Balder Ex-Libris - Bellamy Félix-Charles-MarieReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearBellamy Félix-Charles-Marie - Eon de l'Etoileurn:md5:f25d13a878726a55c8ad8da1412b9a8d2018-05-13T14:39:00+01:002018-05-13T13:48:47+01:00balderBellamy Félix-Charles-MarieAustriaBerlinBolchevikBretagneChristianismeConspiracyEuropeFascismFirst World WarFranceGermanyGraalHungaryIron GuardItalyLondonPolandRomaniaRussiaSecond World WarThird ReichUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Eon_de_l_Etoile.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bellamy Félix-Charles-Marie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Eon de l'Etoile L'hérétique de Brocéliande</strong><br />
Année : *<br />
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Le Seigneur de l’Étoile I. Vers le milieu de ce même douzième siècle, de 1145 à 1148, par conséquent du temps de Robert Wace, Bérenton reçut un autre genre de célébrité par les actes d’un homme, Éon de l’Étoile, qu’on représente habituellement comme un hérésiarque et un fanatique extravagant, mais qui semble plutôt n’être qu’un effronté brigand. En racontant l’histoire d’Éon de l’Étoile j’indiquerai, chemin faisant, les sources, toutes bien connues, où j’en ai puisé les détails ; mais je dois tout d’abord mentionner deux historiens du XIIe siècle, contemporains d’Éon par conséquent, et qui ont principalement défrayé tous les écrivains qui se sont ensuite occupés de ce personnage. Ce sont Guillaume de Neubrige et Othon de Freisingen. Guillaume de Neubrige, né en 1136 dans le duché d’Yorck, en Angleterre, et mort en 1208 ou 1220, était chanoine de Saint-Augustin de Cantorbéry, en Angleterre. Il À écrit : Rerum Anglicarum libri quinque. C’est dans cet ouvrage que l’on trouve l’histoire d’Éon. Othon de Freisingen (Otto Frisingensis), ainsi nommé parce qu’il fut évêque de Freisingen, petite ville de Bavière à peu de distance de Munich, était d’une illustre origine ; il vint faire ses études dans l’Université de Paris et mourut en 1158. C’est aux chapitres LIV et LV du livre I de son histoire : De Gestis Friderici I Cæsaris Augusti, qu’il raconte brièvement ce qui concerne Éon. On trouvera, plus loin, la partie des textes de ces deux historiens qui se rapporte à notre sujet. <strong>...</strong></p>Bellamy Félix-Charles-Marie - Merlin dans la littérature et les traditions populairesurn:md5:c12249333ff5497cc29bf3cf97910f2d2018-03-21T21:06:00+00:002018-04-14T19:45:00+01:00balderBellamy Félix-Charles-MarieBretagneCeltesIsraëlJewTradition <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Merlin_dans_la_litterature_et_les_traditions_populaires.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bellamy Félix-Charles-Marie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Merlin dans la littérature et les traditions populaires</strong><br />
Année : *<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook3/Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Merlin_dans_la_litterature_et_les_traditions_populaires.zip">Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Merlin_dans_la_litterature_et_les_traditions_populaires.zip</a><br />
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CHAPITRE I : NÉ D’UNE VESTALE. I - Merlin né d’une vestale. Privilégié de catalepsie et de seconde vue. Fut-il chrétien ? Merlin, quel nom ! Quel merveilleux prestige, après quatorze siècles, l’entoure encore aujourd’hui ! Fut-il dans les annales bretonnes un nom plus populaire et plus justement vénéré ? - Salut, noble barde ! Si l’île de Bretagne eut le privilège, paraît-il, de vous donner le jour, la terre d’Armorique elle aussi a quelquefois prétendu cet honneur. Mais qu’importe après tout cette circonstance fortuite du lieu de la naissance ? Vos sentiments, vos actes et vos constants efforts montrent que vous ne fûtes pas seulement l’homme d’un lieu unique ; ne vous proclame-t-on pas la personnification la plus accomplie de la patrie bretonne ? À ce titre vous appartenez à la race entière, et l’Armorique, avec non moins de raison que la Cambrie, vous revendique au nombre de ses plus illustres enfants. Et par un juste sentiment d’orgueil, en attachant votre nom à des lieux, à des monuments, à des chants nationaux, elle a voulu rendre votre mémoire impérissable parmi les hommes. Avant de parler de Merlin, le personnage le plus considérable avec Arthur que les anciens romanciers, dans leur imagination, ont conduit en Brocéliande, et à sa merveilleuse Fontaine, je dois dire à quelle source j’ai puisé ce que je vais rapporter. J’emprunterai une large part de cette notice au livre de M. de la Villemarqué, intitulé Myrdhinn (1862). Apportant la lumière en cette obscurité qui enveloppe ces temps anciens, et débrouillant la confusion, le savant écrivain nous fait connaître en ce livre les multiples aspects de cette imposante figure du prince des bardes, dans la vénération duquel s’unissent toujours les divers rameaux de la race bretonne. Multiples aspects, ai-je dit, c’est que, en effet, la légende, la fable, l’histoire, la poésie, le roman, la philosophie, se sont tour à tour emparés de Merlin, et en ont fait pour ainsi dire autant de personnages différents. Mais outre ce livre, chemin faisant je m’aiderai du concours d’un grand nombre d’autres auteurs, que j’indiquerai à fur et mesure qu’ils apparaîtront. <strong>...