Balder Ex-Libris - Degrelle LéonReview of books rare and missing2024-03-16T01:56:42+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearDegrelle Léon - Hitler démocrate Tome 1urn:md5:245ebc4f890eb69ee7227ff86b588cb42020-04-24T00:13:00+01:002024-02-24T00:17:14+00:00balderDegrelle LéonFührer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Hitler_democrate_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler démocrate Tome 1</strong><br />
Année : 1993<br />
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Portrait de Hitler. Comment était-il ? Hitler psychanalysé par Dali - Sa taille - Ses yeux - Sa parole - Sa nourriture - Sa simplicité - Sa curiosité intellectuelle - Sa passion de connaître - L'étendue de sa culture - Père-Abbé ? Ou fonctionnaire ? Ou mitron ? - Le cénobite - La politique à Vienne - Les débuts d'éloquence de Hitler - Hitler en face du destin. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Hitler démocrate Tome 2urn:md5:e22202a9da4a55aee2f601b2042d41492020-04-24T00:13:00+01:002024-02-24T00:23:03+00:00balderDegrelle LéonFührer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Hitler_democrate_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler démocrate Tome 2</strong><br />
Année : 1993<br />
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L'année 1925. Hitler apprivoisé? ... - Schacht avait tout changé en Allemagne - L'argument de la famine dépassé - Deuxième argument hitlérien hors de course : la Ruhr - Poincaré éliminé - Fin aussi du chantage séparatiste - Le 27 février 1925, premier meeting de Hitler-le-Ressuscité - Les Rentenmarks de Schacht et les Alliés - Le plan Dawes avec ses milliards de marks imposés aux Allemands pour trente-sept ans - L'escroc juif Barmat, protégé des socialistes - Nouvelle menace d'expulsion de Hitler - Nouvelle interdiction à Hitler de parler. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Hitler unificateururn:md5:a1910035ba79d54f33a6ecd02473fcb22020-04-16T01:27:00+01:002024-02-16T01:35:46+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFascismeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Hitler_unificateur.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler unificateur</strong><br />
Année : 2006<br />
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Qui liquiderait la faillite ? "Le pouvoir, nous l'avons. Nous allons commencer un travail de géants." Tel fut, à Berlin, la nuit du 30 janvier 1933, un des premiers propos de Hitler, acclamé par une foule déferlant pendant cinq heures sous les fenêtres de la Chancellerie. A quelques mètres de lui, le vieux maréchal von Hindenburg rythmait à coups de canne sur le parquet le fracas des fanfares. Des milliers de torches coulaient comme la lave en fusion le long de la Wilhelmstrasse. Mais Hitler restait pensif, l’œil morne malgré sa victoire. Après son combat électoral presque impossible, tout autre que lui eut perdu les étriers, assailli de toutes parts, n'avançant que de traquenards en traquenards. Son combat politique avait duré quatorze ans. Il en avait quarante-trois, presque quarante-quatre, c'est-à-dire qu'il était physiquement et intellectuellement au sommet de sa force. Il avait converti, un par un, des millions d' Allemands, avait formé avec eux le parti le plus puissant du Reich, qu'entouraient de leur rempart humain des centaines de milliers de SA (Sturm Abteilung), des prolétaires pour les trois quarts. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - De Rex à Hitlerurn:md5:bb0dd106ba608b78a8f23565594f68022020-04-14T01:46:00+01:002024-02-14T02:02:16+00:00balderDegrelle LéonBelgiqueEuropeFascismeFührerRexTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_De_Rex_a_Hitler.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>De Rex à Hitler Sauver notre peuple et l'Europe</strong><br />
Année : 196*<br />
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Première partie. Tendus vers le National-Sacialisme. Chapitre 1. Veillée d'armes. Le temps de la lâcheté. - Confusion, corruption, espérances. - Plus loin que le palier allemand. - Egalité et fraternité des Nationalismes. - Les Poniatowski et les Saxons de Hitler. - L'uniforme marqué de l'écusson de chaque pays. - Serment à l'Europe, non au Reich. - L'autonomie parfaite des Légions. - Représenter son peuple ! - Elite politique et morale. - Gratuité du sacrifice. - Dans la joie et dans la foi. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Sire, Vous et moi...urn:md5:1e97731ebe1eed7e7aa44aeba976e8bb2020-04-10T00:29:00+01:002024-02-10T00:47:02+00:00balderDegrelle LéonBelgiqueBolchéviqueFascismeRoiRussie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Sire_Vous_et_moi.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Sire, Vous et moi... Lettre ouverte au Roi des Beiges</strong><br />
Année : 1991<br />
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Au Roi Baudouin en son palais de Bruxelles. Sire, Le plus demeuré de vos sujets a certainement fini par se rendre compte, ces mois-ci, de la débâcle finale de ce qui fut l'URSS. Alors, ne croyez-vous pas qu'il serait temps - et Dieu sait avec quel retard ! - de rendre justice aux garçons intrépides de votre peuple qui, voilà cinquante ans, allèrent à des milliers de kilomètres de leur sol natal, offrir leur jeunesse et leur sang pour épargner à l'Europe le déferlement du communisme ?... Beaucoup, l'esprit peu agile, n'ont compris que tout récemment le péril que celui-ci avait représenté pendant trois quarts de siècle pour l'humanité entière. Lénine, puis Staline avaient pu impunément faire périr des dizaines de millions d'êtres humains, en traîner d'autres millions dans des goulags d'infamie. Ils avaient, depuis 1917, esclavagisé vingt peuples. Ils constituaient pour le reste de l'Europe un danger constant d'asservissement. Tout venant d'eux avait été toléré : les gouvernements dits "démocratiques" avaient avalé leurs millions de crimes comme autant de potions magiques. On se contentait, l'air malin, de prendre pour un "péché de jeunesse" (1929) le Tintin au Pays des Soviets de Hergé, l'inoubliable précurseur. Quant à nous, Rexistes, qui, dès 1936, avions mené notre combat national au cri de "Rex ou Moscou !", on nous inscrivait dès alors dans le dossier à charge qui nous verrait laminés, en 1945 - sous le marteau pilon de l'antifascisme ! <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - L'épopée européenne des Waffen SS d'Hitlerurn:md5:f47be386fe5e6d4a168ce8dbaf26002c2015-04-26T00:44:00+01:002020-04-25T23:49:39+01:00balderDegrelle Léon911ConspiracyEnglandIndiaUnited StatesWaffen SS <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_L_epopee_europeenne_des_Waffen_SS_d_Hitler.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'épopée européenne des Waffen SS d'Hitler</strong><br />
Année : 1982<br />
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On me demande de vous parler de cette grande inconnue de la Seconde Guerre mondiale : la Waffen SS. Il est quand même assez surprenant qu’une telle organisation, à la fois politique et militaire, qui comptait au plus fort de la guerre un million de combattants volontaires puisse continuer de passer inaperçue de nos jours. Pourquoi ? Comment se fait-il qu’une aussi formidable armée de volontaires soit encore aujourd’hui virtuellement ignorée ou caricaturée ? Une armée qui était au coeur de la tempête de la plus titanesque lutte que le monde ait connu. La réponse pourrait bien être que le trait le plus saillant des Waffen SS était d’être composés de volontaires de trente pays différents. Quelle cause les a réuni, et pourquoi ont-ils accepté de risquer leur vie ? Était-ce un phénomène uniquement allemand ? Au début, oui. Au départ, les Waffen SS ne totalisaient pas plus de deux cents hommes. Mais les effectifs ont régulièrement cru jusqu’en 1940, puis il y a eu une accélération avec l’arrivée, lors d’une deuxième phase, de SS d’ethnies germaniques réparties un peu partout en Europe, et de volontaires d’Europe du Nord-Ouest. Et puis, en 1941, au moment du choc avec l’Union soviétique, sont apparus les Waffen SS européens. Des jeunes des contrées européennes les plus éloignées se battaient ensemble sur le front de l’Est. On sait assez peu de choses sur les Waffen SS durant les années d’avant-guerre. Les Allemands eux-mêmes ont tardé à reconnaître leur caractère particulier. Au départ, il n’y avait pas de SS, il y avait les SA « Sturmabteilung », trois millions d’hommes. Ils constituaient la base du Parti national-socialiste, mais la SA n’était absolument pas une armée. Leur principale fonction était de protéger les candidats du parti de la violence communiste. Une violence physique meurtrière, plus de cinq cents nationaux-socialistes ont été assassinés apr les communistes et des milliers gravement blessés. Les SA étaient des volontaires dans une organisation non gouvernementale, dès qu’Hitler est arrivé au pouvoir, il ne pouvait plus être question pour lui de s’appuyer sur eux. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Hitler et les musulmansurn:md5:49bad60cbc9e8b3f345f2b5fa502fd062013-01-08T14:25:00+00:002013-01-08T14:30:36+00:00balderDegrelle LéonFührerIslamTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Hitler_et_les_musulmans_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler et les musulmans</strong><br />
Année : 1984<br />
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« Au bout de la steppe des cavaliers étaient apparus. C’était en février 1942 au Donetz ; le froid était affreux : 42°au-dessous de zéro. La neige sifflait, rasait nos casques glacés, nous dévorait les oreilles auxquelles pendaient en forme de groseilles gelée des poches de pus couleur orange. Qui étaient ces cavaliers ? Le vent nous apportait un chant âpre et mélancolique. Ils n’étaient pas vêtus de blanc comme les Cosaques. Leur longue vague approchait, mauve, violette ; ils étaient plusieurs milliers. Enfin, leurs petits chevaux fumants nous abordèrent. Ces cavaliers n’étaient ni des Russes, ni des Occidentaux, c’étaient des Musulmans. En pleine fureur de l’hiver russe de 1942, quatre milliers de musulmans avançaient dans la steppe immense en chantant J’allais les retrouver en 1943. Ils n’étaient plus 4000, mais 60.000. Soixante mille musulmans sur le front de l’Est ? C’était presque incroyable. Qu’y faisaient-ils ? Hitler avait un faible, c’est certain, pour la religion mahométane. Lui, d’origine catholique (sa mère Klara dont il eut le portrait sous les yeux à Berlin avant de se donner la mort, lui avait fait donner une éducation secondaire chez les Bénédictins) qui, jeune garçon, chantait au jubé (lieu élevé où l’on chantait, en forme de galerie, et qui est ordinairement entre la nef (l’allée centrale qui a la forme d’un navire) et le choeur. Le mot vient d’un chant latin : « jube, Domine, benedicere », (prononcer: joubé, dominé, bénédichère) « ordonne, Seigneur, de bénir. ») éprouvait un grand intérêt pour l’Islam et sa civilisation. Il regrettait presque que ses armées n’eussent pas triomphé de Charles Martel à Poitiers.