Balder Ex-Libris - Coquet MichelReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearCoquet Michel - Kundalinî Le yoga du feuurn:md5:51da34fc3645a3d82856552f929d56bd2016-06-13T18:57:00+01:002016-06-16T04:01:04+01:00balderCoquet MichelIsraëlJewYoga <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Kundalini_Le_yoga_du_feu.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Kundalinî Le yoga du feu</strong><br />
Année : 1993<br />
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Introduction. L'ouvrage que nous présentons est la réédition d'un titre édité précédemment aux éditions Dervy en 1993. En raison de l'intérêt du sujet et de la demande des lecteurs, les éditions Alphée ont décidé de le rééditer après une nouvelle correction et un enrichissement conséquent du texte. Plus que pour tout autre ouvrage, il me semble indispensable d'expliquer au lecteur l'intérêt du sujet traité ici, sujet ô combien éloigné de la plupart des hommes, et pour les intéressés, objet de tant de spéculations. Pour ce faire, il m'a fallu approfondir sérieusement les études des autres auteurs sur ce thème et, comme il fallait s'y attendre, deux catégories d'auteurs se sont imposées, ce qui n'a pas simplifié mes investigations. Il y a tout d'abord ceux qui n'ont fait que traduire des textes sanskrits issus de la tradition des tantras ou du hatha yoga. Ce travail a certainement été le plus intéressant, du fait que ces textes sont tout à fait authentiques, bien qu'un grand nombre d'entre eux ne s'accordent pas, par exemple sur le sujet des nadis (localisation et étude générale). La raison de ce désaccord est fort simple, la connaissance ésotérique de la manipulation des feux est si dangereuse pour un individu non préparé qu'elle a, depuis des millénaires, été recouverte de nombreux voiles, non pour embrouiller les chercheurs sincères mais pour décourager les curieux. D'où la nécessité d'être initié par un authentique instructeur, sans lequel ces textes ne présentent qu'un amoncellement de contradictions. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Savoir mourirurn:md5:27d830ad35fd4319f825cc2203a8c52f2015-08-08T17:06:00+01:002015-08-08T17:06:00+01:00balderCoquet MichelBabylonEconomyJewMédecine <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Savoir_mourir.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Savoir mourir</strong><br />
Année : 1986<br />
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La mort fait peur... L'angoisse de mort reste présente en chaque individu, disent les esprits matérialistes qui ajoutent même que toute explication de l'au-delà, de l’après-mort, n'est qu'une sublimation de cette angoisse. Toutes les traditions se sont penchées sur ce problème inhérent à la condition humaine, et à travers les coutumes, les mythes, se sont dessinées diverses approches de la mort. Des travaux menés par des scientifiques et des philosophes, des personnalités aussi éminentes qu’Elizabeth Kùbler-Ross ont permis de mieux comprendre les stades par lesquels passent les patients atteints de maladies graves. Le phénomène-mort englobe aussi l'acte de mourir qui demeure une énigme apparemment insoluble pour beaucoup. La plupart de nos contemporains ne prennent pas au sérieux les « informations » fournies par les livres, supports de la Tradition, tels que le Livre des Morts Tibétain, et assimilent ce genre d’ouvrages à un vulgaire recueil de superstitions. La mort est, selon Jung, non seulement un événement physique mais un événement psychique marqué par l’appréhension de l'inconnu, de ce qui nous attend au-delà, de la crainte d’une confrontation avec une solitude glacée, sans chaleur affective. Pour lui, accepter la mort, ce n'est pas la réduire rationnellement à une fin inepte, mais la laisser résonner dans son imagination, dans son instinct, consentir à s’en faire un mythe et peut-être ainsi y trouver un sens. Il est vrai que le vécu intérieur que nous avons de la vie et de l'idée de mort, joue un rôle primordial. Il importe de resituer le « savoir mourir » dans le cheminement spirituel de l'être humain. Certaines écoles initiatiques occidentales insistent sur le fait que le terme mourir devrait laisser la place à l’expression « passer en transition », montrant ainsi l’aspect non définitif de ce phénomène. Si nous acceptons l'immortalité dans son sens initiatique, nous nous référons à une instance supérieure qui, au sein de nousm êmes, agit pour nous, ce qui nous fait comprendre que la vie se renouvelé toujours par la mort, et la mort par la vie. Le moi mortel se transcende, ce qui contribue à atténuer l’inévitable angoisse inséparable de la condition humaine. Psychologiquement, il est intéressant de noter que la mort, dans les rêves, représente souvent un processus de transformation de l'être, plus qu’une mort objective. Envisager la mort dans son sens de transmutation donne une autre signification