</strong></p>Bellamy Félix-Charles-Marie - Brocéliande et les romans de la Table Rondeurn:md5:b1f4ba761b6713e454f2ede16aba589a2016-11-26T15:11:00+00:002016-11-26T15:28:36+00:00balderBellamy Félix-Charles-MarieAsiaCeltesEuropeGraalRacialism <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Broceliande_et_les_romans_de_la_Table_Ronde.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bellamy Félix-Charles-Marie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Brocéliande et les romans de la Table Ronde</strong><br />
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Avertissement. Le plus célèbre des romans de la Table-Ronde qui ont Brocéliande pour cadre de l’un ou l’autre de leurs épisodes est sans conteste celui de Chrestien de Troyes Yvain ou le chevalier au lion. Mais d’autres romans, plus ou moins accessibles, ont mis en scène les chevaliers de la Table-Ronde dans la forêt de Brocéliande : Brun de la Montagne. Le Roman de Merlin. Le Roman de Ponthus. Li Romans de Claris et Laris. Les héros, Arthur, Merlin, Carados, Gauvain, Keu, Yvain, et tous les effets spéciaux du cycle de la Table-Ronde s’y retrouvent : dames opprimées, châteaux enchantés, géants, diables, nains, bêtes fauves et pâmoisons, passions impossibles, tournois grandioses, et fées ! Les fées surtout s’emparent ici des premiers rôles et nos anonymes auteurs nous font pénétrer davantage dans leur univers que ne l’avait réussi ou voulu Chrestien de Troyes. Dans Brun de la Montagne, on apprend comment elles distribuent les dons aux enfants exposés à la fontaine des Merveilles. Le Roman de Merlin nous narre la façon dont Viviane parvint à enserrer l’enchanteur dans la prison d’air de leurs amours. Le Roman de Ponthus raconte comment le bon chevalier Ponthus, « faisant ses armes » près de la Fontaine et du Perron de Bellanton, conquit la belle Sidoine. Li Romans de Claris et Laris, le dernier en date des romans arthuriens, nous fait connaître, à côté des célèbres Morgane et Viviane, le nom de fées moins connues : Brimeholz et Salatrie la Sage. Il nous initie également aux redoutables vengeances dont une fée amoureuse, Madoine, est capable. <strong>...</strong></p>Bellamy Félix-Charles-Marie - Avalonurn:md5:aa88f92a4ceb1072704965502da0c5c62016-10-02T03:04:00+01:002016-10-02T02:08:46+01:00balderBellamy Félix-Charles-MarieCeltesEuropeRacialism <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Bellamy_Felix-Charles-Marie_-_Avalon.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bellamy Félix-Charles-Marie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Avalon, l'île des fées</strong><br />
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Les Dames Fées, comme on disait avec grand respect, ou bien encore les bonnes dames (Jean d’Arras), au temps de leur mission sur la terre, aux temps où elles favorisaient de leur présence les pays hospitaliers des races celtiques, les Fées ne résidaient pas partout indifféremment ; encore leur fallait-il des sites conformes à leurs goûts. Le roman de Brun de la Montagne nous indiquera plus loin les Lieux-Fées, comme on disait, les plus en renom. L’un des plus accrédités était en Bréchéliant, aux alentours de notre fontaine de Bérenton. Ce n’était pas sans quelque terreur que les croyants abordaient ce sanctuaire. Hélas ! il n’est que trop aisé maintenant d’arriver à Bérenton et au Val des Fées ; ce qu’on appelle la civilisation s’y installe par degrés pour détériorer et pervertir la nature ; car tout bien vient de Dieu, et tout mal vient de l’homme, a dit quelque part Henri Heine. Mais, si ce n’est les Fées elles-mêmes qui savent tout, qui pourra jamais nous apprendre, et qui a jamais su dans quel recoin des mers se cachait l’île mystérieuse d’Avalon, cette île où revivent les morts 1, cette demeure enchantée d’un innombrable essaim de Fées ; la terre embaumée aux pommiers toujours fleuris 2, l’île Fortunée, le royaume des Fées, où préside l’habile Morgen ? C’est là que règne le roi Artur, devenu le roi des Fées, depuis que, blessé à Camblan, elles l’ont enlevé au monde matériel et visible. En cet asile favorisé d’où sont exclus les regrets et les noirs soucis, où l’on ne connaît que la joie et le bonheur, où l’on se repose dans le calme d’une inaltérable félicité, quelques privilégiés seuls parmi les humains : Ogier le Danois, Renoart, Obéron, Malambrun, qui fut un Luyton des mers 3, ont mérité d’être conduits par les Fées elles-mêmes, et s’ils ont été restitués ensuite à la terre des hommes et à leur condition première, ils n’ont pu que dépeindre une image terne et voilée de leur bonheur ; mais la route, ils n’ont pu l’enseigner. Le naufragé que le flot y jette presque mourant est ramené à la vie par le soin des nymphes médicinatrices. <strong>...</strong></p>