Balder Ex-Libris - Beam LouisReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearBeam Louis - Résistance autonomeurn:md5:6b68bf9b10a9ab731bbb72ce6daddefb2014-03-08T00:48:00+00:002014-03-08T00:50:27+00:00balderBeam LouisAmériquesAnthroposophieThéosophieÉtats-Unis <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Beam_Louis_-_Resistance_autonome.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Beam Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Résistance autonome</strong><br />
Année : 1992<br />
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On doit le concept de résistance autonome au Colonel Ulius Louis Amoss, fondateur de l'ISII (International Service of Information Incorporated) dont le siège était à Baltimore, Maryland. Amoss s’est éteint il y a plus de quinze ans. Et durant toute sa vie, il fut un infatigable opposant au communisme, ainsi qu'un officier de renseignements très doué. Amoss publia pour la première fois sa conception de la résistance autonome le 17 avril 1962. Ses théories organisationnelles visaient essentiellement à contrer la menace d'une éventuelle prise de pouvoir communiste aux Etats-unis. J’ai repris et développé ces conceptions, adaptées au contexte actuel. Amoss redoutait les communistes. Je redoute le gouvernement fédéral. Le communisme actuellement ne représente plus aucun danger pour personne aux Etats-unis, alors que la tyrannie fédérale menace chacun d’entre nous. J’ai vécu heureusement assez longtemps pour assister aux derniers souffles du communisme ; mais, malheureusement, je vivrai aussi sans doute assez longtemps pour voir les derniers moments de la liberté en Amérique. J’ai rédigé ce texte en espérant que, d'une façon ou d'une autre, l'Amérique soit encore capable d’engendrer des combattants contre les persécutions et l'oppression sans cesse plus pesantes. Franchement, ils est encore trop tôt pour se prononcer sur ce point. Les amoureux de la liberté, qui la juge encore digne d’un combat, aujourd'hui se font rares ; mais dans toute nation qui fut grande dans son histoire, subsistent des germes de cette grandeur passée. Ils existent. J'ai vu leur regard brillant, j'ai vécu leur vie. J'ai partagé leur amitié, nous avons enduré les mêmes peines. Nous sommes une tribu de frères enracinés dans notre sol, nous communiquant notre force lorsque nous foncions tête baissée dans une bataille que les faibles et les lâches annonçaient perdue. Peut-être ... mais peut-être avons-nous aussi aujourd’hui une chance de vaincre. La guerre ne sera terminée qu'avec la mort ou l'emprisonnement du dernier combattant de la liberté, ou jusqu’à ce que les destructeurs des libertés connaissent le même sort. A moins d'événements cataclysmiques, la lutte durera encore de longues années. Le temps passant, même les moins intelligents se rendront compte que le gouvernement est une menace majeure pour la vie et la liberté des gens. L’oppression actuelle paraîtra bénigne au regard de ce que le gouvernement planifie pour l’avenir. Dans le même temps, nous continuons, nous, à espérer que le petit nombre accomplira ce que le grand nombre a échoué à accomplir. Nous savons qu'avant de se rétablir, la situation va se dégrader, car le gouvernement fait montre d’une volonté de répression toujours plus dure contre les dissidents. En raison de cette situation instable, ceux qui s'opposent à la tyrannie de l’Etat doivent être prêts à adapter et à modifier leurs comportements, leur stratégie et leurs tactiques lorsque les circonstances l’exigent. Celui qui refuse de prendre en considération de nouvelles méthodes et de les appliquer lorsque la nécessité s’en impose, se fait l’auxiliaire du gouvernement dans ses tentatives de répression. Or c'est le devoir de tout patriote de rendre la vie de l'oppresseur invivable. Lorsqu'on échoue dans cette tâche, ce n'est pas seulement un échec individuel, c'est un échec pour toute la communauté. Une fois cela à l'esprit, on doit mettre sévèrement à l’épreuve, sur le plan de la sécurité, les méthodes routinières de résistance à la tyrannie utilisées par les défenseurs de notre ethnie, de notre culture et de notre héritage. On doit analyser objectivement l’efficacité de ces méthodes, ainsi que leurs effets sur la répression gouvernementale : la rendent-elles plus difficile ou au contraire plus aisée ? Celles qui ne servent pas nos objectifs doivent être écartées, faute de quoi le gouvernement profitera de nos carences. Les braves citoyens regroupés en entités politiques et religieuses étant calomnieusement étiquetés comme "terroristes intérieurs", "sectaires" (cultists) et réprimés, il est indispensable de prendre en compte d'autres formes d'organisation, - de non-organisation pour être plus exact. On doit garder à l'esprit que ce n'est pas l'intérêt du gouvernement d’éliminer toutes les organisations. <strong>...</strong></p>Beam Louis - Compilationurn:md5:4b6c1f5258f40eb37b3f244b17622a032012-11-18T19:34:00+00:002012-11-19T00:35:58+00:00balderBeam LouisAmériques <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Beam_Louis_-_Compilation_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Beam Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Compilation</strong><br />
