Balder Ex-Libris - Hitler AdolfReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearHitler Adolf - Guerre aux juifsurn:md5:f7b3479fbca91f8ed645bb982a9dccd82018-11-21T04:48:00+00:002021-11-03T01:25:24+00:00balderHitler AdolfAllemagneConspirationEuropeEx-LibrisFascismeFührerHébraïsmeRévolutionTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_Guerre_aux_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong> Hitler Adolf - Rosenberg Alfred - Goebbels Joseph - Streicher Julius</strong><br />
Ouvrage : <strong>Guerre aux juifs</strong><br />
Année : 1938<br />
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Avant-propos. « Ce qui me donna le plus à réfléchir, ce fut le genre d’activité des Juifs dans certains domaines dont j’arrivai peu à peu à percer le mystère. « Car, était-il une saleté quelconque, une infamie sous quelque forme que ce fût, surtout dans la vie sociale, à laquelle un Juif au moins n’avait pas participé ? « Sitôt qu’on portait le scalpel dans un abcès de cette sorte, on découvrait comme un ver dans un corps en putréfaction un petit youtre tout ébloui par cette lumière subite. » C’est en ces termes qui ne laissent place à aucune ambiguïté qu’Adolf Hitler, au début de Mein Kampf, parle de ses premiers contacts avec les Israélites. Et Alfred Rosenberg, le grand théoricien du IIIe Reich, résume à son tour le Judaïsme en ces quelques lignes : « En étudiant l’histoire et la littérature des Juifs, on y trouve presque uniquement une activité acharnée, sans bornes, un rassemblement tout à fait unilatéral de toutes leurs forces en vue de la propriété matérielle. De cette tournure d’esprit — presque amorale, peut-on dire — résulte aussi un code de morale qui ne connaît qu’un article : l’avantage du Juif. Ainsi admet-on, approuve-t-on même la fourberie, le vol, le meurtre. De là découle l’autorisation religieuse et morale du parjure, la religion talmudique du « Mensonge légal. » Tous les penchants naturellement égoïstes sont renforcés par cette « moralité » tolérante. Alors que, chez presque tous les peuples du monde, les idées morales et religieuses barrent la route à l’arbitraire purement instinctif et à la licence effrénée, chez les Juifs c’est l’inverse ! « Aussi depuis 2500 ans nous assistons éternellement à la même histoire : avide des biens de ce monde, le Juif s’en va de ville en ville, de pays en pays, et séjourne là où il trouve le moins de résistance à son activité de parasite des « Affaires. » On le chasse, il revient ; on en massacre une génération, la suivante recommence imperturbablement le même jeu. Moitié fourbe et moitié démon, à la fois ridicule et tragique, méprisé de tout ce qui est noble — et s’estimant néanmoins ; innocent, parce qu’incapable de comprendre autre chose que soi-même — le Juif‑Errant fils du principe du Mal traverse l’histoire du monde. Changeant sans cesse de nom et cependant toujours identique, protestant toujours de sa sincérité et mentant sans cesse croyant toujours à sa « mission » et pourtant condamné par son absolue stérilité au métier de parasite, tel est le Juif éternel. » Voici, n’est-ce pas, une position nette et des gens proprement accommodés ; et ce n’est pas sans une certaine surprise et une indéniable incompréhension que tous les peuples du monde ont accueilli ces déclarations qui ne laissent point place à la moindre équivoque. « Guerre aux Juifs et Persécution religieuse — Vague d’antisémitisme en Allemagne. » C’est ainsi que l’Europe et l’Amérique ont jugé l’action du Führer et de ses collaborateurs, cherchant vainement une explication à cette offensive de grand style contre les Israélites. Les causes de cette action sont cependant de la plus extrême simplicité, et les dirigeants du IIIe Reich n’ont jamais caché les raisons et les mobiles de leurs actes. La « Guerre aux Juifs » en Allemagne est tout au contraire une guerre purement défensive, un acte d’autodéfense contre l’emprise morale et matérielle du judaïsme dont l’Allemagne a manqué mourir. Auto-défense à l’intérieur, où l’infiltration juive avait abouti à une main-mise totale sur les moyens d’expression de la pensée — livre, journal, théâtre, cinéma — où le Juif, maître tout puissant de la Bourse et de la grosse industrie, était devenu ipso‑facto le maître du travailleur allemand, du pain allemand, de la volonté productrice allemande, le tyran brutal de l’esprit et du corps allemand. Autodéfense à l’extérieur, où le Juif seul soulève contre l’Allemagne les « Démocraties » qui se mordront un jour les doigts de l’avoir accueilli. Sans le Juif, le péril Russe ne menacerait pas jour et nuit l’Allemagne de son rougeoiement de sang ; sans le Juif, la France n’eût jamais connu la honte et la folie du pacte soviétique ; sans le Juif l’Angleterre et la France auraient depuis longtemps renoué avec l’Allemagne les relations qui doivent automatiquement exister entre ces trois grands peuples. Contre le Juif du dehors comme du dedans, l’Allemagne, État souverain, prend telles mesures qu’il lui plaît et n’a à en rendre compte à personne. Libre aux sentimentaux de la Société des Nations — ce Conservatoire de l’Idéal Judéo‑Maçonnique, — de s’indigner vertueusement en toute hypocrisie. Les chefs de l’Allemagne, après avoir extirpé le Juif de leur sol, s’accouderont eux aussi à leurs fenêtres pour voir un peu ce qui se passe au dehors, et le spectacle sera réjouissant… et peut-être avant peu. Déjà la France sent qu’elle a des poux, et cette nation étourdie étouffe mal, sous une indignation de commande — plus gouvernementale que populaire — contre la « croisade hitlérienne anti-juive », sa démangeaison chaque jour grandissante et sa croissante envie de se gratter… Aujourd’hui, nous ne saurions mieux faire que de passer la plume aux Chefs Allemands, qui vont nous expliquer comment et pourquoi ils ont été amenés à faire campagne contre l’envahissement et l’encerclement Judaïques. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Une lettre à Adolf Gemlichurn:md5:66108f84e2a3927cce59da95675822f32017-10-07T15:41:00+01:002021-10-07T14:53:26+01:00balderHitler AdolfFührer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_Une_lettre_a_Adolf_Gemlich.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Une lettre à Adolf Gemlich Le premier document politique d’Adolf Hitler</strong><br />
Année : 1919<br />
