Balder Ex-Libris - Berclaz René-LouisReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearBerclaz René-Louis - Le shabbat-goy et les idiots utilesurn:md5:795d48a7d4953693e26a452f337bec0b2018-09-13T14:22:00+01:002019-02-05T12:24:45+00:00balderBerclaz René-LouisCanadaConspiracyEconomyHébraïsmeIraqJewRévisionnismeSwedenUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Berclaz_Rene-Louis_-_Le_shabbat-goy_et_les_idiots_utiles.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Berclaz René-Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le shabbat-goy et les idiots utiles</strong><br />
Année : 2018<br />
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Rigoureusement sélectionné pour sa stupéfiante dextérité mentale et manuelle, le shabbat-goy vide les pots de chambre et sert la soupe presque simultanément le samedi dans la demeure du maître juif ; il joue par conséquent un rôle d’une extrême importance puisqu’il permet au Juif de respecter scrupuleusement les commandements de Yahvé le jour du shabbat en le libérant des fastidieuses contraintes de la vie domestique. Ce méritoire dévouement permet au Juif pieux d’atteindre l’état de transcendance nécessaire pour parvenir aux plus hauts degrés de l’art de la choutzpah et de la science de l’enfumage grâce à quoi il pourra surpasser les prodiges des plus grands fakirs en transformant les enfants du Bon Dieu en canards sauvages. Le shabbat-goy peut employer à sa guise les autres jours de la semaine pour arrondir ses fins de mois : il sera alors dirigeant d’une entreprise multinationale ou banquier international, haut fonctionnaire ou magistrat, prélat ou barbouze, ministre ou député, homme de lettres ou homme de main, amuseur à la télévision ou aboyeur à la radio, voire même président de la République ou conseiller fédéral… Consécration suprême, un certain shabbat-goy colle si bien à ce profil qu’un ancien président du Conseil italien l’avait ironiquement qualifié de « kapo » dans l’hémicycle de Strasbourg, précisant qu’il serait parfait pour jouer ce rôle dans un film sur Auschwitz. Tout le monde aura reconnu Martin Schultz, ancien président du Parlement européen et ancien président du Parti socialdémocrate d’Allemagne (SPD). L’eurocrate avait en effet déclaré dans un entretien accordé à Avraham Burg, ancien président de l’Organisation sioniste mondiale, et publié dans le quotidien Haaretz du 14 février 2016 : « Pour moi, la nouvelle Allemagne n’existe que pour assurer l’existence de l’Etat d’Israël et du peuple juif. » Alors que le shabbat-goy se tient plutôt du côté du manche, l’idiot utile se complaît quant à lui dans la contemplation béate des éléphants roses, une aventure qui se termine le plus souvent à ses dépens. On attribue à Lénine la paternité de cette expression qui désignait alors les porteurs de valise de la Révolution judéo-bolchevique. L’exemple le plus emblématique d’idiot utile est certainement celui de Fritz Platten (1883-1942), que Lénine avait rencontré lors de ses séjours en Suisse. C’est depuis là que le chef bolchevique avait pu fomenter en toute quiétude la révolution la plus meurtrière de l’Histoire. La police fédérale avait reçu des consignes pour regarder ailleurs… Membre fondateur du Parti communiste suisse, Fritz Platten avait commencé sa carrière d’agitateur professionnel en se rendant à Riga pour participer à la Révolution russe de 1906. Après avoir organisé depuis la Suisse le retour de Lénine en Russie dans le fameux wagon plombé (avril 1917), Fritz Platten devint en quelque sorte l’homme de confiance de Lénine à cause de son dévouement aveugle. En effet, il sauva la vie de Vladimir Illitch en faisant de son corps un bouclier lorsque celui-ci fut victime d’un attentat à Petrograd en janvier 1918. Fritz Platten reçut le projectile à sa place en se jetant devant lui. Délicate attention, Lénine lui offrit en guise de remerciement un magnifique pistolet Mauser, du même modèle que celui qui allait servir à tuer le tsar et sa famille quelques mois plus tard… Au terme de la Première guerre mondiale, Fritz Platten reçut une mission vraiment impossible consistant à déclencher la Révolution bolchevique en Suisse : il devait y organiser une grève générale qui coïnciderait avec la fin des hostilités (novembre 1918) et le début des