Année : 19**<br />
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La résistance sans chef suivi de : Le multiculturalisme : outil pour diviser pour mieux régner et autres textes. <strong>...</strong></p>Beam Louis - La Résistance sans chefurn:md5:f06922d1d3579971161b01da7979d23e2012-11-18T19:13:00+00:002012-11-18T19:14:04+00:00balderBeam LouisAmériquesConspirationEurope <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Beam_Louis_-_La_Resistance_sans_chef_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Beam Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Résistance sans chef</strong><br />
Année : 1992<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Beam_Louis_-_La_Resistance_sans_chef.zip">Beam_Louis_-_La_Resistance_sans_chef.zip</a><br />
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Le concept de Résistance sans chef a été proposé par le colonel Ulius Louis Amoss, qui fut le fondateur de l’ISII (International Service of Information Incorporated, Compagnie de service international de l’information), située à Baltimore dans le Maryland. Le colonel Amoss mourut plus de quinze ans après ; il fut durant sa vie un opposant acharné au communisme, ainsi qu’un officier du renseignement efficace. Le premier écrit du colonel Amoss sur la Résistance sans chef date du 17 avril 1962. Ses théories de l’organisation étaient au départ dirigées contre un éventuel coup d’État communiste aux États-Unis. Le présent auteur, avec l’avantage d’avoir vécu de nombreuses années après le colonel Amoss, a repris ses théories et les a exposées. Amoss redoutait les communistes. Cet auteur-ci craint le gouvernement fédéral. Le communisme ne représente plus un danger pour personne aux États- Unis, alors que la tyrannie fédérale représente une menace pour tous. L’auteur a vécu assez longtemps pour voir avec joie les derniers râles du communisme, mais vivra malheureusement peut-être assez longtemps pour voir disparaître la liberté en Amérique. Cet essai a été rédigé avec l’espoir que l’Amérique, d’une manière ou d’une autre, puisse encore engendrer les courageux fils et filles nécessaires pour s’opposer aux persécutions toujours grandissantes et à l’oppression. Sincèrement, il est trop tôt pour se prononcer sur ce point. Ceux qui aiment la liberté et qui y croient suffisamment pour se battre pour elle sont rares aujourd’hui, mais dans le sein de chaque grande nation restent sécrétés les germes de la grandeur d’autrefois. Ils sont là. J’ai plongé mes yeux dans leurs yeux illuminés, partageant avec eux de brefs moments autant que mon passage sur terre l’a permis. J’ai apprécié leur amitié, j’ai enduré leur douleur, et eux la mienne. Nous sommes un groupe de frères, enracinés, chacun gagnant de la force grâce aux autres quand nous sommes hardiment partis au combat, alors que tous les faibles, les timorés, nous disaient que nous ne pourrions l’emporter. Peut-être... mais peut-être que nous pouvons vaincre. Ce ne sera pas terminé tant que le dernier combattant pour la liberté ne sera pas enterré ou emprisonné ou que la même chose soit arrivée à ceux qui veulent détruire notre liberté. À moins que des événements cataclysmiques ne surviennent, la lutte se poursuivra pendant des années. Avec le temps, il deviendra clair même pour les moins éveillés que le gouvernement est la première menace contre la vie et contre la liberté du peuple. L’oppression actuelle fera figure de travail d’amateur en comparaison de ce qu’ils ont planifié pour le futur. En attendant, nous continuons à espérer que le peu que nous sommes réussira là où tant ont échoué. Nous sommes conscients qu’avant que la situation ne s’améliore, elle empirera à mesure que le gouvernement dévoilera sa volonté d’utiliser des mesures policières toujours plus sévères contre les dissidents. Cette situation changeante montre clairement que ceux qui s’opposent à la répression d’État doivent être préparés à changer, à modifier, à adapter leur comportement, leur stratégie et leurs tactiques en fonction des circonstances. Refuser de prendre en considération les nouvelles méthodes et leur mise en œuvre comme une nécessité facilitera les efforts de répression du gouvernement. C’est le devoir de chaque patriote de rendre la vie du tyran insupportable. L’échec d’un seul dans cette mission n’est pas seulement l’échec d’une personne, mais l’échec de tout son peuple. Dans cet esprit, les méthodes actuelles de résistance à la tyrannie employées par ceux qui aiment notre race, notre culture et notre héritage, doivent être examinées et remises en cause. Ces méthodes doivent être mesurées objectivement autant à l’aune