au phénomène. De plus en plus nombreux sont les être qui ne se contentent plus de réponses toutes faites et des schémas classiques, car ne pas s’intéresser réellement au problème de la mort, c’est aussi ignorer le pourquoi de la vie, et traverser une existence sans se poser la moindre question métaphysique ou spirituelle devient comparable à une léthargie ou à un contenu psychique mis en sommeil. Nous avons le privilège de vivre à une époque où les valeurs anciennes sont remises en cause, où la façon habituelle d’appréhender êtres et choses ne convient plus. Dans ce domaine apparemment irrationnel de l'étude de la mort, certaines théories ont besoin d’être revues, car savoir mourir pourrait être l’aboutissement d'une philosophie de la vie. Le courant récent de ces chercheurs et auteurs, qui donnent d'autres approches de la mort, peut faire évoluer, sur un plan individuel et sur un plan collectif, des milliers de personnes qui trouveront dans un ouvrage comme celui de Michel Coquet un espoir de voir ce tabou éclairé d’une façon plus initiatique et surtout moins dogmatique. Préparer sa mort, mourir dans la sérénité, vivre pleinement sa mort, sont des expressions qui ont pu choquer, parfois faire sourire, souvent déranger et pourtant... Le livre de Michel Coquet pose ces questions et s'inscrit dans ce courant d'auteurs qui n'hésite pas a sortir des sentiers battus pour mieux accéder à la connaissance de vérités fondamentales. Docteur Jean-François KLEIN. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Les chacras L'anatomie occulte de l'Hommeurn:md5:f9269e5cde618fdd1a117a0a3c818fa52015-08-08T17:04:00+01:002015-08-08T17:04:00+01:00balderCoquet MichelIsraëlJewMédecineMéditationYoga <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Les_chacras_L_anatomie_occulte_de_l_Homme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les chacras L'anatomie occulte de l'Homme</strong><br />
Année : 2002<br />
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Les Orientaux ont développé au cours des millénaires un esprit d’introspection et leur prérogative fut le pouvoir d’approfondir leur nature invisible et d'en percer les subtils secrets. Des siècles de régime strictement végétarien et d’ascétisme mystique leur ont donné un tempérament léthargique les prédisposant à la méditation et à la contemplation. Il n’est donc pas étonnant que notre frère oriental ait appris bien des choses que nous ignorons encore sur les fonctions de la contrepartie spirituelle de l'homme physique. L'Occidental, quant à lui, agit moins par la méditation que par l’action et la réflexion. Son mental dynamique, voire turbulent, lui permet une approche de la connaissance plus rationnelle, ce qui contribua au développement de la science moderne. L'Occidental est donc surtoutcréateur de civilisation, alors que son frère oriental fut surtout un créateur de religion. Ces deux grands continents apprirent chacun les leçons nécessaires à leur épanouissement et développèrent les qualités de leur expression raciale respective. Les qualités et les défauts qu’ils développèrent peuvent être d’une manière générale ainsi décrites : l'Oriental devint un ascète souvent extrémiste dans sa pratique religieuse et l’Occidental, s'étant épris d’une science sans conscience, devint une machine sans âme et prostitua ses découvertes à des intérêts personnels. Si religion et science vécurent heureuses et unies dans la lointaine Antiquité, il en est tout autrement de nos jours. Un réel effort est nécessaire afin que notre petite pierre vienne s’unir aux efforts des gens de bonne volonté et qu’ensemble nous construisions une magnifique pyramide offrant comme aux temps jadis son mysticisme scientifique et sa science religieuse, car jamais l'un n'a vécu sans l’autre. L’homme est matière et esprit ; cette vérité donna naissance à la science et à la religion. On conçoit donc l’absurdité de supposer un seul instant que le corps puisse survivre sans la présence permanente de l’esprit ou, en d’autres termes, que la science puisse s'élever sans conscience. Ainsi notre effort, aussi modeste soit-il, est d'unir à nouveau ce que les hommes ont voulu séparer : l’âme et son mécanisme. Nous reconnaissons cependant qu’un dessein sous-jacent avait peut-être prévu ce déroulement et que de cette façon un aspect positif ait germé et porté ses fruits. Ainsi, le rationalisme occidental a certainement contribué à éviter les excès d’un mysticisme fanatique, superstitieux, voire fantaisiste, et la contemplation orientale, même dans ses excès, a permis de démontrer de façon expérimentale la puissance de la volonté sur le corps et également de faciliter une étude approfondie de l’ontologie grâce au développement et à l’application de facultés psychiques et spirituelles comme moyens d’étude et d'introspection. Comme nous pouvons le constater, l'Orient s'attache (ou réagit) aux causes et aux