( voici en effet le texte qui authentifie le propos et que le suisse François Genoud, à partir de documents venus en sa possession par un fonctionnaire italien, qui les tenaient lui-même de la femme de Martin Bormann, Gerda Borman , morte en camp de détention à Méran , le 25 avril 1945, au Tyrol du Sud, a livré à la publication, dans un livre intitulé : « Adolf Hitler. Libres propos sur la Guerre et la Paix recueillis par Martin Bormann, Paris, en deux tomes, le premier paru en 1952 et le second en 1954, et dont il y eut une traduction anglaise de H.R. Trevor- Roper, « Hitler’s Table Talk 1941-1944 », Londres 1953 et 1973, et auparavant une traduction italienne partielle à Milan en 1951: « Conversazioni di Hitler a tavola 1941-1942 », d’après l’édition allemande d’Henry Picker : « Hitlers Tischgepräche im Führerhauptquartier (« Propos de table d’Hitler au grand quartier général du Führer 1941-42 »), chez l’éditeur Gerard Ritter, Munich, 1951. Ce sont des notes prises, sur l’ordre du secrétaire de Adolf Hitler, le Reichsleiter Martin Bormann, par Heinrich Heims et envoyées de Berlin par Martin Bormann à sa femme Gerda qui les emportera en abandonnant à cause des bombardements, leur logement de l’Obersalzberg. Le manuscrit a été publié sous le titre : Adolf Hitler’s Monologe im Führerhauptquartier, « Monologue au Quartier Général du Führer », en 1980 chez Albrecht Knaus, à Hamburg puis édité en 1988 chez « Gondrom Verlag », 491 pages ; il s’agit de réflexions ou d’extraits de conversations entre intimes et quelquefois en présence d’invités, menées en toute franchise, car Hitler était « un homme simple » , « ein einfacher Mann » dit encore de lui une de ses secrétaires hanovriennes, Adda Schichloh-Müller ; Hitler était un homme indépendant, peintre aquarelliste et de par sa formation quasi architecte, qui rêvait, comme il le dit une fois dans ses propos, de peindre incognito, après la guerre, la place royale de Naples ; mélomane, amateur par dessus tout, depuis son adolescence, de Wagner et de Bruckner, qu’il n’entendra plus après la défaite de Stalingrad, dessinant aussi le projet d’un Berlin relevé de ses ruines et dont les plans ont été conservés; qui se plaisait à converser de sujets les plus divers, de politique, d’art, de religion, dans un ton comparable à Frédéric le Grand auquel il ressemble par plus d’un trait, et à la manière enjouée également du midi de l’Allemagne ; il a déclaré ainsi au cercle d’intimes, le 15 mai 1944, être parti, soldat, sur le front des Flandres « pendant toute la guerre », avec cinq volumes en « collection de poche » de Arthur Schopenhauer « dans la sacoche »(op.cit.p.411): (187ème propos d’Adolf Hitler tenu au Werwolf, l’après-midi du 27 Août 1942 « Ce n’est que dans l’empire universel romain que l’on peut dire que la culture a été un facteur (sous entendu de gouvernement). Le gouvernement aussi des Arabes en Espagne fut quelque chose d’infiniment distingué : les plus grands scientifiques, penseurs, astronomes, mathématiciens, une des époques les plus humaines, en même temps qu’une chevalerie colossale. Lorsque, plus tard, y vint le Christianisme, alors on peut dire : les barbares. La chevalerie qu’ont les Castillans est en réalité un héritage arabe. Si Charles Martel n’avait pas vaincu à Poitiers : puisque le monde juif s’est déjà emparé de nous – que le Christianisme est bien quelque chose de fade - nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l’héroïsme – : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains auraient avec cela conquis le monde, ce n’est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés. » Voltaire, qui prit la défense de la culture arabe islamique et du prophète arabe, a tout comme Goethe, précédé Hitler dans cette dissipation des préjugés anti-islamiques en Occident où – selon l’expression de Karl Marx dans la conclusion de sa « Question juive »(1844) « la limitation juive de la société » die jüdische Beschränktheit der Gesellschaft »–veut aujourd’hui enfermer ses propres victimes pour les lancer contre ce qui lui fait encore obstacle, comme naguère il les mobilisa contre le socialisme allemand –(un pays qui célébrait le 17 novembre 1941 le soixantième anniversaire de sa « sécurité sociale » (Sozialversicherung)- sans compter l’ « assurance accident » (Unfallsversicherung) (1889) qui est une création législative de Bismarck chancelier!-) et ses imitations en Europe et en Asie orientale qu’il fit atomiser, car elles firent ombre à son messianisme qu’il intitule hypocritement, pour les naïfs, sinon pour les vicieux du jour qui associent mille contre vérités ou absurdités physiques et morales à la liberté qu’ils revendiquent, « démocratie universelle »: «C’est un préjugé répandu parmi nous, que le mahométisme n’a fait de si grands progrès que parce qu’il avait favorisé les inclinations voluptueuses. On ne fait pas réflexion que toutes les anciennes religions de l’Orient ont admis la pluralité des femmes. Mahomet en réduit à quatre le nombre illimité jusqu’alors. Il est dit que David avait dix-huit femmes, et Salomon sept-cent, avec trois-cent concubines. Ces rois buvaient du vin avec leurs compagnes. C’était donc la religion juive qui était voluptueuse, et celle de Mahomet était sévère… /… » « La prohibition des jeux de hasard est peut-être la seule loi dont on ne peut trouver d’exemple dans aucune religion. Elle ressemble à une loi de couvent plutôt qu’à une loi générale d’une nation. Il semble que Mahomet n’ait formé un peuple que pour prier, pour peupler et pour combattre. Toutes ces lois, qui à la polygamie près, sont toutes si austères, et sa doctrine qui est si simple, attirèrent bientôt à sa religion le respect et la confiance. Le dogme surtout de l’unité d’un Dieu, présenté sans mystère, et proportionné à l’intelligence humaine, rangea sous sa loi une foule de nations ; et jusqu’à des nègres- terme qui n’était pas péjoratif à l’époque de Voltaire et l’on parlait encore, à l’époque de Léopold Léonard Senghor, le président du Sénégal et germaniste de l’Ecole normale supérieure de Paris, ancien prisonnier de guerre libéré, de la « négritude »-- dans l’Afrique et à des insulaires dans l’océan indien. Cette religion s’appelle l’islamisme, c’est-à-dire la résignation à la volonté de Dieu ; et ce seul mot devait faire beaucoup de prosélytes –mot grec,que les chrétiens disent inspiré par le Saint Esprit dans la littérature apostolique, pour désigner ceux des non juifs qui vont vers la religion juive et que la littérature biblique juive et talmudique nomme aussi par ailleurs des justes ; il veut dire ici et plus généralement ceux qui vont vers une autre religion que celle de leurs origines » .Ce ne fut point par les armes que l’Islamisme s’établit dans plus de la moitié de notre hémisphère, ce fut par l’enthousiasme, par la persuasion et surtout par l’exemple des vainqueurs, qui a tant de forces sur les vaincus. » Cf. « Essai sur les Moeurs et l’esprit des nations, et sur les principaux événements de l’histoire depuis Charlemagne jusqu’à Louis XIII. 1756, Tome I, chapitre 7, « De l’Alcoran, et de la loi musulmane. Examen si la religion musulmane était nouvelle, et si elle a été persécutante », OEuvres complètes de Voltaire, Paris 1819, Raynouard, tome 13,p.316). « Contrairement à tout ce que l’on a pu raconter », écrit Léon Degrelle en 1984, « Hitler n’était nullement un païen (cette injure désigne ceux qui étaient attachés au culte polythéiste de l’antiquité gagnée par le christianisme et daterait du quatrième siècle ; il visait des paysans (pagani) et l’objection faite au national-socialisme d’être un « néo-paganisme » vient du judéo-christianisme revigoré au XXème siècle et périodiquement influent au sein de la Papauté ; c’est ce paravent hypocrite du capitalisme juif calomniateur de ses adversaires contre lequel l’Allemagne, à la tête de la culture et de la république européenne, s’est alors dressée, reconnaissant, comme Goethe aussi l’a fait, dans l’Islam, comme en témoigne le texte d’Hitler, un allié naturel. « Païen », tout comme « idolâtre », qui est plus exact, est, du reste, insuffisant, car le polythéisme ancien, à commencer par celui de l’Egypte, reconnaissait un Dieu suprême et unique, que personne n’eût confondu avec les divinités en nombre limité !: « C’est un terme de reproche, un mot injurieux : jamais aucun peuple n’a pris la qualité d’idolâtre : jamais aucun gouvernement n’ordonnât qu’on adorât une image, comme le Dieu suprême de la nature. ../… » « les anciens ne se méprenaient pas entre les demidieux, les dieux et le maître des dieux. Si ces anciens étaient idolâtres pour avoir des statues dans leurs temples, la moitié de la chrétienté est idolâtre aussi ; et si elle ne l’est pas, les nations antiques ne l’étaient pas davantage. En un mot, il n’y a pas dans toute l’antiquité un seul poète, un seul philosophe, un seul homme d’état qui ait dit qu’on adorait de la pierre, du marbre,du bronze ou du bois. Les témoignages du contraire sont innombrables. Les nations idolâtres sont donc comme les sorciers : on en parle, mais il n’y en eut jamais. »» relève avec son bon sens « révisionniste » et islamophile, Voltaire, au chapitre 30 intitulé « De l’idolâtrie », tiré de de sa dissertation « Philosophie de l’histoire », parue en 1765, dédiée à l’impératrice de Russie Catherine seconde et qui sert d’ introduction à l’Essai sur les Moeurs etc ouvrage cité plus haut, p121). « Il avait lutté durement contre les intrusions politique d’un clergé parfois très batailleur pour qui un doyen devait nécessairement faire office de maire, et un évêque de préfet. Cette église politicienne avait, en Allemagne, avant 1933 traqué les nationaux-socialistes à grands coups de goupillons ( Le goupillon : petit bâton au bout duquel il y avait autrefois des soies de cochon, et qui sert à l’église pour prendre de l’eau bénite ,et pour la répandre ou pour la présenter à quelqu’un ; l’expression à laquelle pense Léon Degrelle est « l’alliance du sabre et du goupillon », pour désigner le lien du pouvoir et de l’Eglise. Le mot même de goupillon vient d’une brosse qui avait la forme d’une queue de renard ou goupil.) Hitler avait répondu sans tendresse. Il avait gardé une dent contre une certaine gent ensoutanée (La gent ensoutanée : ceux qui portent une soutane, vêtement ecclésiastique .Le mot gent , qui a vieilli, vient du latin gens, et a donné gentil, signifie le peuple. C’est l’italien « gente ») plus préoccupée de pouvoir terrestre que de rayonnement spirituel. Le cas de Hitler n’était pas unique. Nous, Rexistes (Rexistes, membres du mouvement politique belge nommé Rex (du latin rex, roi),d’après le nom d’une maison d ‘édition catholique , formé des mots « Christus Rex », « Christ Roi » ; mouvement fondé puis dirigé par Léon Degrelle, né le 15 Juin 1906, à Bouillon, dans une maison familiale (rasée entièrement après la guerre pour effacer son souvenir, comme agissent les sionistes en Palestine, ses parents étant morts en prison, ses filles emprisonnées, dont son seul fils, Léon-Marie, alors âgé de quelques mois !) face à l’énorme château de Godefroy de Bouillon – chef de la première Croisade !- , dans les Ardennes ; il fut député de Bruxelles en 1936 avec 11% des votants, 21 députés et 12 sénateurs. C’est en cette qualité qu’il sera, au cours d’un séjour d’été à Berlin, à l’initiative du ministre Joachim v. Ribbentrop, cette année-là, deux mois après sa victoire électorale avec sa femme de naissance française du Nord, invité, par Adolf Hitler, principalement pour parler du problème de la région allemande d’Eupen et Malmédy enlevée à l’Allemagne en 1918, annexée à la Belgique (ce qui fait de l’actuelle Belgique un Etat trilingue). Léon Degrelle qui, emprisonné pour sa politique de neutralité, en Belgique, fut livré aux Français en 1939 à Lille et fut même, après un tour de France des prisons, jusqu’à l’été 1940, enfermé, dans les derniers jours de la IIIème république dans un ancien camp de prisonniers de la guerre de 1914, au camp de Vernet dans l’Ariège (Sud-Ouest pyrénéen), vaste lieu d’internement depuis septembre 1939 d’ « environ cinq mille cinq cents personnes appartenant à quarante-quatre nationalités »..