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Cher Herr Gemlich, Si le danger que constitue aujourd’hui le judaïsme pour notre peuple se traduit par une hostilité indéniable de la part d’une grande partie de notre peuple, les causes de cette aversion ne sont pas à chercher dans la conscience claire que les juifs dans leur ensemble, consciemment ou inconsciemment, ont un effet systématiquement corruptif sur notre nation. Elle résulte plutôt d’une expérience personnelle et de l’impression que le juif donne en tant qu’individu, qui est presque toujours défavorable. Par conséquent, l’antisémitisme acquiert très facilement un caractère émotionnel. Mais ce n’est pas raisonnable. L’antisémitisme en tant que mouvement politique ne devrait pas et ne peut pas être fondé sur des sentiments momentanés, mais sur une reconnaissance des faits. Les faits sont les suivants : Tout d’abord, les juifs constituent incontestablement une race et non une communauté religieuse. Le Juif ne se qualifie jamais d’Allemand juif, de Polonais juif ou même d’Américain juif, mais toujours de Juif allemand, polonais ou américain. Vivant au milieu des peuples étrangers, le Juif n’a jamais assimilé d’eux plus que leur langue. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - 1 février 1933, première allocution radiophonique en tant que chancelierurn:md5:adb5dfb5579161c5a19312bfccf812502017-05-30T11:52:00+01:002018-04-14T20:03:44+01:00balderHitler AdolfChristFascismeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_1_fevrier_1933_premiere_allocution_radiophonique_en_tant_que_chancelier.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>1 février 1933, première allocution radiophonique en tant que chancelier</strong><br />
Année : 1933<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook3/Hitler_Adolf_-_1_fevrier_1933_premiere_allocution_radiophonique_en_tant_que_chancelier.zip">Hitler_Adolf_-_1_fevrier_1933_premiere_allocution_radiophonique_en_tant_que_chancelier.zip</a><br />
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Appel au peuple allemand. Plus de quatorze ans se sont écoulés depuis le jour malheureux où le peuple allemand, aveuglé par les promesses des ennemis à demeure et à l'étranger, a perdu tout contact avec l'honneur et la liberté, et ainsi, a tout perdu. Depuis ce jour de trahison, le Tout-Puissant a suspendu ses bénédictions envers notre peuple. La discorde et la haine se sont abattues sur nous. Avec une profonde détresse, des millions parmi les meilleurs hommes et femmes allemands de tous horizons ont vu disparaître l'unité de la nation, se dissolvant dans une confusion d'opinions politiques et personnelles, d'intérêts économiques et de différences idéologiques. Depuis ce jour, comme souvent, dans le passé, l'Allemagne a donné d'elle une image de désordre navrant depuis le jour de la révolution. Nous n'avons jamais reçu l'égalité et la fraternité qu'on nous avait promis, et nous avons perdu notre liberté. La décomposition de l'unité et de la volonté de notre peuple a été suivie de la désintégration de sa position politique dans le monde. Nous sommes fermement convaincus que la nation allemande est entrée dans la lutte en 1914 sans le moindre sentiment de culpabilité de sa part et qu'elle était seulement remplit du désir de défendre la Patrie qui était attaquée et de préserver la liberté, voir, l'existence même des Allemands. Cela étant, nous ne pouvons que constater le sort désastreux qui nous a rattrapé depuis le mois de novembre de 1918, le résultat de notre effondrement. Mais le reste du monde, aussi, a souffert tout autant depuis dû à des crises accablantes. L'équilibre des pouvoirs, qui a évolué au cours de l'histoire et qui, autrefois, a contribué dans une mesure non négligeable au développement d'une compréhension de la solidarité au sein des nations, avec tous ses avantages pour les échanges commerciaux, a été mis de côté. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Les responsabilités de Roosevelturn:md5:f5bacea8b60a9e83569eb76c67462c0a2017-04-22T16:14:00+01:002021-04-22T15:21:13+01:00balderHitler AdolfAllemagneAngleterreSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_Les_responsabilites_de_Roosevelt.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les responsabilités de Roosevelt</strong><br />
Année : 1941<br />
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Discours prononcé par Adolf Hitler le 11 décembre 1941, devant le Reichstag. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Discours de la victoireurn:md5:5ce901cbbdbdd6334c14ce07b68d9cd02016-07-23T15:44:00+01:002016-07-23T18:21:16+01:00balderHitler AdolfAllemagneAngleterreConspirationFührerGermanyJewSecond World WarSeconde guerre mondiale <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Adolf_Hitler_-_Discours_de_la_victoire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Discours de la victoire, à l'Opéra Kroll, 19 juillet 1940</strong><br />
Année : 1940<br />
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Le soir du 19 Juillet 1940, le Reichstag allemand s'est assemblé afin de recevoir des éclaircissements de la part du gouvernement du Reich. Le Führer se rend à cette réunion à la maison de l'Opéra Kröll, près de 1,000 stations de radio ont transmis le discours en 30 langues dans le monde entier. Le Führer a appelé l'assemblée du Reichstag au milieu de la violente bataille pour la liberté de la nation allemande, afin de permettre de donner à la population un aperçu du processus historique unique, à remercier les soldats et de lancer un appel à la raison à l'Angleterre. Il n'y a aucune raison de forcer la poursuite des combats de cette bataille. La fin serait la destruction des deux pays. "M. Churchill pense que ce pourrait être l'Allemagne, je sais que ce sera l'Angleterre." A dit le Führer. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - La vérité doit triompher !urn:md5:3726dc0bad2c288ef4ffdf43896889942016-02-17T07:36:00+00:002016-02-17T07:43:37+00:00balderHitler AdolfAllemagneConspirationFranceFührerHébraïsmeSeconde guerre mondiale <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_La_verite_doit_triompher.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>La vérité doit triompher !</strong><br />
Année : 194*<br />