forces (l'esprit), alors que l'Occident centre surtout son intérêt sur le monde phénoménal, celui des effets et des formes (les corps). Les Maîtres de Sagesse orientaux et occidentaux, sachant cela, ont donc mis au point des systèmes religieux, mystiques et initiaques conformes aux capacités de chacune de ces races afin de permettre un épanouissement intérieur de l'homme et surtout d'éviter les risques nombreux dus à certaines techniques psycho-physiques qui, si elles s'avèrent utiles pour certains, peuvent rester inefficaces, voire dangereuses, pour d'autres. Il semblait donc intéressant de synthétiser en un tout harmonieux le visible et l'invisible, afin de mettre à la portée du lecteur un condensé permettant une approche simplifiée se rapportant à cette branche de la Yoga connue en Inde sous le nom de Laya Yoga, ou Yoga des centres. Cependant, nous n'avons aucunement l'intention d'enseigner ou de conseiller une technique ou une méthode quelconque, étant donné que chacun doit être à même de découvrir sa propre école traditionnelle, celle qui répond le mieux à ses aspirations du moment. Du Laya Yoga, nous ne garderons donc que l'étude particulière sur les centres psychiques ou çakras. Bien des étudiants avancés sur le sentier mystique ont lis l’accent sur le fait que l’homme véritable n’est pas ensemble de ses corps denses ou subtils, mais qu'il est avant tout un « Soi Divin » faisant partie intégrante d'un grand Tout, je dirai même d’un Absolu. De nombreux auteurs initiés ont traité de ce Soi Divin avec éloquence et connaissance - .cependant, moins nombreux sont les chercheurs qui ont approfondi le corps éthérique, corps d'énergie unissant le corps physique au Soi divin, permettant à ce dernier d’influencer et de trans-lettre son dessein à la forme terrestre afin que l’intention divine puisse finalement s'exprimer sur la terre à travers une personnalité rendue parfaite et s’exprimant n puissance, en amour et en sagesse. Les Maîtres de la connaissance insistent particulièrement sur le fait que ce corps éthérique ou vital est le responsable de nombreuses maladies et que sa reconnaissance par la science permettrait un progrès spectaculaire dans le domaine de la médecine. L’étude du corps éthérique est restée depuis longtemps le domaine réservé de l'élite des clairvoyants initiés, je parle bien entendu des véritables Initiés dont la vision débouche sur un autre plan de conscience que celui des voyants tout juste capables de percevoir les fantasmagories de l'astral inférieur, refuge des fantaisies, des désirs inassouvis, des mirages. De ce fait, peu nombreux sont les étudiants capables de savoir que tel ou tel centre psychique de leur corps éthérique est hyperactif ou au contraire hypo actif. Nous avons donc cherché à combler cette lacune car, contrairement à la croyance, peu de gens sont de véritables clairvoyants, et pour cela nous avons pris comme point de départ la grande loi cosmique qui veut que le corps physique soit l'exacte reproduction de son archétype vital. Ce corps est, nous le verrons en détail, constitué d’un ensemble de fils d’énergie très finement entrecroisés. Lorsque plusieurs de ces filaments d’énergie se croisent au même endroit, cela crée un centre radiant de force concentrée que nous appelons un centre psychique et que les Orientaux nomment çakra (roue) ou padma (lotus) en raison du fait que, perçu par clairvoyance, un centre, s'il est inactif, ressemble à une simple roue, et s’il est actif, prend l'apparence d'une fleur de lotus épanouie et irradiante, constituée de plusieurs pétales de différentes couleurs, ces couleurs n’étant que les manifestations des taux de fréquence vibratoire de l'énergie des pétales du centre. Les occultistes et les mystiques des anciennes traditions acceptent l'idée que l’homme est né lumière et qu’au cours du temps cette lumière s’est peu à peu voilée à mesure que l'homme a développé des corps de moins en moins subtils, jusqu’à devenir l’homme terrestre que nous sommes maintenant. Cependant ce corps est entièrement construit sur le moule du corps vital, ses nerfs sont la reproduction des filaments d'énergie du corps vital. De même, chaque centre psychique s'est au cours du temps extériorisé physiquement sous la forme d’une glande endocrine (c'est-à-dire à sécrétion interne). Bien entendu, l'étude des glandes et la parfaite compréhension de leurs différentes fonctions ne permettront jamais de remplacer la connaissance acquise par la vision intérieure, mais il reste possible, en approfondissant la nature de nos pensées, en déterminant quelles sont nos qualités ou nos vices, nos tendances les plus secrètes, nos traits de caractères, nos idéaux, de définir, par la connaissance des qualités des glandes elles-mêmes, lesquelles sont à développer ou au contraire à régulariser. Bien entendu cette recherche n’est pas toujours facile car un vice ou une qualité sont souvent