//.« On ne mangeait pour ainsi dire pas. La dysenterie dévorait le camp. (« La Guerre en Prison », éd. Ignis, Bruxelles p.265, 275)../..«La férocité des gardes mobiles éclatait chaque jour à grands coups de crosse et de matraque. Certains officiers étaient de véritables tortionnaires. Quant au chef de camp, c’était, comme il se doit, un juif de la plus sale eau, nommé Bernheim. Il avait monté avec les juifs internés, une gigantesque entreprise de mouchardage. Il y avait des espions dans chaque baraque. »,p 277) ; Léon Degrelle en fut libéré le mardi 22 juillet 1940 –ce que représenta le dessinateur Hergé sous la forme d’un Tintin-Degrelle retournant à Bruxelles !- , refusa tout poste politique, mais participa, d’abord comme simple soldat d’un bataillon, aux combats du Front de l’Est dans une « légion Wallonne » qui devint plus tard la 28ème division blindée de grenadiers « Wallonie » de la Waffen SS, et est mort, il y a dix ans à Malaga, le 1er avril 1994 ; il y a été incinéré ; porteur de 22 citations à l’ordre du jour, chevalier de la croix de fer et titulaire de la médaille d’or du combat rapproché, avec 75 journées de combats de corps à corps ce qu’attestait son livret militaire (Soldbuch), écrit de la main fine d’Himmler: le 27 août 1944, une fois qu’il eût rompu avec ses hommes l’encerclement du « chaudron »(« Kessel ») de Tcherkassy, A.Hitler lui dit : « Si j’avais un fils, je souhaiterais qu’il fût comme vous- Wenn ich einen Sohn hätte, wünschte ich, dass er so wäre wie Sie ». Le frère pharmacien de Léon Degrelle avait aussi été tué par les futurs vainqueurs et promoteurs de l’ordre nouveau actuel qui exécutèrent de nombreux parents de soldats et enfermèrent ses parents âgés!) pour la plupart catholiques, connûmes en Belgique les assauts similaires d’une église lourdement dictatoriale qui entendait imposer dans tous les rouages de l’Etat et des partis, ses pieux valets, souvent très médiocres. Mais s’opposer à un clergé matérialiste plus préoccupé de problèmes politiques et sociaux que du grand cheminement vers le divin n’est pas s’opposer à Dieu. C’est presque le contraire. Les prêtres démagogues coupent à des milliers d’âmes les routes des sommets spirituels. » « J’ai souvent parlé dans l’intimité avec Hitler de ce problème qui dépasse tous les autres : Qu’est Dieu ? Que cherchent les foules en Dieu ? Continueront-elles à croire en Dieu, à être aspirées par Dieu ? C’est dans la paix et le silence de la nuit que nous poursuivions ces méditations. Hitler avait posé sur la table des cartes, ses grosses lunettes. Dans le baraquement de bois, nous étions seuls dans nos deux fauteuils. En face, dans la cheminée aux signes runiques (c’est-à-dire portant les caractères d’écriture des anciens Germains, au nombre de 24 signes et qui venaient d’alphabets du sud-ouest de l’Europe, le terme d’origine de « run », devenue par formation savante « runes » au 17- 18ème-siècle, signifiant « mystère » ) des bûches de bois crépitaient. Le Führer me disait lentement, en termes toujours mesurés, ce qu’il a répété tant de fois : La notion de la divinité donne l’occasion à la plupart des hommes de concrétiser le sentiment qu’ils ont des réalités surnaturelles. Pourquoi détruirionsnous ce merveilleux pouvoir qu’ils ont d’incarner ce sentiment du divin qui est en eux ? L’être simpliste a soif de croyance et il s’y cramponne de toutes ses forces. L’homme cultivé, m’expliquaitt- il encore, conserve le sens de la nature et s’incline devant l’inconnaissable. C’est un fait que nous sommes de faibles créatures, qu’il existe une force créatrice. Vouloir le nier, c’est de la sottise. Contre cette angoisse devant le mystérieux, il serait maladroit d’être sectaire, ajoutait-il. L’homme a peur des choses qu’il ne peut encore expliquer. Cela ne servirait à rien de remplacer une croyance ancienne par une croyance nouvelle qui ne ferait que prendre la place de la précédente. » <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Pourquoi j'ai cru en Hitlerurn:md5:8b83cd096dc3e4036c3adf250a1246342013-01-04T14:30:00+00:002013-01-04T15:01:26+00:00balderDegrelle LéonAllemagneBelgiqueFührerSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Pourquoi_j_ai_cru_en_Hitler_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pourquoi j'ai cru en Hitler</strong><br />
Année : 1981<br />
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Pouvez‐vous nous raconter votre première rencontre avec Hitler? Elle a eu lieu durant l'été de 1933. J'avais déjà assisté à un meeting du Chancelier qui s'était tenu peu de temps après la prise du pouvoir et j'avais été vivement impressionné par l'extraordinaire succès populaire que rencontrait le nouveau maître de l'Allemagne. L'avenir de ce pays intéressait directement le responsable politique belge que j'étais alors et les souvenirs de la Première Guerre mondiale m'inclinaient à une certaine méfiance. Je fis donc un voyage privé en Allemagne, accompagné de mon épouse et de quelques amis rexistes. Nous étions à peine arrivés à Berlin que nous reçûmes une invitation à déjeuner de Ribbentrop, qui dirigeait la politique étrangère du Reich. Ce déjeuner fut suivi d'une invitation à prendre le thé chez le Führer lui‐même. Je dois vous dire que je n'ai pas eu le temps d'apprécier le thé en question. J'ai subi ce jour‐là un véritable coup de foudre: Hitler et moi avons été littéralement passionnés l'un par l'autre. Hitler n'était pas un homme comme les autres, il ne ressemblait en rien aux politiciens que j'avais eu l'occasion de rencontrer jusque‐là. C'était un homme extrêmement simple, vêtu simplement, parlant simplement, très calme, contrairement à tout ce qu'on a pu raconter. Il était plein d'humour et très drôle dans sa conversation. Sur toutes les questions, politiques, économiques, sociales ou culturelles, il était porteur de vues absolument neuves, qu'il exprimait avec une clarté et une conviction qui entraînaient l'adhésion de ses auditeurs. Il savait conquérir les individus et les foules par le rayonnement étrange de sa personnalité. Il y avait quelque chose de génial chez lui, c'est ce qui lui a permis, simple caporal autrichien d'extraction obscure, de conquérir le pouvoir, de sortir l'Allemagne de l'une des crises les plus terribles de son histoire et d'engager son pays dans un conflit titanesque, où il faudra la coalition de toutes les puissances du monde pour réussir à le vaincre. Les historiens des siècles futurs seront bien obligés, quand les passions se seront apaisées, de lui reconnaître l'importance qui lui revient dans l'histoire du 20ème siècle. Il aura marqué l'histoire autant que Napoléon, même si sa tentative gigantesque a échoué. Ne craignez‐vous pas de choquer l'immense majorité des gens en employant le mot «génie» à propos d'un homme qu'on considère aujourd'hui comme un redoutable criminel? Il est grand temps de rétablir la vérité à ce propos. La justice du procès de Nuremberg n'était qu'une parodie de justice dictée par les vainqueurs. Les chefs d'accusation de complot, et de complot contre la paix, sont particulièrement grotesques quand on sait comment les bolcheviks sont arrivés au pouvoir en Russie, comment l'URSS s'est partagé la Pologne avec Hitler en 1939 et quand on rappelle que ce sont la France et l'Angleterre qui ont déclaré la guerre à l'Allemagne en septembre 1939, après que celle‐ci, je l'admets, eût attaqué la Pologne, avec la bénédiction du camarade Staline. En matière de crimes de guerre, les Alliés feraient bien de regarder ce qu'ils ont fait eux‐mêmes avant d'accabler les Allemands. Les bombardements de populations civiles à Dresde, à Tokyo et à Hiroshima ou Nagasaki n'ont pas valu à MM. Churchill, Roosevelt et Truman la vindicte de la conscience universelle. Les massacres de civils réalisés en Allemagne en 1945, notamment celui de Freudenstadt, sont à condamner au même titre que celui d'Oradour, et que dire de la livraison des Cosaques à Staline par les Anglais? N'insistons pas sur le sort qui fut réservé aux Croates par leurs «libérateurs» serbes. La plus grave accusation portée contre l'Allemagne nationale‐socialiste est celle de «crimes contre l'humanité» et se rapporte principalement aux exactions et aux massacres perpétrés contre les Juifs. M'étant constamment battu sur le front de l'Est, je n'ai pas de témoignage personnel à apporter à ce sujet, mais je vous renvoie aux travaux très nombreux de ce qu'on appelle aujourd'hui l'école «révisionniste». On ne peut de toute manière juger Hitler et le national‐socialisme de ce seul point de vue. Est‐ce que les crimes et les génocides autrement considérables qu'ont réalisés les Soviétiques sous Staline et leurs émules en Chine ou en Indochine tout récemment suscitent beaucoup d'états d'âme chez les gens qui se proclament encore aujourd'hui communistes? Quels sont les aspects qui vous ont initialement le plus frappé dans la politique hitlérienne? Ce fut tout d'abord son extraordinaire efficacité. Hitler héritait d'un pays ruiné, comptant six millions et demi de chômeurs. En l'espace de trois ans, il l'avait tiré de la crise, bien mieux que n'avait pu le faire Roosevelt pour l'Amérique avec sa politique du New Deal, et, contrairement à une légende tenace, ce n'est pas en lançant dès 1933 une politique de réarmement, qui n'interviendra qu'à partir de 1937, mais en ayant recours à des solutions simples telles que le lancement d'une politique de grands travaux, l'établissement du service du travail pour les jeunes, la mise en oeuvre d'une politique sociale qui n'avait alors aucun équivalent en Europe. Congés payés, logements ouvriers, diffusion de la voiture populaire, loisirs organisés, autant de nouveautés qui attachèrent jusqu'à la fin l'immense majorité du peuple allemand à celui qu'il s'était donné pour chef. Il faut en effet rappeler que la victoire politique de Hitler fut obtenue par les voies les plus démocratiques qui soient. Hitler est devenu Chancelier du Reich dans la légalité: toutes les grandes décisions qu'il a prises, le départ de la SDN, la confusion sur son nom des fonctions de chancelier et de président après la mort de Hindenburg, ont été confirmées par des plébiscites au cours desquels il a obtenu des majorités écrasantes et il est vain de prétendre que les Allemands votaient sous la terreur. En janvier 1935, le plébiscite de la Sarre s'est déroulé sous contrôle international et Hitler n'a même pas pu faire un discours sur ce territoire avant le scrutin, ce qui n'a pas empêché les Sarrois de se prononcer à 91 % pour le rattachement à l'Allemagne. J'étais à Vienne au moment de l'Anschluss et je peux vous dire à quel point il fut accepté dans l'enthousiasme par le peuple autrichien, dont les dirigeants sociaux‐démocrates réclamaient déjà, en 1919, la réunion à l'Allemagne interdite par les traités. Les vainqueurs de la Première Guerre mondiale s'étaient faits les champions du droit des peuples à disposer d'eux‐mêmes, à condition que cela ne risquât pas de favoriser l'Allemagne vaincue. Une telle hypocrisie ne pouvait durer bien