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Les Anglais maintiennent que le peuple allemand a perdu la foi dans la victoire. Croyez-vous comme le Führer et nous-mêmes en la victoire finale des forces armées allemandes? Les Anglais maintiennent que le peuple allemand est contre les mesures gouvernementales pour une guerre totale. Qu'il ne veut pas une guerre totale, mais seulement une capitulation! Je vous le demande: Voulez-vous une GUERRE TOTALE? Devant nous se trouve l'Allemagne ! En nous l'Allemagne avance! Et derrière nous l'Allemagne suit! Les Anglais maintiennent que le peuple allemand a perdu la foi dans le Führer. Je vous le demande: Faites-vous confiance au Führer? Au-delà de l'Europe et dans le monde entier la juiverie internationale sera reconnue comme étant une totale menace diabolique. Les Nationaux Socialistes veilleront à cela... Les Anglais disent que le peuple allemand est fatigué de se battre. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Adolf Hitler, l'homme qui s'opposa aux banquesurn:md5:5a3fb9c4148416d2d096e3c9471514542016-02-17T07:34:00+00:002016-02-17T07:35:39+00:00balderHitler AdolfAllemagneFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_Adolf_Hitler_l_homme_qui_s_opposa_aux_banques.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Adolf Hitler, l'homme qui s'opposa aux banques La vérité éclate enfin !</strong><br />
Année : 194*<br />
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Oui, l'Allemagne était en ce temps là une démocratie pour nous et nous avons été pillés et rincés à sec non... qu'est-ce qu'un état démocratique ou autoritaire signifie pour ces hyènes internationales? Ils s'en fichent! Une seule chose les intéresse est-ce que vous voulez être pillés? Oui ou non? Êtes-vous assez idiots pour rester silencieux pendant que cela se produit? Oui ou non? Et quand une démocratie est assez bête pour ne pas se tenir debout, alors c'est parfait! Mais quand un état autoritaire déclare: "on ne vous laissera pas piller notre peuple plus longtemps... que se soit de l'intérieur ou de l'extérieur!" alors là, rien ne va plus... En réalité c'est l'argent qui commande dans ces pays, ils parlent de la liberté de la presse alors qu'en réalité tous ces journaux n'ont qu'un seul propriétaire et le propriétaire est, dans tous les cas, le sponsor. Cette presse alors façonne l'opinion publique ces partis politiques sont tous les mêmes comme ce fut le cas pour nous ici. Vous connaissez déjà les vieux partis politiques, ils étaient tous identiques alors les gens doivent penser que, surtout dans ces pays de la liberté et de la richesse, la vie doit être très confortable pour leurs peuples mais c'est le contraire dans ces pays. Dans ces soi-disant démocraties" le peuple est loin d'être le principal centre d'attention ce qui compte vraiment ce qui importe vraiment c'est l'existence de ces groupes de "faiseurs de démocratie" qui est, l'existence de quelques centaines de capitalistes monstrueux qui possèdent toutes les usines et les actions et qui, finalement dirigent le peuple. Ils ne sont absolument pas intéressés par la masse, les juifs! Ils sont les seuls qui peuvent être traités d'éléments internationaux parce qu'ils mènent leurs activités partout dans le monde, c'est une petite clique internationale sans racine qui monte les peuples les uns contre les autres, qui ne veut pas qu'ils vivent en paix ils peuvent nous éliminer! Ils peuvent nous tuer, s'ils le veulent! Mais nous ne capitulerons pas! Ces juifs ont ri de cela ils ont pensé que c'était une plaisanterie, ils ne rient plus désormais aujourd'hui ils comprennent la gravité de la situation c'était une lutte en particulier contre les personnes qui, semblaient posséder tous les pouvoirs dans notre nation. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Adolf Hitler parle des femmesurn:md5:2496dc6ee128bebabff8d7118956db042016-02-10T06:52:00+00:002016-02-10T06:58:23+00:00balderHitler AdolfFemmesFührerGrèce <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_Adolf_Hitler_parle_des_femmes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Adolf Hitler parle des femmes Discours d'Adolf Hitler sur le rôle des femmes</strong><br />
Année : *<br />
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Si je veux imaginer une femme faire une plaidoirie devant un accusé, alors il faut que je la connaisse, que ce soit une personne proche de moi, ma mère, si elle était encore en vie, et qu'elle devait s'assoir devant un meurtrier dans un palais de justice pour décider du verdict, c'est impensable, jamais! Jamais! Nous ne voulons pas de cela. Je ne veux pas non plus voir de femme en uniforme de police faire sa ronde et courir après les coquins et les criminels. Ce sont des choses que nous ne voulons absolument pas. Certains me disent très souvent: "Excusez-moi, mais vous ne les laissez pas non plus dans le parlement." C'est vrai, seulement parce que je suis persuadé que le parlement ne mettra pas la femme en valeur, mais la dégraderais. J'ai aussi retiré les hommes du service parlementaire. Autrefois... Autrefois, on me disait souvent: "Ne pensez-vous pas que si vous laissez entrer les femmes dans le Reichstag celles-ci affineront les comportements des parlementaires et ainsi...?" Je n'ai aucun intérêt à peaufiner le Reichstag ou à affiner le comportement des parlementaires, parce que même s'ils deviennent honorables, chevaliers ou ennoblis, ce n'est qu'une perte de temps. Ça ne peut plus fonctionner de cette manière. C'est pourquoi, je suis maintenant convaincu que le parlement d'autrefois, n'était rien d'autre qu'un sac rempli de pommes pourries. Maintenant, vous allez me dire: "C'est pour cela que vous devriez mettre quelques-unes d'entre-elles au parlement!" Non, je ne préfère pas essayer, par peur qu'elles ne deviennent aussi pourries à leur tour. C'est mieux... de laisser mourir ce qui est destiné à mourir. Quand je lis les journaux du monde aujourd'hui, l'image de la femme qui me vient à l'esprit est: Un régiment de femmes tireur d'élite en Union Soviétique! Ou, un bataillon de femmes grenadier en Espagne! Ou... ce que je voudrais dire à ce type de personne représentant cette égalité des femmes: je ne serais pas un homme, si je venais à tolérer ce genre de chose. J'ai vécu la guerre. Je sais à quel point c'est difficile. Je sais Ô combien les hommes ont eu les nerfs à cran pendant cette guerre. J'en ai vu des douzaines rentrant du front, vacillants, complètement détruits et abîmés! L'idée selon laquelle une fille ou une femme doit prendre sur elle... Je ne pourrais plus avoir de respect pour l'homme allemand! Qu'ils prennent leurs responsabilités ou qu'ils se résignent à être père et mari ! <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Adolf Hitler explique ses raisons pour envahir l'Union Soviétiqueurn:md5:bb5a177083d7012b91203463c5fb0b4d2016-02-03T06:42:00+00:002016-02-03T06:47:06+00:00balderHitler AdolfAllemagneAnthroposophieChristChristianismeFührerRussieSeconde guerre mondiale <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_Adolf_Hitler_explique_ses_raisons_pour_envahir_l_Union_Sovietique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Adolf Hitler explique ses raisons pour envahir l'Union Soviétique</strong><br />