déterminés par l’interaction de plusieurs glandes. Il convient donc de faire soi-même l’étude nécessaire, l’auteur ne faisant ici que donner les outils. Nous allons prendre un exemple très simple. Une personne hyper-active dans la vie quotidienne, toujours énervée, ne tenant jamais en place, très émotive de surcroît, mais ayant une bonne santé et une bonne ossature ainsi qu’une grande vitalité intellectuelle, pourra présumer avec un bon pourcentage de chance qu’elle appartient à la catégorie des hyperthyro ïdiens (il existe bien d’autres signes que chacun pourra découvrir). Dans un tel cas, il faut étudier et méditer sur le centre correspondant ou plutôt sur les qualités de sa nature (et non pas sur le centre lui-même), puis essayer de conformer sa vie et ses pensées au dessein du centre, qui ici sera le centre laryngé, afin de les harmoniser avec lui. Ainsi, en changeant la nature de nos pensées, nous pouvons remédier aux problèmes psychologiques et physiques, tant il est vrai que l'énergie suit la pensée ou, comme l’affirment les mystiques, que la pensée est créatrice. Nos pensées quotidiennes, surtout lorsqu’elles s'expriment avec une grande proportion de libre arbitre ou, en d'autres termes, lorsque notre conscience objective agit par sa propre volonté, affectent, selon l’intensité de nos émotions, les centres psychiques majeurs, les inhibant ou les stimulant. Nous savons que ce sont ces centres de force qui envoient certaines énergies qualifiées dans toutes les parties du corps par l'intermédiaire des systèmes nerveux, systèmes importants puisqu'ils vont eux-mêmes agir et conditionner tout le système endocrinien. Les glandes endocrines si elles sont inactives causeront des tares génétiques importantes, actives elles produiront des facultés extraordinaires ; par exemple un crétin auquel on administre de la thyroxine pourra redevenir normal. Les glandes agissant les unes sur les autres déterminent donc chez l’individu son tempérament, son caractère et sa personnalité, ainsi que ses facultés tant physiques que spirituelles, le courant sanguin étant porteur, via les hormones, de forces et d’énergies à prédominance constructive, ou au contraire destructive. Bien entendu, il ne s’agit pas de croire qu'il existe de bonnes et de mauvaises glandes, car toutes sont d'égale importance, mais les bons effets résulteront de glandes parfaitement actives et les mauvais de glandes inactives. Notre étude portera donc tout spécialement sur le triple instrument de l’âme, à savoir : Les sept centres majeurs de force, système qui, vu sous l’angle circulatoire, est gouverné par la lune. Les trois systèmes nerveux, le cérébro-spinal, le sympathique et le périphérique que l'on dit régis par Vénus. Le système endocrinien qui est l’extériorisation la plus dense des deux systèmes précédents et qui est gouverné par Saturne. En ce qui concerne le nombre des centres importants, j'ai confronté des thèses quelque peu différentes. Les Orientaux et les théosophes mentionnent sept centres d’importance majeure : le centre coccygien, le centre sacré, le centre solaire, le centre cardiaque, le centre laryngé, le centre frontal et le centre coronal. L'école Shingon japonaise omet le centre sacré et donne le centre des épaules et les deux centres situés sur chaque genou. D’autres écoles unissent en un tout la pinéale et la pituitaire. Toutes ces théories sont bonnes mais procèdent simplement de techniques différentes. Il semble en définitive qu’il y ait douze centres psychiques : les sept majeurs cités ci-dessus, plus le centre éthérique de la rate (différent du centre sacré), une partie spirituelle à l’intérieur du cœur physique, les parathyroïdes comptant pour deux, et l’alta-major. Les autres centres mentionnés dans les écrits orientaux sont à mettre dans la catégorie des centres moyens ou mineurs. J'aimerais à nouveau préciser au lecteur non averti qu’en ce qui concerne le choix d’une méthode pour apprendre à stimuler les centres et le corps psychiques, il est impératif de prendre conscience que la vie citadine et la pollution qu'elle implique peut apporter de nombreux dangers à ceux qui, contre toute prudence, s’adonnent à des techniques spécifiques sur les centres situés le long de l’épine dorsale. On peut affirmer que, de nos jours, un disciple sur mille naît avec des conditions karmiques favorables à cette forme d’ascèse, qu’il s’agisse de son pays de naissance, de sa condition sociale ou de son véhicule physique. Il est vital de savoir qu’une très longue préparation est nécessaire avant d’être mis en présence d’un instructeur éclairé et une vie n’est pas toujours suffisante. Pour cela, il existe en Occident des écoles traditionnelles parfaitement compétentes qui évitent avec sagesse tous les excès et prennent en considération les conditions difficiles et contraignantes de notre société. Dans de telles écoles, un enseignement non