Balder Ex-Libris - De La Borderie ArthurReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearDe La Borderie Arthur - Les véritables prophéties de Merlinurn:md5:2c5ea763be2dff127d957187467ee91d2016-10-01T02:56:00+01:002016-10-01T02:02:03+01:00balderDe La Borderie ArthurAmericaBretagneCeltesEuropeJewProphétieRacialism <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/De_La_Borderie_Arthur_-_Les_veritables_propheties_de_Merlin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Le Moyne De La Borderie Louis-Arthur</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les véritables prophéties de Merlin Examen des poèmes bretons attribués à ce barde</strong><br />
Année : 1883<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/De_La_Borderie_Arthur_-_Les_veritables_propheties_de_Merlin.zip">De_La_Borderie_Arthur_-_Les_veritables_propheties_de_Merlin.zip</a><br />
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Préambule. Merlin fut jadis, au VIe siècle, le grand barde et le grand prophète de la race bretonne. Au milieu des désastres et des massacres de l’invasion saxonne dans la Grande-Bretagne, il soutint puissamment l’énergique résistance, le patriotique espoir des Bretons, en prophétisant intrépidement, contre toute apparence, leur triomphe complet, définitif. Quelques siècles plus tard, Merlin le prophète breton a été connu, célébré dans toute l’Europe, comme l’incarnation de la science et de l’esprit divinatoire des races celtiques, tandis que le roi breton Arthur était partout exalté comme l’incarnation suprême de toute vaillance, de toute puissance et de toute grandeur. Aujourd’hui encore, en sens inverse, ils ont même fortune. Pensant que l’historien a peine à ressaisir quelque trace certaine de l’existence du grand roi, les critiques semblent désespérer de retrouver quelque oeuvre, quelque fragment authentique du prophète-barde. Aneurin, Taliésin, Lywarch, bardes aussi et contemporains de Merlin, mais dont le nom ne sortit jamais de l’île de Bretagne, nous ont transmis des morceaux de poésie dont les critiques les plus difficiles ne contestent point l’authenticité. On discute, on discutera sur le sens de ce poème vraiment étonnant appelé Gododin, on n’en dispute point la paternité à Aneurin. Taliésin, après les plus sévères révisions des soixante-dix-sept pièces à lui attribuées, en garde encore une douzaine, et Lywarch autant ou à peu près, Merlin est moins heureux. Dans le volume si intéressant publié par M. de la Villemarqué sous le titre : Poèmes des bardes bretons du VIe siècle, Merlin ne figure même pas. <strong>...</strong></p>