Année : 1941<br />
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Toujours dans le but de limiter la portée de la guerre, j'ai décidé en 1939 de faire quelque chose que vous, chers camarades, savez de première main combien cela fut difficile pour moi. Puis, j'ai envoyé mon ministre à Moscou. Cela signifiait le plus amère triomphe sur mes sentiments. Mais dans ces moments-là, les sentiments d'un homme doivent s'effacer, quand le bien être de millions de personnes est en jeu. J'ai essayé de parvenir à un accord. Vous savez mieux que personne, combien honnêtement et franchement, j'ai tenu nos obligations et engagements. Ni dans notre presse, ni dans nos réunions un seul mot n'a été mentionné sur la Russie. Pas un seul mot sur le Bolchevisme. Malheureusement, en face ils n'ont pas observé leurs obligations depuis le début. Cet accord a donné lieu à une trahison qui a d'abord liquidé tout le nord-est de l'Europe. Vous savez mieux que personne ce que cela signifiait pour nous, de regarder en silence le peuple Finlandais être étranglé. Et ce que j'ai pu ressentir en tant que soldat, de rester les bras croisés alors qu'un État puissant essaye d'en dominer un plus petit. Cependant, j'ai gardé le silence. J'ai pris une décision seulement quand j'ai vu que la Russie avançait vers nous, à un moment où nous n'avions que trois divisions en Prusse Orientale, alors que 22 divisions soviétiques y étaient assemblées. Nous avons peu à peu reçu la preuve que sur nos frontières un aérodrome après l'autre été mis en place, et une division après l'autre de la gigantesque Armée soviétique y étaient assemblées. Je fus alors obligé de m'inquiéter, car il n'y a pas d'excuse dans l'histoire pour la négligence, certains auraient prétendu par la suite que je ne pensais pas que cela eut été possible ou que je n'y croyais pas. Je me tiens maintenant au sommet du Reich et je suis donc responsable du présent du peuple allemand et de son futur. Je fus donc obligé lentement à prendre des mesures défensives. Mais en août et en septembre de l'année dernière, une chose devenait claire. Une décision dans l'ouest avec l'Angleterre qui aurait contenu toute la Luftwaffe allemande n'était plus possible, dans mes arrières se tenait un État qui se préparait à agir contre moi à un tel moment, mais c'est seulement maintenant, que nous réalisons dans quelle mesure la préparation avait avancé. Je voulais encore une fois clarifier l'ensemble du problème et j'ai donc invité Molotov à Berlin. Il m'a donné les quatre conditions que l'on connait : 1. L'Allemagne devrait finalement convenir que, comme la Russie se sentait à nouveau menacée par la Finlande, la Russie devrait être en mesure de liquider la Finlande. Je n'ai rien pu faire d'autre que de refuser un tel consentement. La seconde question concernait la Roumanie, 2. La question de savoir si une garantie allemande permettrait de protéger la Roumanie contre la Russie. Là aussi, je maintins ma parole. Je ne le regrette pas, car j'ai trouvé dans le général Antonescu un homme d'honneur, qui à l'époque a maintenu aveuglément sa parole. La troisième question visait la Bulgarie. 3. Molotov exigeait que la Russe devrait conserver le droit d'envoyer des garnisons en Bulgarie et ainsi donner une garantie russe à la Bulgarie. Nous savons qu'il s'agit de l'Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie. La quatrième question visait les Dardanelles. 4. La Russie exigeait des bases dans les Dardanelles. Si Molotov essaie maintenant de le nier, cela n'a rien de surprenant. Si demain ou après-demain il n'était plus à Moscou, il nierait le fait qu'il n'est plus à Moscou. Il a eu cette exigence et je l'ai refusée. J'ai dû la rejeter. Cela a rendu les choses claires pour moi, et d'autres pourparlers furent sans résultat. Je me devais d'être sur mes gardes. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - L'Allemagne proclame sa volonté de paixurn:md5:f32cccaafcdc8fd285796bb575a6dce82015-10-28T17:25:00+00:002020-10-28T17:51:15+00:00balderHitler AdolfAllemagneFascismeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_L_Allemagne_proclame_sa_volonte_de_paix.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Allemagne proclame sa volonté de paix</strong><br />
Année : 1933<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook3/Hitler_Adolf_-_L_Allemagne_proclame_sa_volonte_de_paix.zip">Hitler_Adolf_-_L_Allemagne_proclame_sa_volonte_de_paix.zip</a><br />
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Discours adressé au peuple allemand par le Chancelier Hitler, le 14 Octobre 1933. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Second livreurn:md5:c53c8aaaf123dac31316ccb66bf48d7c2015-09-27T04:08:00+01:002021-09-27T01:08:31+01:00balderHitler AdolfFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_Second_livre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Second livre</strong><br />
Année : 1928<br />
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Adolf Hitler n’a rédigé que deux livres : les deux tomes (par la suite réunis en un seul volume) de Mein Kampf, et ce Second livre, consacré surtout (mais non exclusivement) à la politique étrangère, qu’il n’a jamais publié… qui, de ce fait, est demeuré sans titre et auquel manquent quelques précisions chiffrées (qui devaient être ajustées à la date de publication). Ce Second livre est rédigé en 1928, en la phase de triomphe du capitalisme le plus débridé en Occident, en une période de bien maigres vaches électorales pour le NSDAP, dont l’essor formidable ne commence que lors des législatives du 14 septembre 1930, où le Parti nazi est propulsé au second rang de la trentaine de partis qui encombrent le Reich (dont seulement 15 sont représentés au Reichstag). Cette sombre période pour son Parti explique le ton quelque peu désabusé employé par Adolf Hitler dans la préface, alors que le livre est empreint d’une indéniable foi en l’avenir. Après relecture du livre, cet homme fort prévoyant comprend le danger d’exprimer aussi crûment ses vues de politique étrangère, une telle franchise ne pouvant que le gêner une fois devenu chef de l’État, d’autant que la situation internationale le forcera peut-être à modifier ses objectifs. Il décide donc de le garder secret. Le texte sera retrouvé, au printemps de 1945, par un parachutiste US de la 101e Airborne, lors du pillage du Berghof (la maison de montagne du Führer, sur le site de Berchtesgaden) et publié pour la première fois en 1961. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Principes d'actionurn:md5:e88f23487f97e829a3853ee9e1c1d0722014-12-01T15:45:00+00:002021-11-09T02:45:34+00:00balderHitler AdolfAllemagneAllemagneEuropeEuropeEx-LibrisFascismeFührerHébraïsmeHébraïsmeRacialismeTroisième ReichTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_Principes_d_action.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Principes d'action</strong><br />