sectaire et non dogmatique est proposé à l'aspirant, ainsi qu'une technique initiatique équilibrée et harmonieuse, afin que des valeurs nouvelles imprègnent toutes ses pensées et lui permettent d'exprimer, grâce à une personnalité magnétique et bien intégrée, le dessein de son âme. Cette condition est essentielle avant que ne soit entrepris un entraînement purement psychique, l'école lui enseignera les raisons profondes qui le poussent à vouloir progresser vers un objectif qui n'est pas toujours reconnu, elle posera la question du juste motif à laquelle devra répondre le néophyte selon sa propre vision, et cela avant de pouvoir parcourir le sentier difficile de la réintégration ; enfin elle insistera sur la notion fondamentale du SERVICE. Si tout cela est parfaitement compris et réalisé, les exercices spirituels de concentration et méditation donneront rapidement de fructueux résultats. L'intention de cet essai est de rendre accessible dans la mesure du possible une connaissance qui trop longtemps est restée voilée par une terminologie orientalisée qui le plus souvent n'avait d'intérêt que pour l’élite intellectuelle des familiers du sanskrit. Le lecteur doit être prévenu que l’auteur de ces lignes ne revendique que bien peu des connaissances données dans cet ouvrage. Une petite partie lui fut communiquée à partir de l’enseignement de l’école Shingon (secte ésotérique et tantrique nipponne) par l’intermédiaire d’un maître de Kyudo (tir à l’arc Zen). Maître Masahiko Tokuda ; qu’il en soit ici affectueusement remercié. D'autres connaissances viennent du Maître de Sagesse Djwal Khul mieux connu sous le pseudonyme du « Tibétain », qui aida à la compilation de la Doctrine secrète de H.P. Blavatsky et à l’oeuvre non moins exceptionnelle transcrite par A.A. Bailey. D'utiles informations m'ont également été données par l’Eglise Catholique Libérale dont l’un des évêques fondateur fut le grand clairvoyant Mgr C.W. Leadbeater à qui l’on doit un exceptionnel ouvrage sur les çakras. Enfin, les données traditionnelles hindoues concernant les çakras ont été tirées des ouvrages les plus sérieux tels que ceux d'Arthur Avalon, du Lama Anagarika Govinda, d'Aurobindo, de Tara Michaël et de Jean Herbert. De tout cela, une synthèse s’imposait afin de permettre une approche plus pratique qu’intellectuelle des centres psychiques. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Les çakras et l'initiationurn:md5:4afa38edd1407e04383744f41c4f25bd2015-08-08T16:59:00+01:002015-08-08T16:00:50+01:00balderCoquet MichelJewMédecineYoga <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Les_cakras_et_l_initiation.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les çakras et l'initiation</strong><br />
Année : 1997<br />
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Ce second ouvrage vient compléter le premier volume qui n'avait pour ambition que de jeter les bases de cette nouvelle science des çakras. Depuis sa première publication, de nombreux lecteurs m'ont écrit et ce second volume est un effort pour répondre à ces nombreuses questions. Celles qui, cependant, sont revenues le plus souvent, sont d'ordre pratique. Si la majorité des lecteurs ont apprécié l'aspect théorique de cette science sacrée, la même majorité cherche à dépasser cet aspect et à entrer de plain-pied dans la pratique expérimentale. Beaucoup sont des aspirants dont les voeux spirituels sont de réaliser en eux-mêmes certains progrès qui les mèneraient sûrement vers un accomplissement plus total et une pleine expression de leurs potentialités psychologiques, psychiques et spirituelles. La question précise était et est toujours : Existe-t-il une méthode pour éveiller les centres de force ? A cela, on ne peut répondre que par l'affirmative, et on peut même ajouter qu'il existe autant de moyens d'éveiller les centres qu'il y a d'individus, car en vérité il n'existe pas de méthode générale ; chaque cas étant en lui-même particulier demande une technique personnelle, cela du moins en ce qui concerne les détails que chacun sera à même d'adapter selon ses propres facultés ou limitations. On peut cependant considérer qu'il existe deux voies pour obtenir cet éveil : 1. La première voie concerne tous les aspirants et novices, tous les hommes de bonne volonté cherchant à élargir leur conscience et à parvenir sans risque inutile à une fusion entre la personnalité intégrée et l'âme, au moyen du corps éthérique et de ses centres qui, rappelons-le, est un véhicule intermédiaire de synthèse. L'aspirant n'a pas encore de personnalité intégrée. Sa nature physique, vitale, émotionnelle et mentale n'est pas coordonnée et encore moins purifiée et contrôlée. Chacun de ses véhicules se rapporte à un centre inférieur et le premier travail demandé au néophyte est de purifier le véhicule de manière à ce que le centre correspondant soit naturellement éveillé. Après cela. il pourra d'une