troubles en Allemagne. Ce plan aurait dû aboutir à imposer un régime bolchévique dans une grande partie de l’Europe. Comme on pouvait s’en douter, les quelques troubles furent rapidement réprimés par l’armée suisse qui était encore partiellement mobilisée. Quelques mois plus tard, alors que la Bavière était plongée dans le chaos suite au putsch communiste d’avril 1919 qui imposa une République soviétique aux Bavarois, ainsi placés sous la férule des juifs Eisner et Léviné. Ces agitateurs, qui s’étaient fait les chantres de la paix universelle en prônant la fin des hostilités en Europe, déclarèrent la guerre à la Confédération helvétique pour une sombre histoire de locomotives… La promptitude avec laquelle les corps francs mirent un terme au régime bolchévique en Bavière ne laissèrent pas le temps au Conseil fédéral d’élaborer la réponse qu’il convenait d’apporter à cet inconcevable affront à la neutralité perpétuelle et inviolable garantie par les Puissances de la Sainte- Alliance lors du Congrès de Vienne en 1815 ! <strong>...</strong></p>Berclaz René-Louis - Bulletin d’information de l’association Vérité et Justiceurn:md5:8b7552bf06be89776e8263db2219491f2015-03-21T00:54:00+00:002015-03-21T01:07:45+00:00balderBerclaz René-LouisArgentinaConspirationEuropeFranc-maçonnerieHébraïsmeRevueRévisionnismeSeconde guerre mondialeSouth AmericaTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Bulletin_d_information_de_l_association_Verite_et_Justice.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Berclaz René-Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Bulletin d’information de l’association Vérité et Justice Avril 1999 – novembre 2004</strong><br />
Année : 2004<br />
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Le retour en force d’un argument faible : la censure. On croyait le temps des censeurs révolu depuis que les libertés d’opinion et d’expression sont gravées en lettres d’or au fronton du temple des Droits de l’Homme. Pour se défausser aussi ouvertement d’une carte si prestigieuse, atout maître du jeu démocratique, il semble bien que la cuisson des carottes se trouve en phase plus que terminale. Comment alors, contre toute évidence, faire croire et faire dire que l’odeur de brûlé est appétissante ? Quand un tel exercice de haute voltige dialectique ne devient manifestement plus crédible, quand les acrobates de la pensée n’arrivent plus à nous faire croire que la fiction dépasse la réalité, quand il n’est plus possible de concilier le monde virtuel et le monde réel, arrive le moment de contraindre et de réprimer, autrement dit le censeur entre en scène et le bâton remplace la plume caressante et la carotte juteuse. Car le censeur n’est plus l’homme des artifices intellectuels, c’est celui de l’arbitraire policier et des expédients judiciaires. Il revêtira en grande pompe le manteau de Justice, de l’étoffe dont sont faits les bourreaux... Mais un censeur a-t-il des états d’âme ? Impertinente question, car un exécutant peut-il se permettre d’en avoir ! On affirme toutefois qu’il faut se mettre à la place d’autrui pour mieux comprendre son comportement. Essayons alors de voir quels sont les cas de conscience que rencontre tout censeur dans l’exercice de ses reluisantes fonctions. Par un combat d’arrière-garde, le censeur espère réduire par la force une opinion contraire à la norme imposée : il n’arrive le plus souvent qu’à faire douter de plus en plus du bien-fondé du point de vue qu’il doit défendre envers et contre tout. Comment, lui, le tâcheron de la répression, pourrait-il réussir là où les princes de l’esprit ont abdiqué ? La censure est à l’opposé de la véritable force de conviction, de celle qui se construit sur des bases éprouvées, au feu de la recherche et du libre débat. Même si le convaincu cherche à tout prix à faire partager son opinion, voire à l’imposer, il se rend quand même compte que censurer un contradicteur relève de l’artifice, fragilise toute son argumentation et réduit d’autant sa crédibilité. Le censeur doit, dans son for intérieur, être si peu convaincu de ce qu’il prétend imposer comme vrai, qu’il éprouve le besoin irrésistible de tout faire pour ne pas entendre des voix susceptibles de contrer ses affirmations péremptoires. C’est fuir la réalité que craindre l’épreuve de la contradiction et le choc souvent fertile des controverses. Ce sont toujours les aliments pour lesquels on redoute le contact de l’air ambiant que l’on maintient avec précaution en vase clos après avoir fait le vide dans le récipient. Tel est le traitement que l’on réserve aux conserves et autres produits stérilisés. <strong>...