Année : 1936<br />
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Aux ouvriers. Seule la nécessité provoque les grandes révolutions. ON NE PEUT FAIRE UNE VRAIE RÉVOLUTION QUE SI LE PEUPLE, PAR SES SENTIMENTS INTIMES, TEND VERS CETTE RÉVOLUTION. On ne peut la faire que si des circonstances déterminées ne vont, pour ainsi dire, jusqu'à l'imposer. Il est facile de modifier la forme extérieure de gouvernement. Mais on ne réussira jamais à transformer intérieurement un peuple; à moins qu'un processus déterminé ne se soit déjà plus ou moins accompli de lui-même; à moins que ce peuple ne reconnaisse déjà, lui - sinon d'une façon claire, du moins par un sentiment inconscient, - que la voie où il s'est engagé est mauvaise; à moins que ce peuple déjà disposé à sortir de cette voie, n'en soit empêché encore par la force d'inertie de la masse et n'ait pas reçu le choc libérateur : à moins qu'un mouvement, dont les chefs ont déjà vu cette voie nouvelle ne détermine, un beau jour, la nation à s'y engager. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Ma doctrineurn:md5:4680d060b99ed29dac0cf6cd050d69ce2014-12-01T15:38:00+00:002015-01-12T16:45:30+00:00balderHitler AdolfAllemagneAllemagneEuropeFascismeFührerFührerHébraïsmeHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Hitler_Adolf_-_Ma_doctrine.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Ma doctrine</strong><br />
Année : 1938<br />
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Première partie. Critique du libéralisme bourgeois. Critique de la démocratie bourgeoise et parlementaire. La démocratie fondée sur l'autorité du nombre supprime la responsabilité des chefs. Voici le caractère le plus remarquable du parlementarisme : on élit un certain nombre d'hommes (de femmes aussi depuis quelque temps), par exemple cinq cents; et à partir de cet instant, c'est à eux de prendre en tout des décisions définitives. Ils sont donc, en pratique, le seul gouvernement. Ils nomment bien un cabinet qui a l'air de diriger les affaires de l'Etat, mais ce n'est là qu'une apparence. En réalité, ce prétendu gouvernement ne peut faire un pas sans être allé d'abord mendier l'assentiment de toute l'assemblée. Ainsi, on ne pourra le rendre responsable de rien, la décision finale étant toujours celle du Parlement, jamais la sienne. Il n'est jamais que l'exécuteur de toutes les volontés de la majorité. On ne saurait estimer justement sa capacité politique. que d'après l'art avec lequel il sait s'ajuster à l'opinion de la majorité, ou amener la majorité à son opinion. Mais il déchoit ainsi du rang de véritable gouvernement à celui de mendiant auprès de chaque majorité. Il n'a pas désormais de tâche plus urgente que de gagner de temps à autre l'approbation de la majorité existante, ou bien d'essayer d'en susciter une nouvelle mieux orientée. S'il y réussit, il pourra « gouverner » encore quelque temps, sinon il n'a plus qu'à s'en aller. La justesse de ses vues ne joue là dedans aucun rôle. Ainsi toute notion de responsabilité est-elle pratiquement abolie. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Discours prononcé pour l’ouverture du Secours d’hiver de guerreurn:md5:38896fb0096dfe7387e1839914246f6e2011-11-28T18:32:00+00:002013-04-19T12:36:01+01:00balderHitler AdolfAllemagneFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Discours_en_faveur_du_Secours_d_Hiver_-_3_octobre_1941_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Discours prononcé pour l’ouverture du Secours d’hiver de guerre</strong><br />
Année : 1941<br />
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A l’occasion de l’ouverture du Secours d’hiver de guerre, le Führer a prononcé le discours suivant au Palais des Sports de Berlin Les remerciements du Führer au Front et au Pays Si je m’adresse à vous de nouveau aujourd’hui, après de longs mois de silence, ce n’est pas afin de répondre à l’un de ces hommes d’Etat qui se demandaient récemment avec surprise pourquoi je me taisais depuis si longtemps. Un jour la postérité pourra juger en toute connaissance de cause et décider ce qui a eu le plus de poids durant ces trois mois et demi : les discours tenus par Churchill ou mes actes. Je suis venu ici aujourd’hui pour prononcer comme de coutume quelques mots d’introduction à la campagne du Secours d’hiver. Il m’a, du reste, été très difficile de venir, cette fois, parce qu’à l’heure où je vous parle s’achève une nouvelle opération entamée sur notre front de l’Est et qui doit constituer un événement formidable. Depuis 48 heures cette action a pris des proportions gigantesques. Elle contribuera à écraser l’adversaire à l’Est. Je vous parle maintenant au nom de ces millions d’hommes qui combattent en ce moment, afin de vous demander à vous, au pays allemand, de consentir cette année encore, en plus de tous les autres sacrifices, à ceux qu’impose l’oeuvre du Secours d’hiver. Depuis le 22 juin une lutte est déchaînée, qui est vraiment d’une importance décisive pour le monde entier. Seule la postérité pourra discerner nettement quels furent l’ampleur et les effets de cet événement. Elle constatera aussi qu’il est la base d’une ère nouvelle. Mais cette lutte non plus, je ne l’ai pas voulue. Depuis janvier 1933, date où la Providence m’a confié la conduite et la direction du Reich, j’envisageais un but défini dans ses grandes lignes par le programme du Parti national-socialiste. Je n’ai jamais été infidèle à ce but, jamais je n’ai abandonné mon programme. Je me suis alors efforcé d’opérer le redressement intérieur d’un peuple qui, après une guerre perdue par sa propre faute, avait subi la chute la plus profonde de toute son histoire. C’était déjà, en soi, une tâche gigantesque. J’ai commencé à réaliser cette, tâche à un moment où les autres y avaient échoué ou ne croyaient plus à la possibilité de réaliser un tel programme. Ce que nous avons accompli pendant ces années de pacifique redressement, reste unique dans les annales de l’histoire. Aussi est-il vraiment offensant, souvent, pour mes collaborateurs et pour moi de devoir nous occuper de ces nullités démocratiques qui ne sauraient se