manière plus précise recevoir une attention particulière en vue d'un éveil plus complet. « L'énergie suit la pensée » dit le truisme occulte bien connu, et un aspirant dont la focalisation de conscience se trouve sur les niveaux émotionnels y recevra la plus grande partie de l'énergie qui normalement aurait dû galvaniser les centres supérieurs, d'où les risques encourus (sujet que nous traiterons dans cet ouvrage). Cela étant dit et mis à part le rôle primordial de la purification, existe-t-il une méthode pour les aspirants? La réponse tient dans le fait que la demeure de la pensée, le cerveau, est pourvu de sept centres qui constituent l'homologue spirituel des sept centres situés le long de l'épine dorsale, et c'est sur ces sept petites lumières que l'aspirant va travailler afin d'obtenir des résultats efficaces et sans danger. Les centres de la tête correspondent à l'aspect conscience de l'individu, alors que les centres de l'épine dorsale correspondent à l'aspect forme (de l'énergie). Ainsi, toute modification dans la conscience et ses sept centres entraînera automatiquement une modification proportionnelle de l'énergie des centres vertébraux correspondants. La partie pratique de cet ouvrage portera sur le moyen de développer les sept centres de la tête car c'est la seule méthode que l'on soit autorisé à exposer (par prudence) dans un ouvrage destiné au grand public. 2- La deuxième voie ou technique concerne les disciples avancés. Elle sera abordée théoriquement car un disciple sait comment éveiller ses centres de force, et s'il ne le sait pas encore, seul un instructeur compétent pourra te lui indiquer. Eventuellement une école sérieuse et traditionnelle le pourrait, mais de telles écoles sont rarissimes en Occident car peu d'entre elles peuvent prétendre instruire les disciples d'une manière suivie et personnelle. En effet, le développement des centres requiert une technique différente pour chaque individu, qui sera fonction de nombreux critères tels que la race, l'âge, le sexe, le karma individuel, le thème astral, la qualité de ses rayons, etc. Le lecteur comprendra que l'on ne puisse donner dans cette seconde approche que des renseignements de nature théorique qui néanmoins, pour ceux qui sont prêts, entraîneront des conséquences de nature pratique. Qu'il soit seulement précisé que seul le disciple ayant une personnalité parfaitement unie ou alignée et ayant le privilège d'être personnellement instruit par un instructeur avancé et clairvoyant, peut sans trop de risque aborder l'éveil des centres de l'épine dorsale et parvenir dans un délai plus court aux résultats souhaités par l'âme. Le lecteur doit être mis en garde contre une matérialisation dogmatique des connaissances données dans l'ouvrage, car nous touchons là au domaine des énergies et de la conscience, et ce que l'on cherche à exprimer dans l'instant peut s'avérer très diffèrent quelques temps plus tard. Aussi aucun des tableaux n'aura de valeur absolue et chacun pourra être changé en vue d'autres rapports ou analogies. C'est là l'une des plus grandes difficultés de l'ésotérisme qui encourt toujours le risque de n'être pas assez objectif ou scientifique et qui, s'il le devient, court le danger de devenir dogmatique et doctrinal. Un tel ouvrage doit donc être lu sans préjugés et il ne doit pas être considéré comme émanant d'une autorité sans faille. Le thème des çakras est complexe, il constitue une étude et une remise en question de tous les instants. Enfin, j'aimerais rappeler que hormis les enseignements de certaines écoles ou groupes ésotériques orientaux très fermés et les ouvrages du Maître Djwhal Khoul (D. K.) transcrits télépathiquement par Alice A. Bailey, rien n'avait été donné au grand public. Nous mettons à part bien sûr les divers essais de chercheurs particuliers dont le travail a contribué à sensibiliser les chercheurs occidentaux mais qui n'avaient pas l'autorisation de trop révéler ou simplement ne possédaient pas les clés des textes sacrés qu'ils traduisaient. Pour la première fois, d'une manière claire et concise, le Maître Djwhal Khoul a donné au monde un enseignement scientifique et mystique fantastique et nouveau sur les plus importants sujets de la science de l'avenir, tant sur le plan ésotérique et initiatique que sur le plan de l'expression matérielle de l'humanité, réunissant en un tout harmonieux l'esprit et la forme. Cette connaissance nouvelle préparant l'ère du Verseau a pour fonction d'améliorer l'unité internationale et spirituelle du monde et de promouvoir la bonne volonté comme moyen d'ancrage de vérités essentielles au service de l'humanité. L'enseignement propose, entre autres, un ensemble de règles propres à permettre à l'aspirant d'être consacré disciple et ainsi d'acquérir les qualifications requises pour accéder au portail de l'initiation. Je ne fais ici que tenter de démêler l'écheveau et tracer à