</strong></p>