référer dans tout leur passé à une seule oeuvre vraiment grande et qui fasse date dans leur vie. Mes collaborateurs et moi nous n’aurions pas eu besoin de cette guerre pour immortaliser notre nom. Les oeuvres accomplies en temps de paix y auraient suffi – et même amplement. Du reste nous n’avions pas encore achevé notre oeuvre créatrice dans maint domaine nous ne faisions mime que commencer. Ainsi l’assainissement intérieur du Reich avait donc dans les conditions les plus difficiles. En effet, il faut en Allemagne nourrir 140 personnes par kilomètre carré. La tâche est plus facile pour le reste du monde. Et cependant nous avons pu résoudre nos problèmes, alors qu’en grande partie le monde démocratique n’a réussi à le faire. Les buts que nous poursuivions étaient les suivants : Premièrement, consolider intérieurement la nation allemande ;• Deuxièmement, obtenir à l’extérieur l’égalité des droits ;• Troisièmement, unir le peuple allemand et rétablir ainsi une situation naturelle, artificiel• lement interrompue pendant des siècles. Ainsi, mes compatriotes, notre programme extérieur lui-même se trouvait donc fixé dès le principe, les mesures nécessaires pour sa réalisation étaient préalablement définies. Cela n’impliquait nullement que nous eussions jamais l’idée de faire la guerre. Mais une chose était certaine, c’est que nous ne renoncions en aucun cas ni au rétablissement de la liberté allemande, ni, par suite, aux conditions d’où sortirait le nouvel essor du pays. En poursuivant la réalisation de ces idées J’ai soumis au monde un très grand nombre. de suggestions. Inutile de les répéter ici, mes collaborateurs les mentionnent chaque jour dans leur activité de publicistes. Si nombreuses qu’aient été ces offres de paix, propositions de désarmement, propositions en vue d’amener par une voie pacifique un nouvel ordre économique national etc., toutes ces propositions ont été rejetées par ceux auxquels je les avais faites et notamment par ceux qui, manifestement, ne croyaient pas pouvoir accomplir leurs propres tâches en poursuivant une oeuvre pacifique – ou, plus exactement, qui ne croyaient pouvoir ainsi maintenir leur régime au pouvoir. Néanmoins nous avons réussi peu à peu, au cours de longues années de travail pacifique, non seulement à réaliser la grande oeuvre de réforme intérieure, mais encore à organiser l’union de la nation allemande, à créer le Reich grand-allemand, à ramener des millions de concitoyens allemands au sein de leur vraie patrie et, par suite, à offrir au peuple allemand le poids de leur nombre comme facteur de puissance politique. Durant ce temps j’ai réussi à acquérir un certain nombre d’alliés, en première ligne l’Italie ; une étroite et profonde amitié m’unit personnellement à l’homme d’état qui la dirige. Avec le japon également nos relations n’ont cessé de s’améliorer. En outre, nous avions en Europe une série de peuples et d’Etats qui nous avaient toujours conservé une inaltérable et bienveillante sympathie, notamment la Hongrie et quelques Etats nordiques. A ces peuples d’autres se sont joints, mais malheureusement, point ce peuple que j’ai le plus sollicité durant ma vie: le peuple anglais. Non que ce soit le peuple anglais lui-même dans son ensemble qui porte à lui seul la responsabilité de cette situation. Non, ce ne sont que quelques personnes qui, dans leur haine aveugle, dans leur folie obstinée, ont saboté toute tentative d’entente, secondées en cela par cet ennemi international du monde entier, que nous connaissons tous, la juiverie internationale. Nous n’avions donc malheureusement pas réussi à amener la Grande-Bretagne, et surtout le peuple anglais, à ces relations avec l’Allemagne que j’avais toujours espérées. C’est pourquoi, exactement comme cela s’est passé en 1914, le jour arriva où il fallut prendre une dure décision. Je n’ai certes pas hésité à la prendre, car je voyais clairement que si je ne pouvais réussir à obtenir l’amitié, anglaise, il valait mieux que l’hostilité de l’Angleterre atteignît l’Allemagne à un moment où je me trouvais encore à la tête du Reich. En effet, si cette amitié n’avait pu être obtenue par mes mesures, par mes avances, c’était donc qu’elle était à jamais perdue ; il ne restait donc plus qu’à combattre, et suis reconnaissant au Destin du fait que cette lutte ait pu être dirigée par moi. Je suis donc également convaincu qu’il n’y a réellement aucune entente à espérer avec ces gens-là. Ce sont des fous délirants, des gens qui depuis dix ans déjà n’ont qu’un seul mot à la bouche : «Nous voulons de nouveau une guerre contre l’Allemagne !» En effet, durant toutes les années pendant lesquelles Je me suis efforcé d’amener à tout prix une entente, M. Churchill n’a jamais fait que répéter : «Je veux avoir ma Guerre !» Il l’a maintenant, cette guerre ! et tous ses co-fauteurs qui, comme lui, excitaient à la guerre et ne trouvaient rien d’autre à dire que : «Nous aurons une guerre charmante» et qui, dès le 1er septembre 1939, se félicitaient mutuellement de voir venir cette charmante guerre, ils auront, entre temps, sans doute changé d’idée sur les charmes qu’elle présente. Et ils ne savent pas encore que cette guerre n’a rien de charmant pour l’Angleterre, ils finiront par s’en apercevoir avec le temps aussi sûrement que je vous parle ici. Ces fauteurs de guerre – non seulement dans l’ancien monde, mais dans le nouveau – ont réussi à faire marcher la Pologne. Ils ont su avec ruse la persuader que, premièrement, l’Allemagne n’était pas ce qu’elle prétendait deuxièmement, on avait la garantie d’obtenir en tout cas l’aide nécessaire. C’était l’époque où l’Angleterre n’allait pas encore mendier aide et assistance dans le monde entier, mis où elle offrait encore généreusement son appui. Depuis lors, ma situation a bien changé ! Nous n’entendons plus dire maintenant que l’Angleterre mène à la guerre un État en lui promettant de l’aider, mais nous l’entendons mendier dans le monde entier pour qu’on lui vienne à elle-même en aide. J’ai fait alors à la Pologne des propositions dont il faut dire – maintenant que les événements ont, contre notre volonté, pris un autre cours – que c’est évidemment la Providence, la toute-puissante Providence qui a empêché alors que mon offre fût acceptée. Elle savait pourquoi cela ne devait pas être, et maintenant, moi aussi, je le sais, nous le savons tous. Cette conjuration de démocrates de Juifs et de francs-maçons a donc réussi, il y a deux ans, à précipiter d’abord l’Europe dans la guerre. Les armes devaient décider. Depuis lors se déroule une lutte entre la vérité et le mensonge. Et comme toujours, cette lutte se terminera par la victoire de la vérité. En d’autres termes : la propagande britannique, la juiverie internationale et leurs complices les démocraties, auront beau entasser les mensonges, elles ne changeront rien aux faits historiques. Et c’est un fait historique que les Anglais ne sont pas en Allemagne, que les autres Etats n’ont pas conquis Berlin, qu’ils n’ont avancé ni à l’ouest ni à l’Est. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Adolf Hitler lance un dernier appel à la raisonurn:md5:14d9574818e4f71c3c0cf78d94de80cd2011-11-28T18:32:00+00:002013-11-16T13:31:25+00:00balderHitler AdolfAllemagneEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Adolf_Hitler_lance_un_dernier_appel_a_la_raison_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Adolf Hitler lance un dernier appel à la raison Discours prononcé devant le Reichstag allemand le 19 juillet 1940</strong><br />