grands traits l'ébauche de ce qui deviendra plus tard la science du LAYA YOGA ou yoga des centres. Et j'obéis simplement à la volonté du Maître D. K. qui insiste pour que ses ouvrages soient pris comme base hypothétique de travail, que des études soient entreprises et des techniques appliquées, afin que chacun soit à même, par l'expérience et non par la seule croyance, de reconnaître la valeur de ce qui est révélé et qui doit constituer les bases de l'ère nouvelle. Je prie le lecteur de bien vouloir m'excuser de n'avoir pu omettre de nombreuses répétitions, mais cela s'est avéré indispensable compte tenu de la cohésion intrinsèque des différents aspects du sujet. Enfin, qu'il soit entendu que la lecture de cet essai n'aura d'avantages que si le premier a été lu car il forme une base indispensable d'étude, sans laquelle ce second livre pourrait présenter de nombreuses lacunes. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - La méditation Seishinurn:md5:199a8492b07ead73a02294894eef1c5d2015-08-08T16:55:00+01:002015-08-08T15:57:40+01:00balderCoquet MichelAsieFranceIsraëlJew <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_La_meditation_Seishin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>La méditation Seishin Tiré de « Budo ésotérique ou la voie des arts martiaux »</strong><br />
Année : 1985<br />
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C'est à l’université de Koya-san (près de Kyoto), qu'il me fut donné de rencontrer un groupe d'étudiants se préparant à devenir des moines de l'école Shingon. Certains membres de ce groupe s'entraînaient au karatédo et recevaient un enseignement privé sur cet art, par l'intermédiaire d’un maître de temple, du nom de Heiya. C'est du moins de cette manière qu’il voulait être appelé par ce groupe. Je n'eus que peu de contacts avec le groupe luim ême, car je ne restais jamais très longtemps à Koya-san. Mes relations avec Heiya Sensei furent cependant très riches. Lorsque je revins en France, Heiya Sensei, qui connaissait mon désir d'enseigner le budo traditionnel en Europe, me dévoila une méthode de méditation. Cette méditation est appelée Seishin. Selon Heiya Sensei, cette technique n'avait jamais été enseignée autre part que dans des groupes très clos, appartenant plus ou moins aux ascètes du Shugendo. Il me dit aussi que cette méditation était comparable au Zen, et peut être pratiquée par tous, sans danger, pourvu que soient respectées les règles simples qui la régissent. Seishin est un mot composé de deux idéogrammes Sei : l’esprit, et Shin : le c'ur. Il est difficile de connaître l’exacte signification du mot en lui-même, mais il semble que Heiya Sensei entendait par Sei : l'énergie du principe vital et par Shin : ce qui se rapporte au sentiment élevé de la conscience. Seishin, indique à la fois un principe de vie et de conscience. Quoi qu'il en soit, Seishin renferme un pouvoir réel lorsqu'il est pratiqué régulièrement. Les effets sont divers et toujours propres aux individus qui la pratiquent. Lorsqu'il est raisonnablement appliqué et que le méditant parvient à une certaine maîtrise, on peut être à même de réduire son temps de sommeil. D'autres effets arrivent rapidement: l'oubli total du corps, l'arrêt presque total de la respiration. Et lorsque la notion de temps, d'espace, de lieu ont disparu, il ne reste que le Soi. « Il ne sait qui il est, mais cependant, il est ». La réalisation du Soi émerge alors, progressivement pour certains, dans une expérience soudaine pour d’autres. Cette méditation est fort simple. Elle est unique et sa forme extérieure peut lasser celui qui n'est pas motivé. Seul l’ego se lasse, « Le Soi est un puits sans fond qu'il faut pénétrer sans cesse ». «Celui qui se lasse, est comme un homme qui joue près d’un portail, il finit par se lasser de l'endroit, mais il ne fait pas l'effort de passer le portail pour découvrir les trésors illimités du château. ». Enfin, un dernier mot : la méditation Seishin résume en elle-même les cinq étapes qui mènent l’aspirant aux portes de la libération, puisqu'en effet, au fur et à mesure de sa pratique, lui sont donnés intérieurement et extérieurement les éléments essentiels nécessaires à l'aboutissement de ses projets spirituels. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Pouvoirs psychiques et réalisation spirituelleurn:md5:14f710b820b950555f92b746dfefd7142015-08-08T16:52:00+01:002015-08-08T15:54:05+01:00balderCoquet MichelFranceIsraëlJewNorth AmericaNovelTibet <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Pouvoirs_psychiques_et_realisation_spirituelle.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pouvoirs psychiques et réalisation spirituelle</strong><br />
Année : 1989<br />