longtemps. Le national‐socialisme apparaît comme un avatar du nationalisme allemand et comme l'héritier du pangermanisme du début du siècle. Il est surprenant qu'il ait pu séduire les étrangers, en l'occurrence un Belge tel que vous. Il y avait dans le national‐socialisme, c'est vrai, une dimension étroitement allemande héritée du 19ème siècle et de l'esprit de revanche qu'avait engendré le traité de Versailles, mais, selon moi, Hitler était à même d'aller bien au‐delà de ces conceptions étriquées. Pour lui, l'Allemagne ne fut qu'un instrument au même titre que la France de 1800 ne fut qu'un instrument pour Napoléon. Ce dernier était à moitié italien, alors que Hitler était Autrichien ; l'un comme l'autre, ils ont voulu réaliser un rêve impérial qui devait logiquement dépasser les frontières étriquées de leur pays d'adoption. J'ai posé un jour la question à Hitler: je lui ai demandé ce qu'il était, s'il était allemand ou européen et il m'a fait cette réponse tout à fait surprenante en me disant: «Je suis grec ...». Il voulait dire par là à quel point il se sentait l'héritier de toute la culture européenne, vieille de trois mille ans, bâtie sur ce vaste espace qui va des forêts germaniques aux côtes méditerranéennes. Il ne m'a pas caché à quel point il accordait peu d'intérêt aux recherches archéologiques, qui constituaient la manie de Himmler et des gens de l'Ahnenerbe qui cherchaient à privilégier les origines germaniques. Avec un peu plus de temps et poussé par un nombre grandissant d'Européens qui, à la faveur de la guerre, avaient découvert la révolution nationalesocialiste, il aurait dépassé le cadre étroitement germanique pour réaliser une véritable révolution à l'échelle du continent. A la fin de la guerre, la moitié des effectifs de la Waffen SS était d'origine non allemande et regroupait des représentants de trente nationalités différentes. C'était l'Armée politique du national‐socialisme qui était en train de s'européaniser et cela n'aurait pas été sans d'importantes conséquences politiques à moyen terme. Tout cela ne pouvait convenir aux militaires allemands de la caste traditionnelle des officiers prussiens, passéistes et arrogants, qui n'avaient rien compris à l'enjeu du combat que nous avions engagé. Cette collaboration militaire semble cependant difficilement admissible. L'Allemagne était pour la Belgique ou pour la France l'ennemi de 1940? Bien sûr, mais nous étions persuadés, surtout après les formidables succès obtenus jusqu'en 1942, que l'Europe allait être longtemps sous l'hégémonie allemande. Dans cette perspective, si nous voulions avoir notre mot à dire dans l'avenir de cette Europe nouvelle, nous devions participer, au même titre que les Allemands, à la croisade contre l'ennemi commun bolchevik. La force d'avenir au sein de l'Armée allemande, c'était la Waffen SS, un magnifique corps d'élite vers lequel nous nous sommes tout naturellement tournés, désireux que nous étions de nous battre pour une cause véritablement révolutionnaire et non pour le vieux conservatisme des vieilles droites de nos différents pays d'origine. Vous étiez le leader d'un mouvement nationaliste belge qui se réclamait du catholicisme. N'y a‐t‐il pas une contradiction avec votre engagement aux cotés des armées hitlériennes? On se trompe là aussi à propos de Hitler. Il était intensément croyant et invoquait souvent le nom de Dieu. Il était de formation chrétienne, il avait même été enfant de choeur et chantre à l'église de sa paroisse. Certains leaders nationaux‐socialistes étaient hostiles à l'Eglise, notamment Bormann et Himmler, pour ne pas parler bien sûr de Rosenberg, mais leur influence sur Hitler était à peu près nulle. Il ne prenait pas très au sérieux les recherches de Himmler sur les anciennes religions germaniques et sa politique fut très favorable à l'Eglise catholique, même si celle‐ci fournit ensuite les opposants les plus déterminés au régime. Je l'ai rencontré un matin, alors que je m'apprêtais à aller communier et quand je lui fis part de mon intention ‐‐ j'aimais ainsi provoquer l'agacement de mes interlocuteurs allemands, c'était une manière d'exprimer mon indépendance à leur égard ‐, il n'en fut pas du tout surpris et me répondit que sa mère aurait aimé m'accompagner si elle avait été encore vivante. Il était très discret à ce sujet mais portait un véritable culte au souvenir de sa mère, et ce qu'a raconté à ce sujet Kubizek dans ses Mémoires est très révélateur. Ma religion ne me semblait nullement contradictoire avec mon adhésion aux principes et aux idées avancées par Hitler, et il le comprenait fort bien, au point qu'il me fit un jour cette déclaration: «Si j'avais eu un fils, j'aurais aimé qu'il fût comme vous ...» Vous parlez des sentiments «européens» de Hitler. Cela surprend quelque peu quand on évoque son attitude à l'égard de la France et de l'Angleterre. Elle ne fait que confirmer ce que j'avance. En 1940, il a accordé à une France totalement vaincue et écrasée des conditions d'armistice incroyablement favorables si on les compare à celles qui avaient été imposées à l'Allemagne en novembre 1918, à un moment où pas un pouce du territoire allemand n'était encore occupé par les armées alliées victorieuses. Pour ce qui est de l'Angleterre, Hitler a cherché à la ménager le plus longtemps possible dans la mesure où il a toujours espéré arriver avec elle à un compromis par lequel elle lui aurait laissé les mains libres pour faire l'unité européenne autour de l'Allemagne, celle‐ci lui laissant la maîtrise des mers et de son empire colonial. Pour Hitler, les Anglais étaient des Germains et devaient pour cette raison finir par s'entendre avec les Allemands. Certains l'avaient compris, mais pas Churchill, qui était un homme du passé et qui ne réalisa pas que l'Angleterre signait sa propre perte en poursuivant cette guerre qui n'allait servir qu'aux puissances extra‐européennes. Ce qu'est devenue aujourd'hui l'Angleterre me dispense de tout commentaire supplémentaire, quand on pense à ce qu'elle fut. Le racisme hitlérien ne constituait‐il pas un obstacle insurmontable pour la réalisation de l'Europe que vous évoquez? L'hitlérisme devait échapper au carcan étroitement allemand dans lequel l'avaient confiné les héritiers du nationalisme et du pangermanisme traditionnels. Que signifiait ce «racisme» quand nous trouvions chez les Slaves, Polonais ou Russes, ces magnifiques types blonds aux yeux bleus qu'on nous présentait comme la quintessence de la germanité? Que signifiait‐il quand on sait que la Prusse fut l'oeuvre des protestants français émigrés dans le Brandebourg? Tous les Européens appartiennent au même fond racial. Les Lombards étaient des Germains, de même que les Suèves ou les Wisigoths qui s'installèrent en Espagne, et les Scandinaves sont plus nordiques que les Bavarois. Il fallait donc dépasser certaines conceptions trop primaires pour rassembler tous les peuples d'Europe autour de leur héritage commun, autour d'un mythe mobilisateur, la création d'un grand empire mondial qui serait allé de Brest à Vladivostok, le plus formidable ensemble politique, économique, démographique et militaire que le monde eût jamais connu. Etroitement lié au monde arabe, engagé dans le développement des populations arriérées des continents africain et asiatique qui étaient encore sous la domination européenne, une telle construction pouvait changer le cours de l'histoire. Qu'on ne vienne pas me dire qu'une telle puissance aurait été dominatrice et oppressive pour les autres peuples. Faut‐il rappeler, par exemple, qu'il y avait trois divisions musulmanes à la Waffen SS? Quand on sait de quelle manière, aujourd'hui, les Soviétiques maintiennent leur domination sur les peuples d'Europe orientale et comment les puissances occidentales nanties s'accommodent de la misère des peuples pauvres, on peut imaginer que les choses auraient pu évoluer autrement si le temps l'avait permis et si les esprits avaient pu évoluer suffisamment vite, notamment du coté des Allemands, dont beaucoup n'avaient rien compris à l'ampleur de la révolution hitlérienne. Vous ne pouvez contester que le résultat de l'aventure hitlérienne a été catastrophique pour l'Europe qui vous est si chère. Le bilan apparaît bien lourd et on imagine mal comment le programme que vous présentez aurait pu se réaliser. On ne peut évidemment refaire l'histoire, mais je crois que le bilan des vainqueurs n'est guère plus brillant. L'empire soviétique s'est doté de la première puissance militaire du monde et continue à écraser les aspirations à la liberté des peuples d'Europe de l'Est et, plus récemment, du peuple afghan. Ne parlons pas des holocaustes engendrés en Asie par la victoire des communistes. A l'Ouest, la civilisation du seul profit matériel dégoûte de plus en plus une jeunesse qui ne peut se résoudre à accepter la réduction au niveau de tubes digestifs que lui propose la société de consommation. La délinquance ou la drogue sont la rançon de cette situation. A l'heure où nous assistons au réveil de l'Islam, alors que l'American Way of Life laisse les peuples insatisfaits, aucune espérance n'est offerte à la jeunesse d'Europe, laissée à elle‐même et à sa misère spirituelle. Où se trouve la solution? Eh bien, je vais vous surprendre, au risque de déchaîner contre moi la colère de nouveaux ennemis: j'attend beaucoup du peuple russe. Il représente une force encore saine et il ne supportera pas éternellement son régime de bureaucrates gâteux dont l'échec est total dans tous les domaines. J'espère qu'un jour un jeune Bonaparte sortira de l'Armée rouge comme aurait pu le faire Toukhatchevski en 1938, et qu'il rompra avec le fatras idéologique débile qui étouffe la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l'histoire. Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c'est peut‐être le fils de l'un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant. Interview recueillie par Jean Kapel et publiée dans la revue «Histoire magazine», N° 19, septembre 1981. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Qu'est-ce que Rex ?urn:md5:07a4afa71e6964179b796a342fc384392012-11-20T16:00:00+00:002012-11-20T16:01:27+00:00balderDegrelle LéonBelgiqueEuropeFascismeFrance <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Qu_est-ce_que_Rex_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Qu'est-ce que Rex ? Lettre aux Français</strong><br />
Année : 1936<br />