de leur efficacité qu’à leur faculté à rendre les intentions répressives du gouvernement plus faciles ou plus difficiles. Celles qui ne contribuent pas à la réalisation de nos objectifs doivent être rejetées ou le gouvernement bénéficiera de notre incapacité à nous en débarrasser. Les associations ou partis politiques ou religieux regroupant les honnêtes citoyens sont faussement qualifiés de « terroristes de l’intérieur » ou de « sectes » et harcelés, il devient nécessaire d’envisager d’autres méthodes d’organisation ou, plus exactement, de non-organisation. Il faut se souvenir qu’il n’est pas dans l’intérêt du gouvernement d’éliminer tous ces groupes. Quelques-uns doivent être préservés pour continuer à faire illusion, pour que les masses continuent à croire que l’Amérique est un « pays démocratique libre » où la dissidence est autorisée. Par contre, la plupart des organisations qui possèdent le potentiel pour une résistance effective ne seront pas autorisées à continuer à exister. Quiconque est assez naïf pour croire que le plus puissant gouvernement de la terre n’écrasera pas tous ceux qui présentent une menace réelle pour son pouvoir ne doit pas se retrouver sur le terrain, mais plutôt chez lui à étudier l’histoire politique. La question de savoir ce qui doit être rejeté ou rejeté trouvera sa réponse dans la manière dont les groupes et les individus gèrent différents facteurs tels que : se tenir à l’écart des petits complots, rejeter les faibles d’esprit toujours mécontents, insister sur la qualité des participants, éviter tout contact avec les fers de lance des fédéraux – les nouveaux médiats – et, enfin, la capacité à se camoufler (qui peut être définie comme la capacité à cacher aux yeux de la masse les organisations les plus engagées de la résistance derrière les associations « kosher » qui sont généralement perçues comme inoffensives). La possibilité qu’une organisation soit autorisée à continuer dans le futur sera essentiellement déterminée par l’importance de la menace que ce groupe représente. Non pas une menace en terme de puissance militaire ou de capacité politique, car elle n’existe pas actuellement, mais plutôt menace en terme de potentialité. C’est cette potentialité que les fédéraux craignent le plus. Que ce potentiel existe chez un individu ou dans un groupe est accessoire. Les fédéraux mesurent une menace potentielle selon ce qui peut arriver si une situation pousse une organisation ou un individu rebelles à l’action. La collecte de renseignements précis leur permet d’évaluer ce potentiel. S’afficher avant que les paris ne soient faits est le meilleur moyen de perdre. Le mouvement pour la liberté se rapproche rapidement du point où pour beaucoup de gens, l’option de l’adhésion à un groupe ne se posera plus. Pour les autres, l’appartenance à un groupe ne restera une option possible que dans un futur proche. Finalement, et peut-être bien plus tôt que beaucoup ne le pensent, les désavantages liés à l’appartenance à un groupe seront supérieurs à tout les bénéfices possibles. Mais pour l’instant, certains des groupes qui existent servent souvent un but utile autant pour les nouveaux venus qui peuvent être formés à l’idéologie du combat que pour diffuser de la propagande pour atteindre de potentiels combattants de la liberté. Il est certain que, pour la plupart, ce combat les conduira rapidement à l’action individuelle, chacun, en son for intérieur, pouvant faire personnellement le choix de la résistance, la résistance par tous les moyens nécessaires. Il est difficile de savoir ce que les autres feront, car aucun homme ne peut sonder réellement le cœur d’un autre. Il suffit de savoir ce que soi-même on fera. Un grand maitre a dit : « Connais-toi toi-même ». Peu d’hommes y parviennent vraiment ; mais que chacun de nous se promette de ne pas se laisser mener tranquillement à la fin prévue par nos prétendus maîtres. <strong>...</strong></p>Beam Louis - Le Multiculturalismeurn:md5:e9979ba7dc69a1566ec7fafa7196bbf42012-11-18T19:12:00+00:002012-11-18T19:13:04+00:00balderBeam LouisAmériquesConspirationEuropeHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Beam_Louis_-_Le_Multiculturalisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Beam Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Multiculturalisme Outil pour diviser pour mieux régner Introduction pour les novices</strong><br />
Année : 19**<br />