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Introduction. Cet essai que je livre au public est la continuité de quelques-uns de mes autres ouvrages où ont été expliqués le but de la vie et le moyen d'y parvenir. La genèse de notre Terre, la vie dévique de la substance et autres enseignements ont déjà été traités, et je n'y reviendrai pas. Pour la bonne compréhension du thème de cet ouvrage, un plan est nécessaire afin que le sujet traité ait toute sa raison d'être. Parler des pouvoirs de l'homme est délicat, car cela concerne sa partie vitale, sa conscience et sa réalité. Cela est aujourd'hui de plus en plus répandu, mais souvent très mal perçu, le psychique et le spirituel se mélangeant sans vergogne. Du fait que ces pouvoirs sont mis en action par l'homme lui-même, dans le dessein de contrôler son environnement, y compris son propre organisme, il me semble nécessaire de faire un récapitulatif sur la constitution de l'homme, sur ses capacités latentes, et sur la nécessité de réaliser le Soi. Le sujet est complexe car la science ésotérique a intentionnellement voilé cette connaissance. De son côté, la science moderne commence à peine à s'y intéresser. Je souhaite donc que ce travail serve de connaissance intermédiaire. J'aimerais également ajouter que je m'efforcerai de démontrer que les miracles n'existent pas, dans le sens religieux en tout cas. Il était, me semble-t-il, impossible de traiter un thème de ce genre sans pousser un peu plus loin qu'à l'ordinaire l'étude de la matière, puisque finalement c'est sur cette matière que s'exerce la puissance psychique. Dans mon ouvrage antérieur sur la mort1, j'ai abordé le sens de la vie, parlé de la constitution humaine, de ses enveloppes ou états de conscience, de l'antahkarana, du sutratma, des atomes permanents et de bien d'autres sujets encore qu'il serait bon de connaître afin d'avoir une plus claire compréhension du présent ouvrage. En ce qui concerne le corps éthérique et les chakras, ou centres psychiques et spirituels, le lecteur pourra se rapporter à deux livres de l'auteur portant sur ces questions2. Il l’aura inévitablement des répétitions, et certains propos resteront ardus. L'auteur s'en excuse, mais ce livre cherche certaines réponses, son but est d'apporter la lumière, et il fallait pour ce faire rester souple sans retirer l'essentiel de cette connaissance particulière des pouvoirs qui touchent les domaines les plus variés car ils sont l'expression même de la vie humaine. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Pouvoirs spirituels et psychiquesurn:md5:dfa85745571123ca87a85cc7e3a251262015-04-06T15:33:00+01:002015-04-06T15:33:00+01:00balderCoquet MichelAsieCommunismEuropeFranceHébraïsmeIndeNorth AmericaTibet <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Pouvoirs_spirituels_et_psychiques.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pouvoirs spirituels et psychiques Essai d'explication des miracles et pouvoirs paranormaux</strong><br />
Année : 2011<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Coquet_Michel_-_Pouvoirs_spirituels_et_psychiques.zip">Coquet_Michel_-_Pouvoirs_spirituels_et_psychiques.zip</a><br />
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Je suis bien conscient que le sujet de ce livre soulèvera doutes et contestations. Je tiens aussi à informer les lecteurs que je considère cet aspect de la vie comme secondaire par rapport à la pratique de la contemplation visant à réaliser la Soi-conscience. Cependant bien des questions ont été posées sur les pouvoirs psychiques trop souvent confondus avec les facultés spirituelles, et cela justifiait une étude. Il n'est que de lire les ouvrages sur ce thème pour se rendre compte que l'on confond souvent l'aspect conscience et l'aspect énergie. La question est vaste et peut intéresser autant les médecins que les religieux ou les parapsychologues. D'autre part, nous sommes confrontés au fait que les connaissances sur les chakras et les pouvoirs qui leur sont inhérents, ont été soigneusement voilées afin de ne pas être mises dans des mains ambitieuses ou pires. Par exemple, Tsongkhapa (1355-1419), le grand réformateur du bouddhisme tibétain, dut imposer de nouvelles règles pour un bouddhisme déjà profondément altéré par son contact avec les chamans Bônpos. Les règles rigoureuses, morales et mentales qu'il mit en place ont permis aux moines de se préparer à recevoir la puissante énergie provoquée par la pratique des grands tantras. En vue de protéger ces moines, il formula des interdits quant à la nécromancie, aux relations sexuelles, à l'alcool, etc., et fonda l'ordre des Gelugpas (ceux qui ont des coutumes vertueuses) dont les adeptes se distinguent des non-réformés par le port d'une coiffe jaune à la place d'une noire ou d'une rouge portée par les premières sectes de bouddhisme. 40000 moines et lamas furent exilés et l'on imposa au novice au moins douze ans de purification physique et morale avant d'être considéré apte à recevoir les initiations favorisant l'épanouissement des pouvoirs latents supérieurs. <strong>...</strong></p>