Année : 1940<br />
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Députés! Hommes du Reichstag allemand! Au plein milieu de cette lutte titanesque, livrée pour la liberté et pour l'avenir de la nation allemande, je vous ai fait convoquer à cette séance. Les motifs de cette initiative résident dans la nécessité de permettre à notre propre peuple de se bien pénétrer de l'importance historique, véritablement unique, des événements que nous avons vécus, mais en même temps de remercier les valeureux soldats allemands. Ils s'inspirent en outre de l'intention de nous efforcer d'adresser un nouvel et dernier appel à la raison universelle. Celui qui compare les facteurs d'où est sorti ce règlement de comptes historiques avec l'ampleur, la grandeur et la portée des événements militaires, doit reconnaître qu'il n'y a aucune proportion entre les épisodes et les sacrifices de cette lutte et les raisons qui l'ont provoquée, à moins que ces raisons n'aient elles-mêmes été que les prétextes pour réaliser des intentions cachées. Le programme du mouvement national-socialiste, en tant qu'il se rapportait à la forme future des relations du Reich avec le reste du monde, était une tentative d'amener la révision du traité de Versailles en tout état de cause, mais autant que possible par la voie pacifique. Cette révision était une nécessité naturelle. L'intolérabilité des clauses du traité de Versailles ne résidait pas seulement dans l'humiliante discrimination infligée au peuple allemand et correspondant d'ailleurs à l'avilissement qui résultait du désarmement assuré de ce peuple, mais surtout dans la destruction matérielle, consécutive, du présent et dans l'anéantissement, projeté, de l'avenir d'un des plus .grands peuples civilisés du monde, dans . l'accumulation complètement absurde d'énormes quantités de pays sous la. domination de quelques États, dans la spoliation du vaincu, désormais privé des fondements irremplaçables de son existence et de ses biens vitaux les plus indispensables. Le fait qu'au cours même de la rédaction de ce dictat, des hommes clairvoyants, ont, même dans les rangs de la partie adverse, mis en garde contre l'application définitive des clauses de cette œuvre de folie, est une preuve de la conviction, qui régnait même dans ces milieux, qu'il était impossible de maintenir ce dictat dans les temps à venir. Évidemment, on a réduit leurs objections et leurs protestations au silence en assurant que la Société des Nations, nouvellement formée, garantissait, dans ses statuts, la possibilité de réviser ces . dispositions et même était compétente pour le faire. L'espoir d'une révision n'a donc jamais été considéré comme quelque chose d'illicite, mais comme quelque chose de naturel. Malheureusement, conformément à la volonté des hommes responsables du dictat de Versailles, l'institution de Genève ne s'est point considérée comme un organisme, chargé de préparer des révisions raison ·nables; dès le début, au contraire, elle s'est uniquement considérée comme le garant de l'exécution et du maintien impitoyable des clauses de Versailles. Tous les efforts tentés par l'Allemagne démocratique pour arriver, par la voie de la rev1s10n, à donner au peuple allemand l'égalité des droits, sont restés sans succès. Résolution de se libérer des chaînes de Versailles. Or, il est dans l'intérêt d'un vainqueur de présenter les stipulations qui lui sont utiles comme sacrées pour tous et il est dans la nature de l'instinct de conservation du vaincu de recouvrer les droits universels de l'homme. Pour lui, le dictat d'un vainqueur arrogant avait d'autant moins force de loi que cet adversaire n'était pas un loyal vainqueur. Un rare malheur a voulu que, dans les années 1914 à 1918, le Reich allemand ait été très mal dirigé. C'est à cette circonstance, c'est à !a foi, à la confiance du peuple allemand, - auquel les yeux n'avaient pas encore été ouverts, - dans la parole d'hommes d'État démocratiques qu'il fallut attribuer notre déclin. Aussi, pour tout honnête Allemand, la revendication anglo-française tendant à imposer le dictat de Versailles comme une sorte d'instauration d'un droit international, voire supérieur, n'était-elle qu'une insolente prétention et la supposition que justement des hommes d'État anglais ou français étaient les gardiens du droit ou même de la civilisation humaine, une impudente sottise. Impudence suffisamment illustrée par les résultats on ne peut plus médiocres obtenus dans ces domaines. En effet, aucune partie du monde n'a été gouvernée avec un tel minimum d'intelligence, de morale et de civilisation que cette partie qui fut livrée, à l'époque, aux fureurs de certains hommes d'État démocratiques. Dans son programme, le mouvement national-socialiste a proclamé outre l'affranchissement, dans le domaine intérieur, du joug judéo-capitaliste exercé par une mince couche plouto-démocratique d'exploiteurs, la résolution dans le domaine extérieur de libérer le Reich des chaînes du dictat de Versailles. Les exigences allemandes visant à cette révision étaient nécessaires et naturelles pour l'existence et l'honneur de tout grand peuple. Un jour, la postérité dira qu'elles étaient infiniment modérées. Cependant, il fallut, en pratique, imposer ces exigences contre la volonté des dirigeantes anglais ct français. Nous avons donc tous considéré précisément comme un succès de la direction politique du troisième Reich le fait que, durant des années, ces révisions aient pu se faire sans guerre. Non pas, comme le prétendaient les démagogues britanniques et français, parce que nous n'aurions pas été en état de faire la guerre. Mais lors qu'enfin il