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Aucune nation ne naît multiculturelle. Le multiculturalisme est une situation artificielle autant que malsaine qui ne peut affecter que les États en déclin général. Un État multiculturel porte au plus profond de lui les germes d’une future destruction nationale. Toutes les nations multiculturelles aboutirons à un état de délabrement politique, moral, économique et social. L’avidité et la corruption caractériseront le gouvernement ainsi que les mesures oppressives dirigées contre les citoyens. Le mensonge et la tromperie seront le fond de commerce des médiats, des politiciens et des institutions éducatives. Tels sont les indicateurs de l’avènement du multiculturalisme. Dans les temps modernes, le multiculturalisme est institué du haut vers le bas comme un outil de la haute classe dirigeante et utilisé pour pousser un ou plusieurs groupes raciaux ou ethniques contre un autre. Le chaos culturel qui s’ensuit sert les desseins politiques, les objectifs économiques et les besoins de puissance des élites dirigeantes et de leurs commanditaires. Cette technique a été développée par les idéologues marxistes qui ont utilisé le multiculturalisme en Russie pour diviser et vaincre la résistance à l’établissement d’un État communiste. Le résultat final de leur prise de contrôle réussie fut l’assassinat de trente millions d’êtres humains dans la seule Union soviétique. Beaucoup plus ailleurs. Les mêmes cabalistes internationaux qui ont soutenu Lénine, Trotzky et Staline comme chefs multiculturels de l’Etat soviétique à partir de leurs établissements bancaires de New York, soutiennent de la même façon les chefs multiculturels des États-Unis, du Canada et d’Europe aujourd’hui. Un réseau interconnecté de fondations telles que Ford et Carnegie, d’empires bancaires internationaux tels que Rockefeller et Rothschild, et d’organismes gouvernementaux qu’ils contrôlent fermement travaillent en tandem avec les relais de la propagande contrôlée comme le New York Times, CBS et Hollywood, pour promouvoir, favoriser et encourager le multiculturalisme aujourd’hui. Bien que les exemples utilisés dans cet essai traite principalement des États-Unis, le même processus avec les mêmes méthodes sont employés ailleurs. C’est par là une preuve prima facie d’une cabale qui favorise le multiculturalisme comme un outil pour atteindre ses objectifs. Le multiculturalisme est utilisé comme un marteau pour forger les peuples dociles qui composeront les États obéissants du Nouvel ordre mondial. Comme arme de guerre politique moderne, le multiculturalisme a peu d’équivalents, ce qui explique son utilisation actuelle contre toute l’Europe occidentale, les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Le morcellement délibéré de ces nations et la perte de l’identité nationale et de projet qui aboutit à des groupes politiques en conflit sert de tremplin à un gouvernement mondial. Et qui donc composera ce gouvernement mondial ? Une classe dirigeante consistant en une « hiérarchie économique » remplacera la « hiérarchie naturelle » de la philosophie du XIXe siècle. Une force qui considère les pays et les gens qui y vivent d’abord comme des cibles économiques à exploiter, et ensuite comme des cibles militaires devant être vaincues si elles résistent. Il ne faut pas se laisser abuser par l’apparence trompeuse des gogos enthousiastes de gauche qui sont le plus souvent, mais pas toujours, considérés comme les porte-parole de la splendeur du multiculturalisme. Les partisans libéraux du multiculturalisme ne sont rien d’autre que des parasites opportunistes à cheval sur le dos d’un champignon social attaquant le corps politique. Puisque certains libéraux incohérents ont été les porte-parole du multiculturalisme, ils ne devraient pas être considérées comme représentant les principaux courants libéraux, pas plus que ne devraient l’être de soi-disant conservateurs tels que Bob Dole et Newt Gingrich parlant au nom des constitutionnalistes et des populistes. Le véritable instigateur, l’élite invisible qui promeut le multiculturalisme telle une arme de guerre, sont tout sauf libéraux, progressistes ou démocratiques. Au contraire, ce sont des tyrans sociaux mondialistes qui convoitent plus de puissance, plus de richesse, et plus de contrôle sur les gens – ils se moquent complètement de l’opinion de ceux qu’ils veulent gouverner. Les plans des élites prévoient un gouvernement mondial dictatorial composé d’États fédérés par la force, qui, à proprement parler, sont des États policiers sans frontières. L’Organisation des Nations unies servira de vitrine commerciale et de visage public à ceux qui dans les coulisses manipulent les événements mondiaux. Leur projet économique est une plantation mondiale de travailleurs supervisés par des sociétés transnationales qui ne se soucient pas plus des droits de l’homme de ceux qui produisent leurs produits ou services que Staline de ses travailleurs misérables. Les États vassaux devront produire les biens et s’assurer de l’obéissance de leurs sujets en considérant toute opposition à l’État policier sans frontières comme du terrorisme. C’est ainsi que se dérouleront les meilleures années. Dans les mauvais périodes, quand les sociétés multinationales élitistes seront incapables de maintenir le contrôle, la puissance militaire de l’OTAN sera utilisée pour imposer l’obéissance par des États non-alignés. <strong>...</strong></p>