</strong></p>Berclaz René-Louis - Ecrits de combaturn:md5:efb1487e897e210e272ca2aa2432b9bf2012-05-20T13:19:00+01:002014-03-03T14:14:42+00:00balderBerclaz René-LouisAmériquesEuropeFranc-maçonnerieFranceHébraïsmeIsraël <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Berclaz_Rene-Louis_-_Ecrits_de_combat_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Berclaz René-Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Écrits de combat 1999 - 2004</strong><br />
Année : 2004<br />
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PRÉSENTATION. Quand la justice est rendue au détriment de la vérité, le temps des plaidoyers se termine en même temps que s’ouvre celui des réquisitoires. Le temps des plaidoyers a commencé avec la création de l’Association Vérité et Justice, fondée le 17 janvier 1999 par Jürgen Graf, Philippe Brennenstuhl et l’auteur des présents écrits. Ses buts étaient de défendre les libertés d’opinion et d’expression et de promouvoir la libre recherche en histoire. Conjointement, Vérité et Justice a tenté de venir en aide aux personnes victimes de persécutions politiques ou idéologiques, aussi bien en Suisse qu’à l’étranger. Les fondateurs croyaient possibles un débat franc et loyal, où chacun pourrait exposer librement sa cause, comme il est d’usage en Suisse depuis que les citoyens des cantons eurent décidé de vivre ensemble afin de mieux se protéger des ingérences étrangères. Le citoyen suisse qui accomplit son devoir militaire est prêt, au besoin, à donner sa vie pour le salut de la patrie, à condition toutefois qu’il soit possible d’y vivre en homme libre : et pour vivre librement, il faut pouvoir dire ouvertement ce que l’on pense de la chose publique, sans risque de se retrouver en prison. Prenons acte qu’une telle liberté n’est plus de mise par les temps qui courent, ce qui implique la rupture du pacte social qui lie le citoyen à l’Etat. Par conséquent, il va de soi qu’on ne peut exiger du soldat le sacrifice suprême pour sauvegarder les intérêts d’un Etat devenu un bantoustan, au propre comme au figuré, effrontément exploité par de redoutables lobbies prédateurs qui y dictent leur loi. C’est pourquoi le devoir de tout citoyen digne de ce nom est de faire ce qu’il faut pour rétablir dans leur plénitude nos droits ancestraux. Après plus de trois ans d’activité, après avoir organisé de nombreuses conférences en Suisse et à l’étranger, publié un bulletin et édité livres et brochures, l’Association Vérité & Justice fut dissoute par la justice du canton de Fribourg en date du 6 mars 2002 et ses biens spoliés par l’Etat. Ceci sans compter les multiples procédures pénales engagées contre ses dirigeants, avec comme bilan final l’exil de Jürgen Graf à Moscou, et l’incarcération pour une durée de trois mois de Philippe Brennenstuhl et de onze mois pour l’auteur de ces écrits, ces peines étant exécutées au cours de l’année 2005. Par conséquent, cette même année clôt la période des plaidoyers et, avec l’année 2006, s’ouvre le temps des réquisitoires. Pour marquer la transition en même temps que présenter en un seul volume le dossier des graves atteintes que subissent nos droits fondamentaux, j’ai décidé de publier des extraits de mes écrits les plus significatifs parus dans Vérité & Justice entre 1999 et 2004. Pour les compléter, j’ai ajouté (texte en italique), les commentaires du professeur Robert Faurisson concernant la conférence organisée par Vérité & Justice qui aurait dû se tenir à Beyrouth (mars-avril 2001), interdite au dernier moment par le premier ministre Rafik Hariri, et le compte-rendu de Jürgen Graf sur la conférence de Moscou (janvier 2002). Afin d’illustrer les conditions dans lesquelles les révisionnistes doivent vivre pour travailler, j’ai ajouté le compte-rendu inédit d’une rencontre mouvementée qui a eu lieu à Côme, en octobre 2001, rencontre préparatoire à la conférence de Moscou qui devait se tenir avec succès trois mois plus tard. <strong>...</strong></p>