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En 1936, Léon Degrelle est invité en France. Le jeune chef de Rex doit y prendre la parole pour présenter son mouvement, et apporter à la France le soutien de la Belgique. Mais depuis quelques semaines, le gouvernement a été accaparé par le Juif Blum et ses coreligionnaires ; ils appliquent une dictature sourde : les ligues nationalistes sont interdites, les réunions d'opposition sont interdites, les chefs politiques sont emprisonnés. Léon Degrelle lui-même sera arrêté manu militari et expulsé de France. C'est dans ce contexte qu'il écrit cette Lettre aux Français, faute d'avoir pu lui-même s'adresser directement aux Français. Puisqu’il ne m’est plus permis de parler aux Français, il me faut bien me contenter de leur écrire... Le mot « Français » fait monter tant de regret en nos coeurs !... Pour les Wallons de ma patrie, la France, c’est notre langue, notre culture, notre civilisation... Dites, c’était tout de même un morceau de notre âme, et Ronsard, comme Musset et Montaigne, comme Maurras, étaient à nous comme aux Lorrains ou aux Provençaux. À quoi bon le nier ? Nous souffrons d’être traités en France comme des indésirables et des parias. Quand je me suis retrouvé, l’autre matin, sur un quai de gare, entre deux gendarmes, comme un malfaiteur, j’ai regardé longtemps les rails qui glissaient dans le brouillard en me disant : « Tout de même, comment a-t-on pu en venir là ?... Nous n’avons plus le droit de respirer l’air de France, de retrouver là-bas les sources d’une de nos deux cultures, d’entendre chanter en Touraine ou dans les Landes les mêmes mots qu’au bout des plateaux liégeois ou au fond des bois ardennais... » Et, replié sur moi-même, je pensais à nos morts étendus en terre française, près desquels je ne puis même plus prier et me recueillir... Tout cela vingt ans après que les marches wallonnes furent baignées du sang de nos bûcherons et de nos mineurs, mêlé à celui de vos chasseurs alpins. Il ne faut pas le nier. Un lourd malaise pèse sur les relations franco-belges. Il est né d’abord de cette légèreté avec laquelle tant de Français traitent des choses étrangères. Nous n’étions pas les « petits Belges ». Nous étions un peuple où, pendant deux mille ans, on a lutté et on est morts pour des libertés et pour des vertus. Un peuple qui a résisté ainsi, qui a souffert et trimé, qui a tenu tête à tout le monde, un peuple comme celui-là est un grand peuple, qui a le droit d’être connu autrement, en France, que par M. Beulemans et par « Manneken-Pis ». Mais tout cela pouvait s’arranger. De grands échanges intellectuels entre Français et Wallons, et de profonds contacts populaires peuvent adoucir très vite ces malentendus, si aigus soient-ils aujourd’hui. Le drame est ailleurs. Il est essentiellement politique. Au fur et à mesure que la France glisse à gauche, elle détruit chez nous ses amitiés. Le pacte franco-soviétique a fauché les relations franco-belges. Choisir Moscou, c’était nous chasser. Il ne faut plus se faire la moindre illusion. Dans la mesure où la France lie son sort à celui des Soviets, elle devient un danger pour notre peuple et pour la civilisation. Pas un paysan, pas un ouvrier, pas un père de famille de notre sang ne périra pour les Soviets : nous en faisons le serment devant nos morts de l’Yser et devant les berceaux de nos enfants. Alors, comprend-on que nous ne voulions à aucun prix être liés à un pays qui, par son alliance avec Moscou, pourrait nous conduire à un conflit qui ferait, au prix de combien de morts nouveaux, le jeu monstrueux des Soviets ?... Pour retrouver la confiance des Belges, la France doit d’abord « se retrouver elle-même », rejoindre ses vertus, sa ligne d’âme, se débarrasser de la corruption soviétique. Une France régénérée, c’est la consolidation de l’Europe et c’est, à nouveau, la communion fervente, dans une même culture, des Wallons et des Français. Une France marxiste, c’est la Belgique roulée en boule, en garde contre un péril, hélas ! Trop réel... Cet isolement pourrait avoir des répercussions très graves. Un pays d’entre-deux comme la Belgique peut remplir un rôle magnifique de terre de rencontre entre les peuples du Nord et le peuple français. Il lui faut, pour accomplir cette mission, les traiter tous avec un égal « fair-play », ne se laisser marcher sur les pieds par personne, ne point se laisser traiter en vassal ou en avant-garde sacrifiée, mais permettre, dans une compréhension commune, à des peuples de génies si divers, de se servir, pour se connaître et pour apaiser leurs querelles, de notre pivot européen. La France en a besoin, comme les autres pays qui nous entourent. Mais il y a un minimum de confiance. Ce minimum, le marxisme français ne l’inspire plus à la Belgique. Plus que n’importe qui, nous devons craindre une emprise nouvelle du socialisme et du communisme à Paris. Nos révolutionnaires n’attendent que cela. Leurs fiefs du Hainaut et le Nord français ne forment qu’un long bassin rouge. La victoire des gauches chez vous, c’est aussitôt l’infiltration chez nous, puis les vannes rompues. On a trop vu le Front populaire passer armes et hommes au Frente Popular. À notre frontière, l’appui des marxistes français serait infiniment plus rapide et plus fort. Une dictature de gauche en France, c’est un danger constant pour notre paix intérieure, avec tous les risques de conflit européen que peut déchaîner le pacte franco-soviétique. Un peuple qui fut saigné vingt fois comme le nôtre a le devoir d’être prudent et de monter la garde. Français, n’est-ce pas naturel ? Ne cherchez pas d’autres explications. Ne liez point Rex à Berlin. Berlin n’a rien à faire de Rex. Nous voulons nous entendre avec tous nos voisins et organiser avec tous les peuples régénérés la résistance au communisme. Mais nous ne sommes et ne serons jamais au service de personne. Nous aimons notre pays. Point, c’est tout. Notre attitude vis-à-vis de l’étranger n’est dictée que par le souci de notre peuple et de la civilisation européenne. Et c’est parce que ce souci nous tourmente que nous désirons tant voir s’opérer demain, Français, dans votre Patrie, une rédemption aussi foudroyante que celle de Rex est en train d’apporter en Belgique. Ah ! Voir les Français sous la conduite d’un chef qui soit vraiment le point de concentration des volontés populaires, retrouver, un par un, le sens de la famille, de la terre et de la dignité du travail ! Rebâtir, eux aussi, l’État grâce à des corporations et à un pouvoir populaire et fort ! Rétablir entre les classes, enfin solidaires, des liens réels basés sur la justice sociale, sur la responsabilité des élites, sur l’humanisation du labeur ! Permettre, dans la famille, dans le métier, dans la vie morale et spirituelle, l’épanouissement de la personnalité humaine ! Rendre à un pays la pureté et la jeunesse, la joie de vivre et de devenir meilleur, la passion du devoir dans la communauté nationale ! C’est parce que Rex, par-delà son vaste programme politique, économique et social, a rejoint les âmes, leur a donné la fraîcheur et le feu, c’est parce que sa mystique a permis à nouveau à un peuple de respirer et d’espérer, que demain Rex aura conquis et sauvé la Belgique. Français, nous étions jeunes, pauvres, inconnus de tous en commençant. Et à trente ans nous allons être les maîtres ! Dans la vie, tout est facile, tout réussit trop vite. On n’a même pas le temps de lutter, ni de souffrir... Quand on veut gagner, on gagne ! Toujours ! À coup sûr ! Français, pour sauver demain la France, retrouvez aujourd’hui déjà des âmes de vainqueurs ! Léon Degrelle, 19 octobre 1936, Publié dans Je suis partout, n° 309, 24 octobre 1936. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Tintin mon copainurn:md5:393e82bf9acdbd571b81fca98fc8ec7c2011-11-28T14:40:00+00:002013-11-16T13:26:43+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFührerHébraïsmeTroisième ReichWaffen SS <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Tintin_mon_copain_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Lettre au Pape</strong><br />
Année : 2000<br />
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A la mémoire de mon frère Edouard, assassiné, dans sa maison de Bouillon, devant ses fillettes, par les "épurateurs belges'~ le 8 juillet 1944, ainsi qu'à la mémoire de ma mère (âgée de presque quatre-vingts ans) et de mon père, morts d'anéantissement dans les prisons de la haine, à Bruxelles, le 23 octobre 1947 et le 11 mars 1948. Léon Degrelle. LA NAISSANE DE TINTIN. CHAPITRE I. Hergé et Totor. au " Vingtième Siècle ". "Le jour d'aujourd'hui" comme on dit à Bruxelles, cent quatre-vingts millions d'albums de Tintin circulent à travers le monde. Ils sont publiés en plus de quarante-cinq langues. Que ce soit à New York ou à Tokyo, des milliards de téléspectateurs se régalent en assistant aux émissions des séries inspirées par les chefs d'oeuvre Tintinesques. Ces records triomphaux, toujours croissants, ne se discutent même plus. Mais son progéniteur, le dessinateur Hergé, d'où est-il sorti ? Qui l'a tenu sur les fonts baptismaux, le matin de sa naissance ? Et bien, voilà ! Hergé est, avant tout, né des oeuvres d'un curé ! Oui, d'un curé ! C'est bien un prêtre catholique qui a extrait du néant ce petit bonhomme futé. Ce prêtre s'appelait Norbert Wallez. Tintin a eu d'ailleurs plusieurs pères. C'est le fruit dudit abbé, bien sûr; ce l'est, en second lieu, du grand artiste Hergé, lui-même, brandissant ses crayons. Et, indirectement, c'est de moi. Moi ? Mais oui ! Ce moi, c'est Léon Degrelle ! <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Lettre au Papeurn:md5:1a00c3e41f330b4f67a8835275dfa88c2011-11-28T14:31:00+00:002013-11-16T13:26:39+00:00balderDegrelle LéonFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Lettre_au_Pape_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Lettre au Pape</strong><br />
Année : 1979<br />
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A sa sainteté le papae jean-paul II. Cité du Vatican. Très Saint Père, je suis Léon Degrelle, le Chef du Rexisme belge avant la Seconde Guerre Mondiale, et, durant celle-ci, le commandeur des Volontaires belges du Front de l'Est, luttant au sein de la 28ème Division des Waffen S.S. " Wallonie ". <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Les âmes qui brûlenturn:md5:d7abef998a432cc6b0193df8fb73b12d2011-11-28T14:28:00+00:002013-11-16T13:26:35+00:00balderDegrelle LéonEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Les_ames_qui_brulent_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les âmes qui brûlent</strong><br />
Année : 1964<br />
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PRÉFACE. Cet ouvrage, Les âmes qui brûlent, comprend une série de notes spirituelles que l’auteur écrivit au hasard de l’aventure de sa vie, avant et pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Chaque époque a son style, dépouillé ou ampoulé, classique ou romantique. A travers le style et audelà de l’écrivain se retrouvent certaines formes, certaines façons de penser propres à un temps. Une partie de ces notes sont des réflexions de soldat, écrites alors que l’auteur – à tort ou à raison – combattait en Volontaire d’Europe au Front de l’Est, de 1941 à 1945, contre les armées des Soviets. Là aussi il n’y a pas à revenir sur la manière d’exprimer des sentiments qui étaient tels qu’on le dit et qui alors s’exprimaient ainsi. Ce manuscrit était voué fort probablement à ne jamais paraître. Il fut découvert par le plus grand écrivain espagnol de notre époque, mort depuis peu, le Docteur Gregorio Marañon, membre des cinq Académies de son pays. Le Docteur Marañon n’avait politiquement rien de commun avec les mouvements autoritaires du Vingtième Siècle. Il appartenait à un libéralisme courtois, très étranger aux temps violents où comme un météore se consuma l’auteur de ces pages. Gregorio Marañon en lut par hasard le manuscrit, consacra les loisirs des deux dernières années de sa vie à le traduire en espagnol, dans une langue d’une pureté admirable. Il les présenta au grand public de son pays dans une introduction dont il lira la traduction en annexe. « Ces pages, écrivait Gregorio Marañon, sont d’une beauté impossible à surpasser, vibrantes de pathétisme humain ». L’ouvrage connut en Espagne, sous le titre Almas Ardiendo, plus de cinquante éditions. Il se réédite toujours. Mais l’auteur n’avait point fait imprimer cette oeuvre dans son