Balder Ex-Libris - Casanova EtienneReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearCasanova Etienne - Stépanov Jean-Louis - Les origines masquées du bolchevismeurn:md5:053f5e0148c1e2be2758d9c2f132e38a2013-01-08T14:00:00+00:002013-01-08T14:23:26+00:00balderCasanova EtienneBolchéviqueConspirationHébraïsmeRussie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Casanova_Etienne_-_Stepanov_Jean-Louis_-_Les_origines_masquees_bolchevisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Casanova Etienne - Stépanov Jean-Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les origines masquées du bolchevisme Ce que les communistes doivent aux juifs</strong><br />
Année : 1988<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Casanova_Etienne_-_Stepanov_Jean-Louis_-_Les_origines_masquees_du_bolchevisme.zip">Casanova_Etienne_-_Stepanov_Jean-Louis_-_Les_origines_masquees_du_bolchevisme.zip</a><br />
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Lorsque Mikhaïl Gorbatchev s’est rendu à Washington, en décembre 1987, pour y rencontrer le président Reagan, une manifestation monstre fut organisée par les associations juives des États-Unis et du Canada. Le 6 décembre, avant même que le dirigeant suprême du Kremlin eut posé le pied sur le sol de la libre Amérique, près de 200 000 juifs venus « de tous les coins des États-Unis et du Canada, de l’Alaska et de Vancouver, comme de la Californie, du Texas et de Boston » (cf. L’Arche, mensuel du judaïsme français, n° 369 – janvier 1988, p. 44) se réunirent à Washington pour manifester leur attachement aux juifs soviétiques et demander à Gorbatchev de les laisser émigrer. A leur tête, se trouvaient l’écrivain Élie Wiesel et d’anciens « refuzniks », tels que Nathan Chtcharansky, Ida Nudel et Wladimir Slepak, ainsi que de nombreux hommes politiques connus pour leurs relations amicales avec les dirigeants de la communauté juive, comme le vice-président George Bush (membre de la Trilatérale). « Les drapeaux israéliens se mêlaient à la "bannière étoilée". Gorbatchev produisit sur les Américains une profonde impression et pendant trois jours Washington vécut dans une sorte de fièvre ». note l’Arche. C’est que, depuis la Deuxième Guerre mondiale, la question des juifs soviétiques retenus en URSS est une pomme de discorde entre Moscou et le judaïsme mondial. A peine avait-on mis fin aux hostilités que la bonne entente des juifs et des bolcheviks, qui avait si puissamment aidé les Alliés à l’emporter sur Hitler et Mussolini, était mise à rude épreuve. <strong>...</strong></p>