texte original. Le lecteur de langue française d’après 1945 lui paraissait plus blasé que le public espagnol et presque imperméable à des méditations de cet ordre. L’ondulation d’une quelconque vampiresse de cinéma intéresse beaucoup plus le public moderne que le frémissement angoissé d’une âme. D’ailleurs, l’âme, qu’est-ce encore ? Les problèmes moraux, spirituels, importunent aujourd’hui l’homme et la femme dits à la page. Ils préfèrent les liquider d’un petit ton supérieur, ou condescendant, ou persifleur. Dans le meilleur des cas ils ne sont plus ressentis de la même manière. Ni les problèmes religieux non plus. Néanmoins, les idées exprimées dans ces notes, les sentiments qui y vibrent ont entraîné l’adhésion de foules considérables. Ils peuvent donc encore présenter un certain intérêt, ne fût-ce que comme témoignage. Dans une confession préliminaire l’auteur fait le point, a dit ses doutes, son désarroi, s’est livré, sans trop d’illusions, avec des flammèches d’espérance tout de même. Car, par-dessus les générations et les différences de vie et de style tout court, il y a, toujours, d’homme à homme, des correspondances spirituelles. Un garçon de vingt ans, des années après l’auteur de ce livre, peut connaître les mêmes vibrations. Celles-ci vivront jusqu’à la fin du monde. Qu’importe alors, au fond, la façon de les exprimer ou l’identité de celui qui les exprime ?... Naïf à travers tout, ou reste pur à force de lutter, ou détruit et transpercé par ses fautes et par ses souillures, le coeur de l’être humain est immuable quoi qu’on en dise et quoi qu’on y fasse. Ces notes s’adressaient à lui jadis. En somme, elles s’adressent encore à lui aujourd’hui, mais sans que celui qui jette ces feuillets aux vents tourmentés de son époque sache bien si elles aboutiront à émouvoir ou simplement à faire ricaner ceux-là dont la mort intérieure a pris des couleurs d’ironie. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Léon Degrelle persiste et signeurn:md5:6b96a10ca989fb72dbd5bf563e37e8772011-11-28T14:19:00+00:002013-11-16T13:26:31+00:00balderDegrelle LéonEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Leon_Degrelle_persiste_et_signe_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Léon Degrelle persiste et signe Interviews recueillies pour la télévision française par Jean-Michel Charlier</strong><br />
Année : 1985<br />
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A L'ASSAUT DE LA VIE. CHAPITRE PREMIER LE JEUNE DEGRELLE Degrelle, Croisé de naissance - Une famille, avant 1914 - Un futur Premier ministre - Le vieux Pétain et le petit Léon Degrelle - Hors de la cuvette de Bouillon - Léon Degrelle, fils de Français - L'Europe en bicyclette - Degrelle et les Jésuites - Ses maîtres politiques - La passion sociale - Premier livre à treize ans, deuxième livre à seize ans - Vandervelde, président de l'Internationale, découvre Degrelle - L'amitié du cardinal Mercier - Degrelle, promoteur de la bagarre Vatican-Maurras. Q. - Léon Degrelle, pouvez-vous me décrire ce qu'a été votre milieu familial ? Ce qui a déterminé plus tard votre carrière? R. - Je suis né le 15 juin 1906 au fond de l'Ardenne belge, à trois kilomètres de la frontière française, à Bouillon. Notre maison et notre jardin longeaient la Semois, rivière à truites et à brochets, face à l'énorme château féodal de Godefroid de Bouillon, celui-là qui fut le chef de la Première Croisade. Ainsi, dès mes premiers regards, j'ai été en plein dans les Croisades ! Je suis parti à la conquête de la Russie soviétique en 1941 comme mon devancier bouillonnais avait été prendre d'assaut Jérusalem en 1099! Le paysage ardennais lui aussi m'incitait à la grandeur. Partout des vallons noirs. Des grands bois roux, chantés par Verlaine, dont la famille était originaire de Paliseul, à quatorze kilomètres au nord de Bouillon. De même que Rimbaud était né à Charleville, à trente-cinq kilomètres au sud. Mais c'est vrai, le fait de naître au fond des bois de l'Ardenne près d'une rivière bondissante et au pied du vieux château fort d'un c_r~isé, ne prédispose pas obligatoirement à un grand destin. Des milliers de Bouillonnais paisibles sont nés dans ce val étroit qui n'ont pas essayé ensuite de projeter la révolution dans leu; époque! Je n'ai pas bénéficié non plus, en naissant, de l'afflux de formateurs exceptionnels. Je n'ai eu d'abord que ma famille. Mais une famille, c'est quand même immense. Surtout une famille comme on les concevait voilà un demi-siècle. En premier lieu, des familles profondément chrétiennes. Non pas seulement par la foi qu'on porte en soi, mais par la passion du don, le besoin de se sacrifier, le désir de saisir les âmes et de les transformer. Ce qui distinguait aussi une famille d'alors, c'était son caractère spartiate. On nous formait à la dure. Nous étions nombreux. Chez mes grands-parents, il y avait eu neuf enfants d'un côté, et treize de l'autre. C'est dire que si tous mes oncles et tantes s'étaient mariés, j'aurais eu quarante oncles et tantes ! Un autobus fin plein ! Après, l'institution n'avait pas démérité. Nous étions huit enfants chez mes parents. Neuf chez un de mes oncles. Douze chez un autre. Moi-même j'ai eu six enfants. La moyenne, chez les Degrelle, depuis 1590, a été de huit enfants par famille. J'étais le deux-centquatre- vingt-treizième Degrelle répertorié, en ligne directe ! Lorsque j'ai fait mon apparition, nul, chez nous, ne jetait l'argent par portes et fenêtres. n y avait de la discipline. n fallait très tôt se soumettre à des contraintes physiques vraiment rudes. Je me souviens, j'avais huit ans, j'étais un petit gamin de rien du tout : chaque matin pourtant, à cinq heures et demie, je partais à travers la vallée de la Semois, par une obscurité absolue, dans la neige épaisse souvent, vers le vieux clocher de ma paroisse. Une lueur, une seule, léchait le fond d'une ruelle : celle du four du boulanger, torse nu, devant les flammes orangées. Je grimpais tout en haut de l'église, par des échelles raides, pour aller sonner les cloches. Un gamin de huit ans, qui s'en va ainsi tout seul à travers la nuit, qui grimpe ainsi dans le mystère d'une tour, qui ne s'affole pas, a déjà reçu une empreinte, une leçon. · Les parents qui laissaient faire cela - qui le décidaient - avaient aussi l'idée bien résolue de former leurs enfants à une vie où on prenait ses risques. Q. - Votre père, je crois, avait déjà appartenu au milieu politique? R. - En fait, j'ai été formé tout jeune à la politique. Mais pas à la grande politique, celle-là que j'ai tenté de réaliser par la suite dans mon pays, puis en Europe, pour l'unification de laquelle j'ai tant lutté. Mon père était député permanent de ma province, le Luxembourg belge. Mon grand-père maternel avait été un des leaders de la Droite. Dès que j'ai été enfant, j'ai été mêlé à la vie publique, happé par elle. Mais, de là à vouloir agrandir un pays, le transformer de fond en comble, il y avait une marge. Et surtout à vouloir créer une Europe Unie qui renouvellerait les assises du monde ! C'était un travail d'une tout autre envergure. Sans pression de quiconque, j'ai été possédé très tôt par la passion de la politique, de la politique régionale d'abord, telle qu'elle existait à cette époque-là dans mon petit coin d'Ardenne. D m'a fallu un certain nombre d'années pour me dégager de ces limites étroites. Q. - Est-ce que tout jeune déjà, à ce moment, vous n'avez pas manifesté des ambitions politiques ? R. - Dès mon enfance, il fut pour moi bien clair que je serais autre chose qu'un conseiller provincial comme mon grand-père, ou un député permanent comme mon père. La première fois que celui-ci est venu me voir au collège, chez les Jésuites à Namur, il m'a dit: - Tu as quinze ans maintenant, tu commences à penser à ton avenir : que veux-tu être un jour ? Je lui ai répondu tout de go: - Moi, un jour, je serai Premier ministre. On a prêté ce propos à d'autres hommes politiques. Le mien fut authentique, et direct. Et d'ailleurs, ce ne fut qu'une ambition provisoire. Par la suite - et on ne m'a pas appelé Modeste I.,.. pour rien - j'ai voulu bien davantage ! Entre nous, le 15 juin, date de ma naissance, fut longtemps la fête de saint Modeste! Le· pauvre a eu fort à faire avec son protégé bouillonnais ! Q. - Il y avait également pas mal de religieux chez les Degrelle? R. - Oui. Oui. Tous les Degrelle ont toujours été profondément chrétiens. Nous sommes croyants jusqu'à la moelle. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Le fascinant Hitlerurn:md5:53ee6639b13e184b638b19de704042f82011-11-28T14:12:00+00:002013-11-16T13:26:27+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Le_fascinant_Hitler_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le fascinant Hitler</strong><br />
Année : 1991<br />
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CHAPITRE PREMIER. HITLER, QUEL HITLER ? DEPUIS 1945, le seul fait de parler objectivement d'Hitler - celui-là même qui, entre 1939 et 1942, ava it balayé l'Europe depuis Narvik jusqu'au Péloponnèse, depuis le Golfe de Finlande jusqu'aux sommets du Caucase et amené sous son pouvoir quatre cents millions de personnes - vous vaut d'être voué instantanément à la plus tapageuse des exécrations. L'Adolf de Berchtesgaden ne peut plus apparaître que sous les traits d'un brigand griffu, d'un asservisseur appâté de sang, d'un reste de gibet. Si vous avez notamment l'audace impie de mettre en doute les chambres à gaz hitlériennes, déclarées monuments de la conscience universelle, une horde de contestataires, rauquant comme des tigres, vous saute dessus, vous traîne, par le ceinturon ou par les savates, devant des tribunaux de répression. Racisme irrémissible 1 Vous êtes la honte de la civilisation! Le cas récent des avatars posthumes du plus grand philosophe allemand du xx' siècle, Martin Heidegger, est exemplaire. Il a suffi, pour qu'il fût vomi, qu'on découvrît la déclaration qu'il avait prononcée en 1933, lorsqu'on lui avait offert, en Allemagne, une chaire d'université: Pour moi, il est clair que, mettant de côté tout motif personnel, j'entends accomplir la mission qui me permettra de servir de la meilleure façon le travail d'Adolf Hitler. Une fois démasqué comme un hitlérien de 1933, le célèbre Heidegger, loué partout la veille par la gauche unanime, devint, sur l' heure, un rebut de la philosophie! Son infamie, aussitôt, fut cornée par toute la presse de l'univers. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - La cohue de 1940urn:md5:d923c41550b03634b74bbe548ad837f22011-11-28T14:09:00+00:002013-11-16T13:26:23+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_La_cohue_de_1940_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>La cohue de 1940</strong><br />
Année : 1949<br />
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UN SOIR AVEC LÉOPOLD III. Septembre 1939 au Château de Laeken. - Portrait de Léopold III. - Politique de neutralité du roi des Belges. - Le comte Xavier de Grünne, champion de l'intervention. - Ma position radicalement anti-interventionniste. -Accord complet avec le Roi. - Projet d’une formule de pleins pouvoirs. - Approbation puis indécision royales. - L'anarchie recommence. - Séances du Parlement. - La presse déchaînée. La grenade qui alluma la Deuxième guerre mondiale roula sur le sol durant la dernière nuit d'août 1939. On eût pu la désamorcer avant cet instant fatal. On eût pu retenir le bras avant la terrible projection. On eût pu encore, à l'ultime seconde, détourner l'explosif vers des champs morts. Non. La guerre était revenue parce qu'elle devait revenir, parce que trop de gavials la désiraient, parce que les hommes sont fous, ont besoin de sang, ont besoin de haine, et trouvent dans les grandes tueries internationales ces exutoires fabuleux où les vertus s'exaltent, où les vices se repaissent, où la vie - Bien ou Mal - peut jaillir vers l'exceptionnel. Dès les premiers remous européens, je fus l'ennemi acharné de cette guerre. Guerre facilement évitable : une bagarre comme celle de Dantzig et du Corridor polonais n'eût pas été plus compliquée à régler que l'incident des Sudètes. C'était une question de justice et de bon sens. Guerre insensée ! Saignée à chaque génération depuis Bonaparte (« Ma gloire, disait-il, vaut plus que la vie d'un million d'imbéciles »), l'Europe courait au suicide en courant à la guerre, une fois de plus. Pour moi, c'était évident, d'une évidence qui brûlait les yeux. Depuis 1936, je l'avais répété semaine après semaine. Refuser froidement, systématiquement, au Reich surpeuplé son espace vital, l'une ou l'autre de ses anciennes colonies, des communications normales, décentes, entre ses deux provinces prussiennes de l'Est ; s'opposer, malgré la volonté massive des électeurs, au retour à la mère patrie de villes aussi indiscutablement allemandes que Dantzig ; faire, au contraire, de chaque étape du regroupement des Germains l'occasion d'un bacchanal universel, monter de toutes pièces une affaire de Pologne en corrompant et en achetant ses colonels et ses ministres, chauffer ce pays à blanc, le pousser à des provocations matamoresques alors que la dite Pologne et ses chefs politiques, quelques mois plus tôt, collaboraient, enthousiastes, avec Hitler, à la liquidation de l'Etat tchèque, exigeaient bruyamment à Teschen, arme au poing, leur part des dépouilles, c'était non seulement acculer le peuple le plus solide et le plus sain du continent à un éclat fatal, mais c'était pousser l'Europe entière à la guerre civile, une guerre où Anglais et Français, même vainqueurs, ne pouvaient rien gagner, ne pouvaient que perdre. Et il en fut ainsi. Après avoir appelé l'univers à la curée, on a détruit de fond en comble l'oeuvre d'Hitler. C'est entendu. Et après ? Que reste-t-il de la France cocardière de 1939, de son prestige mondial, de sa monnaie saine, de ses colonies si prospères ? Que reste-t-il de l'orgueilleux Empire britannique, de sa domination matérielle, de sa maîtrise des mers, de l'impressionnante vigueur de la livre sterling, qui dictait sa loi jusqu'alors aux marchés de l'univers ? Seul le fanatisme a pu rendre les hommes assez aveugles pour ne pas entrevoir cette roulade générale. Mais si la chute des grands pays européens était inscrite déjà dans l'avenir, à plus forte raison les petits pays, placés aux lieux historiques des télescopages, risquaient-ils de se faire broyer dans ce déraillement fantastique ! Plus spécialement, nous, les hommes des vieux Pays-Bas de la mer du Nord, nous allions nous trouver à l'un des principaux carrefours du feu et du sang. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - La campagne de Russieurn:md5:cb48ac3119bd027288566f9f1a670c722011-11-28T14:04:00+00:002013-11-16T13:26:21+00:00balderDegrelle LéonEuropeFührerRussieTroisième ReichWaffen SS <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_La_campagne_de_Russie_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>La campagne de Russie 1941 - 1945</strong><br />
Année : 1949<br />
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A LA MÉMOIRE et A LA GLOIRE des deux mille cinq cents Volontaires belges de la Légion Wallonie, morts en héros au Front de l'Est de 1941 à 1945, dans la lutte contre le bolchevisme, pour l'Europe et pour leur Patrie. PRÉFACE. J'ai été, en 1936, le plus jeune chef politique de l'Europe. A vingt neuf ans, j'avais fait frémir mon pays jusque dans ses fibres les plus secrètes. Des centaines de milliers d'hommes, de femmes, de jeunes gens, de jeunes filles me suivaient avec une foi et une passion totales. J'avais fait pénétrer en ouragan au parlement belge des dizaines de députés et de sénateurs. Je pouvais être ministre : je n'avais qu'à dire un mot, à entrer dans le jeu des partis. J'ai préféré poursuivre, hors du bourbier officiel, le dur combat de l'ordre, de la justice, de la propreté, parce que j'étais possédé par un idéal qui n'admettait ni les compromissions ni les partages. Je voulais débarrasser mon pays de la domination dictatoriale des forces d'argent qui corrompaient le pouvoir, faussaient les institutions, souillaient les consciences, ruinaient l'économie et le travail. Au régime anarchique des vieux partis, tous avilis par de lépreux scandales politicofinanciers, je voulais substituer, légalement, un Etat fort et libre, ordonné, responsable, représentatif des énergies véritables du peuple. Il ne s'agissait là ni de tyrannie ni de . Il s'agissait de bon sens. Un pays ne peut vivre dans le désordre, l'incompétence, l'irresponsabilité, l'incertitude, la pourriture. Je réclamais l'autorité dans l'Etat, la compétence dans les fonctions publiques, la continuité dans les entreprises de la nation, un contact réel, vivant, entre les masses et le pouvoir, une concorde intelligente et productive entre les citoyens que, seules, des luttes artificielles séparaient et opposaient : luttes de classes, luttes religieuses, luttes linguistiques, toutes entretenues et alimentées avec un soin minutieux parce qu'elles étaient la vie même des partis rivaux qui, avec une égale hypocrisie, se 12 disputaient théâtralement ou se partageaient discrètement les avantages du pouvoir. J'ai foncé, balai au poing, parmi ces bandes corrompues qui épuisaient la vigueur de ma patrie. Je les ai fouaillées et flagellées. J'ai détruit, devant le peuple, les sépulcres blanchis sous lesquels elles cachaient leurs turpitudes, leurs brigandages, leurs lucratives collusions. J'ai fait passer sur mon pays un souffle de jeunesse et d'idéalisme; j'ai exalté les forces spirituelles et les hauts souvenirs de lutte et de gloire d'un peuple tenace, travailleur, passionné de vie, d'abondance et de beauté. Rex fut une réaction contre la corruption d'une époque. Rex fut un mouvement de rénovation politique et de justice sociale. Rex fut surtout un élan fervent vers la grandeur, un jaillissement de milliers d'âmes qui voulaient respirer, rayonner, s'élever au dessus des bassesses d'un régime et d'un temps. Tel fut mon combat jusqu'en mai 1940. La Seconde Guerre mondiale – que j'avais maudite — changea tout, en Belgique comme ailleurs. Vieilles institutions, vieilles doctrines s'écroulèrent comme des châteaux de bois mort, vermoulus de longue date. Rex n'était lié en aucune manière au Troisième Reich triomphant, ni à son chef, ni à son parti, ni à qui que ce fût de ses dirigeants ou de ses propagandistes. Rex était un mouvement foncièrement, intensément national, d'une indépendance absolue. On a saisi toutes les archives du Troisième Reich : on n'a pu y trouver la plus infime trace d'une attache quelconque, directe ou indirecte, du rexisme avec Hitler avant l'invasion de 1940. Nos mains étaient nettes, nos coeurs étaient propres, notre amour de la patrie, lucide et brûlant, était pur de toute compromission. La ruée allemande laissa notre pays pantelant. Pour quatre-vingt neuf pour cent des Belges ou des Français, la guerre, en juillet 1940, était finie ; la prédominance du Reich était un fait auquel, d'ailleurs, l'ancien régime démocratique et financier brûlait de s'adapter le plus vite possible ! C'était à qui, parmi les insulteurs du Hitler de 1939, serait le plus empressé à se jeter aux pieds du vainqueur de 1940 : chefs des grands partis de gauche, magnats de la finance, propriétaires des plus importants journaux, ministres d'Etat francs-maçons, ex-gouvernement, tous 13 quémandaient, proposaient, mendiaient un sourire, une possibilité de collaboration. Fallait-il abandonner le terrain aux revenants discrédités des vieux partis, aux gangsters d'une finance pour qui l'or est l'unique patrie, ou à de sinistres forbans sans talent, sans dignité, prêts aux plus basses besognes de valets pour satisfaire leur cupidité ou leur ambition ? Le problème n'était pas seulement pathétique : il était urgent. Les Allemands apparaissaient à presque tous les observateurs comme les vainqueurs définitifs. Il fallait se décider. Pouvions-nous, par peur des responsabilités, laisser notre pays s'en aller à la dérive ? Pendant plusieurs semaines, je réfléchis. Ce n'est qu'après avoir demandé et obtenu en haut lieu un avis complètement favorable que je me décidai à laisser reparaître le journal du mouvement rexiste, Le Pays réel. La collaboration belge, amorcée à la fin de 1940, se faisait, toutefois, dans une atmosphère pesante. De toute évidence, les autorités allemandes d'occupation s'intéressaient beaucoup plus aux forces capitalistes qu'aux forces idéalistes. Nul ne parvenait à savoir exactement ce que méditait l'Allemagne. Le roi des Belges, Léopold III, voulut, avec un grand courage, y voir clair et obtenir des précisions. Il demanda à Hitler de le recevoir. L'audience fut accordée. Mais, malgré sa bonne volonté, le roi Léopold revint de Berchtesgaden sans avoir abouti et sans avoir appris rien de neuf. Il était clair qu'on allait faire attendre notre pays jusqu'à la paix. Or, à la paix, ce serait trop tard. Il fallait, avant la fin des hostilités, avoir acquis le droit de négocier efficacement et de parler fièrement au nom d'un vieux peuple fier. Comment arriver à traiter sur de telles bases ? La collaboration à l'intérieur du pays n'était qu'une opération de lent investissement, de grignotage, de luttes d'influences, quotidiennes et harassantes, menées contre d'obscurs sous-fifres. Non seulement ce travail ne donnerait aucun prestige à celui qui s'en chargerait, mais il ne pourrait que le discréditer. Je ne voulais pas tomber dans ce piège. Je cherchais, j'attendais autre chose. Cette autre chose éclata brusquement : ce fut la guerre de 1941 contre les Soviets. 14 L'occasion unique était là, l'occasion de nous imposer au respect du Reich à force de combats, de souffrances et de gloire. En 1940, nous étions des vaincus, notre roi était un roi prisonnier. En 1941, soudainement, l'occasion nous était offerte de devenir les compagnons et les égaux des vainqueurs. Tout dépendrait de notre courage. Nous avions, enfin, la possibilité de conquérir la position de prestige qui permettrait, au jour de la réorganisation de l'Europe, de parler, la tête haute, au nom de nos héros, au nom de nos morts, au rom du peuple qui avait offert ce sang. Certes, en courant au combat dans les steppes de l'Est, nous avons voulu faire notre devoir d'Européens et de chrétiens. Mais, nous le disons ouvertement, nous l'avons proclamé haut et clair dès le premier jour, nous avons fait, avant tout, ce don de notre jeunesse, pour garantir l'avenir de notre peuple au sein de l'Europe sauvée. C'est pour lui, d'abord, que plusieurs milliers de nos camarades sont tombés. C'est pour lui que des milliers d'hommes ont lutté, lutté pendant quatre ans, souffert pendant quatre ans, soutenus par cette espérance, poussés par cette volonté, fortifiés par la certitude qu'ils allaient arriver au but. Le Reich a perdu la guerre. Mais il eût pu parfaitement la gagner. Jusqu'en 1945, la victoire de Hitler resta possible. Hitler vainqueur eût, j'en suis certain, reconnu à notre peuple le droit de vivre et d'être grand, droit qu'avaient acquis pour lui, lentement, durement, nos milliers de volontaires. Il leur avait fallu deux ans de luttes épiques avant de forcer l'attention du Reich. En 1941, la légion belge antibolcheviste Wallonie avait passé inaperçue. Nos soldats durent multiplier les actes de bravoure, risquer leur vie cent fois avant de hisser le nom de leur pays au niveau de la légende. En 1943, notre légion de volontaires était devenue célèbre tout le long du front de l'Est par son idéalisme et par son intrépidité. En 1944, elle atteignit le sommet de la renommée lors de l'odyssée de Tcherkassy. Le peuple allemand, plus que n'importe quel peuple, est sensible à la gloire des armes. Notre position morale se révéla unique dans le Reich, de loin supérieure à celle de n'importe quel pays occupé. 15 Je vis longuement Hitler à deux reprises, cette année-là, visite de soldat, mais visite qui me montra clairement que nous avions gagné la partie. Me serrant avec force la main dans ses deux mains au moment des adieux, Hitler me dit avec une affection vibrante : j'avais un fils, je voudrais qu'il soit comme vous. Comment, après cela, me refuser le droit pour ma patrie de vivre dans l'honneur ? Le rêve de nos volontaires était atteint : ils avaient, en cas de victoire allemande, assuré avec éclat la résurrection et la grandeur de leur peuple. La victoire des Alliés a rendu provisoirement inutile ce terrible effort de quatre ans de combat, le sacrifice de nos morts, le calvaire des survivants. Aujourd'hui, l'univers s'acharne à bafouer les vaincus. Nos soldats, nos blessés, nos mutilés ont été condamnés à mort ou sont enfermés dans des camps et des prisons infâmes. Plus rien n'est respecté, ni l'honneur du combattant, ni nos parents, ni nos foyers. Mais l'infortune ne nous terrasse pas. La grandeur n'est jamais vaine. Les vertus conquises dans la douleur et le sacrifice sont plus fortes que la haine et que la mort. Comme le soleil jaillissant des nuits profondes, tôt ou tard elles resplendiront. L'avenir ira bien au-delà de cette réhabilitation. Il ne rendra pas seulement hommage à l'héroïsme des soldats du front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale, il dira qu'ils avaient raison ; qu'ils avaient raison négativement, car le bolchevisme est la fin de toute valeur ; qu'ils avaient raison positivement, car l'Europe unie, pour laquelle ils luttaient, était la seule possibilité de survie, la dernière, peut-être d'un vieux continent merveilleux, havre de la douceur et de la ferveur humaines, mais mutilé, morcelé, déchiré à en mourir. Un jour viendra où l'on regrettera amèrement la défaite, en 1945, de ces défenseurs et de ces bâtisseurs de l'Europe. En attendant disons avec des mots vrais ce que fut leur épopée, comment ils ont combattu, comment leurs corps ont souffert, comment leurs coeurs se sont donnés. A travers l'épopée des volontaires belges, une unité parmi des centaines d'unités, c'est le front de Russie tout entier qui va surgir à nouveau, aux jours ensoleillés des grandes victoires, aux jours plus 16 émouvants encore des grandes défaites, défaites que la matière imposait, mais que la volonté n'acceptait pas. Là-bas, dans les steppes sans fin, des hommes ont vécu. Lecteur, ami ou ennemi, regarde-les revivre ; car nous sommes en un temps où l'on doit chercher beaucoup pour trouver de vrais hommes, et ceux-ci l'étaient jusqu'à la moelle des os, tu vas le voir. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Hitler pour mille ansurn:md5:697d6cbed2e386f512cd2327181680d52011-11-27T23:45:00+00:002013-11-16T13:26:17+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Hitler_pour_mille_ans_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler pour mille ans</strong><br />
Année : 1969<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Degrelle_Leon_-_Hitler_pour_mille_ans.zip">Degrelle_Leon_-_Hitler_pour_mille_ans.zip</a><br />
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Chapitre premier Le musellement des vaincus 7 A nous, rescapés en 1945 du front de l'Est, déchirés par les blessures, accablés par les deuils, rongés par les peines, quels droits nous reste-t-il encore ? Nous sommes des morts. Des morts avec des jambes, des bras, un souffle, mais des morts. Prononcer un mot en public, ou écrire dix lignes lorsqu'on a combattu, arme au poing, contre les Soviets, et, surtout, lorsqu'on a été un chef dit « fasciste », est considéré sur-le-champ, du côté « démocratique », comme une sorte de provocation. A un bandit de droit commun, il est possible de s'expliquer. Il a tué son père ? Sa mère ? Des banquiers ? Des voisins ? Il a récidivé ? Vingt journaux internationaux ouvriront leur colonnes à ses Mémoires, publieront sous des titres ronflants le récit de ses crimes, agrémenté de mille détails hauts en couleur, qu'il s'agisse de Cheisman ou de dix de ses émules. Les descriptions cliniques d'un vulgaire assassin vaudront les tirages et les millions d'un bestseller à son analyste pointilleux, l'Américain Truman Capote. D'autres tueurs publics comme les Bonnie et Clyde connaîtront la gloire des cinémas et dicteront même la mode dans les drugstores les plus huppés. Quant aux condamnés politique, ça dépend. C'est la couleur de leur parti qui commandera leur justification ou leur exécration. Un Campesino, paysan rustaud devenu chef de bande du Frente Popular, et que les scrupules n'étouffaient guère lorsqu'il s'agissait de faucher les rangs des Nationaux, a pu, en Espagne même, et à des centaines de milliers d'exemplaires, dans le journal au tirage le plus élevé de Madrid, expliquer, largement et librement, ce qu'avait été son aventure sanglante d'Espagnol de « Gauche ». Mais voilà, lui était de Gauche. Alors, lui avait le droit, comme tous les gens de Gauche ont tous les droits. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Aux armes pour l'Europeurn:md5:e17e0efd9ed261beac0a3ada4550cdeb2011-11-27T23:42:00+00:002013-11-16T18:30:58+00:00balderDegrelle LéonEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Aux_armes_pour_l_Europe_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>AUX ARMES POUR L’EUROPE Texte du discours prononcé à Paris, le 5 Mars 1944, au Palais de Chaillot par le SS-Sturmbannführer Léon DEGRELLE CHEVALIER DE LA CROIX DE FER COMMANDEUR DE LA BRIGADE D’ASSAUT WALLONIE</strong><br />
Année : 1944<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Degrelle_Leon_-_Aux_armes_pour_l_Europe.zip">Degrelle_Leon_-_Aux_armes_pour_l_Europe.zip</a><br />
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Le 5 Mars 1944, revenant de la Bataille de TSCHERKASSY où sa brillante conduite lui a valu de recevoir des mains du Führer la Croix de Chevalier de la Croix de Fer, le SS-Sturmbannführer Léon DEGRELLE a pris la parole à Paris devant un immense auditoire réuni au Palais de Chaillot. Cette manifestation avait été organisée par les Waffen-SS Français, la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme et la Milice française. Il est inutile, sans doute, de tracer ici le portrait de Léon DEGRELLE dont l’extraordinaire activité politique déployée en Belgique, avant et depuis la guerre, est bien connue de tous. Quand on songe qu’à 28 ans cet homme a remué tout un pays par son élan, son courage et sa foi, on n’est pas étonné de le voir aujourd’hui à la tête de ceux de ses compatriotes qui ont compris la nécessité de joindre leurs efforts à l’armée qui forme le barrage de l’Europe contre le bolchevisme. Le discours qu’il a prononcé à Paris - et dont on trouvera le texte dans cette brochure - n’est pas celui d’un homme politique... au sens pédagogique du mot. C’est celui d’un soldat - le soldat de l’Europe nouvelle, animé de la foi du combattant et qui a su conformer ses actes avec ses idées. Belge, il s’adresse à tous les Français en général et en particulier à ceux qui ont déjà compris les nécessités de l’heure. Pourquoi un belge parle-t-il à des français ? Parce que ce belge est avant tout européen et, comme il l’a dit lui-même, dans l’Europe d’aujourd’hui, les délimitations des frontières n’ont plus guère d’importance. Il s’agit d’UNE lutte, d’UN combat. Cette lutte et ce combat sont les mêmes pour tous. Aussi bien appartenait-il à l’un de ces glorieux combattants européens du front de l’Est, à l’un de ceux qui ont montré un courage presque sans précédent, d’adresser cet appel qui est aussi une leçon et un exemple. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Appel aux jeunes européensurn:md5:17c712f1791f55b63c566a2ce691a00f2011-11-27T23:38:00+00:002013-11-16T18:31:24+00:00balderDegrelle LéonEuropeFührer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Degrelle_Leon_-_Appel_aux_jeunes_europeens_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Appel aux jeunes européens</strong><br />
Année : 1992<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Degrelle_Leon_-_Appel_aux_jeunes_europeens.zip">Degrelle_Leon_-_Appel_aux_jeunes_europeens.zip</a><br />
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I. — Contre les farceurs démocratiques. Nous aussi nous avons eu vingt ans. Nos jours ne reverdiront plus. Mais nos esprits, nos coeurs, sont encore vibrants des idées et des élans spirituels qui, sans doute, vous enflamment encore, vous aussi, nos jeunes camarades européens d’aujourd’hui. Nationalistes fervents, nous avions remué jusqu’au fond de sa conscience l’âme de notre patrie. Nous voulions la retirer des marécages politiciens où elle étouffait, lui rendre foi dans sa mission, remettre de l’ordre dans ses institutions, rétablir la justice sociale dans une indissoluble collaboration des classes et, surtout, réaliser la révolution des âmes, qui libérerait les hommes d’un matérialisme envahissant. Puis, en juin 1941, sonnant de clochers en clochers, avait retenti l’heure des grandes possibilités européennes. Simple soldat, puis caporal, puis sergent, puis officier, puis Commandeur de la 28e Division des Waffen SS Wallonie, j’avais, comme des centaines de milliers de volontaires de notre vieux Continent, aidé, au front de l’Est, à la création, peu comprise au début mais inévitable, d’une Europe fédérant les forces diverses mais complémentaires de nos patries. Elles étaient alors menacées de mort par le communisme soviétique, acharné, depuis 1917, à faire passer sous son knout tous les peuples du monde entier. Certes, aux premiers temps, nous, Combattants non allemands, étions tous très différents d’un pays à l’autre ; les Espagnols, des Norvégiens ; les Français, des Bosniaques ; les Hollandais, des Estoniens. Mais, vite, les épreuves, les souffrances, nous avaient rapprochés. Puis elles avaient scellé notre unité. Amitié, mais diversité. L’Europe respirait en nous. Après la tourmente, chacune de nos patries, fière de l’honneur de ses armes et du sacrifice de ses morts, eût, dans la gerbe de nos civilisations réunies, fait rayonner et magnifié la personnalité de son peuple. Vaincus, drapant nos tambours, nous avons vu notre Europe naissante de 1942 se recroqueviller après 1945 dans la banalité, la médiocrité, se livrer éperdument — sans même en deviner la fragilité éphémère — à un besoin furieux de jouir. Celui-ci lui a terni l’âme. Il en a décomposé les caractéristiques morales et spirituelles. Demain, tout devra être recréé. <strong>...</strong></p>