sembla, grâce à un certain réveil de la raison, que le reste des problèmes pourrait être résolu pacifiquement par une collaboration internationale, l'accord, conclu en ce sens le 29 septembre 1938 à Munich par les quatre grands États qui y étaient essentiellement intéressés, non seulement ne fut pas accueilli avec faveur par l'opinion publique à Londres ct à Paris, mais il y fut condamné comme un abominable signe de faiblesse. Les fauteurs de guerre du judéo-capitalisme couverts de sang virent dans la possibilité du succès d'une telle révision pacifique l'évanouissement d'occasions tangibles de réaliser leurs plans insensés. La conjuration de misérables créatures politiciennes vénales et de magnats de la finance avides d'argent se forma, une fois de plus, cette coalition de gens pour lesquels la guerre est un prétexte bienvenu de faire prospérer leurs affaires. Le poison international juif, virus des peuples, commença à faire son œuvre de désagrégation de la saine raison, les folliculaires s'entendirent à représenter les hommes honnêtes qui voulaient la paix en « mauviettes » et en traîtres au pays et à dénoncer les partis d'opposition comme constituant la cinquième colonne, pour supprimer ainsi toute résistance intérieure à leur criminelle politique de guerre. Juifs et francs-maçons, fabricants d'armes et profiteurs de guerre, mercantis internationaux et agioteurs de Bourse prouvèrent des seides, véritables « desperados » et Herostrates, qui proposèrent la guerre comme quelque chose de souhaitable et d'ardemment désirable. L'attitude de la Pologne. Ce sont ces criminels qui ont encouragé l'État polonais à prendre une attitude qui ne répondait aucunement à la revendication allemande et encore moins aux conséquences qui en devaient résulter. Car c'est précisément envers la Pologne que le Reich, depuis l'arrivée du national-socialisme au pouvoir, s'est imposé, véritablement, de faire œuvre d'abnégation. L'une des mesures les plus viles et les plus stupides du « dictat » de Versailles, à savoir l'arrachement au Reich d'une vieille province allemande, réclamait en quelque sorte d'elle-même d'être révisée! Et qu'ai-je exigé? Je dois ici parler de moi, parce qu'aucun autre homme d'État n'aurait pu oser proposer, comme je l'ai fait, une solution au peuple allemand. Cette solution ne demandait que le retour de Dantzig au Reich - soit la réintégration d'une ville purement allemande depuis toujours ainsi que la création d'une communication du Reich avec la province qui lui avait été arrachée et cela même, sous la condition de plébiscites qui devaient, eux-mêmes, être contrôlés par un forum international. Si M. Churchill et les autres «va-t-en-guerre,, avaient senti en eux ne fût-ce qu'une fraction de cette responsabilité que j'ai éprouvée envers l'Europe, ils ne se seraient jamais lancés dans leur jeu infâme. Car ce sont seulement ces Messieurs et les autres intéressés à la guerre en Europe et hors d'Europe qui sont cause que la Pologne, qui repoussa des propositions ne portant nullement atteinte à son honneur et son intégrité, eut recours au terrorisme et aux armes. Ici encore nous avons fait preuve d'empire sur nous-mêmes à un degré sans exemple. C'est ce qui nous a fait chercher quant! même pendant des mois le chemin d'une entente pacifique, malgré les meurtres commis sans discontinuer sur des hommes de notre sang allemand, enfin même malgré le massacre de dizaines de milliers de nos frères de race. Comment furent trouvés les documents. Quelle était en effet la situation? Une des créations les plus nébuleuses du dictat de Versailles, un croquemitaine politique et militaire bouffi de prétention, insulte des mois durant un État et menace de le battre en brèche, de livrer bataille devant Berlin, de tailler en menues pièces les armées allemandes, de reculer sa frontière jusqu'à l'Oder, voire jusqu'à l'Elbe. Et cet État, l'Allemagne, assiste impassible, et des mois durant, à ces agissements quoiqu'il n'eût eu qu'un coup de coude à donner pour dégonfler cette outre boursouflée de sottise et d'orgueil. Le 2 septembre encore, on aurait pu éviter ce combat. Mussolini fit alors la proposition de mettre fin aussitôt à toutes les hostilités et d'entamer des négociations pacifiques. Quoique l'Allemagne vît avancer triomphalement ses troupes, j'acceptai. Seulement, ce que cherchaient les bellicistes anglo-français, c'était la guerre et non la paix. Et ce qu'il leur fanait, c'était une guerre de longue durée, une guerre qui, d'après le mot de Monsieur Chamberlain, durât au moins trois ans, car entretemps ils avaient converti leurs capitaux en actions d'industrie de guerre, ils avaient acheté la machinerie et il leur fallait maintenant un certain temps pour faire prospérer leur négoce et amortir leurs capitaux investis. Et puis : quelle valeur représentent, pour ces cosmopolitards, des Polonais, des Tchèques ou d'autres peuples? Le 19 juin 1940, à la gare de la Charité, un soldat allemand, en furetant dans un des wagons qui y stationnaient, découvrit un document étrange. Il remit aussitôt ce document - puisqu'il portait une mention spéciale - à l'autorité de son ressort. De là ce document fut transmis à d'autres services qui se rendirent compte qu'ils étaient sur une trace conduisant à des découvertes importantes. La gare fut soumise de nouveau à des investigations minutieuses. C'est ainsi que tomba aux mains du commandement supérieur de notre armée une série de documents d'importance historique vraiment unique. Ce qu'on avait trouvé, c'étaient les pièces secrètes du conseil de guerre suprême des alliés, ainsi que les procès-verbaux de toutes les séances de cette illustre assemblée. Et, pour le coup, il ne sera pas possible à Mister Churchill de contester simplement ou de subtiliser à coups de mensonges l'authenticité des documents comme il a. essayé de faire il y a quelque temps pour les documents de Varsovie. Car ces documents portent tous en marge des notes de la propre main de MM. Gamelin, Daladier, Weygand, etc., qui peuvent donc en confirmer l'authenticité à toute heure, ou peut être aussi la nier. Et ces documents apportent des éclaircissements sur les agissements de messieurs les intéressés à la guerre et agents d'extension de la guerre. Ils montreront avant tout comment pour ces politiciens et militaires au cœur de pierre tous les petits peuples n'étaient qu'un moyen de parvenir à leurs fins, comment ils ont essayé d'employer la Finlande pour leurs intérêts, comment ils s'étaient décidés à porter la guerre en Norvège et en Suède, comment ils avaient l'intention de mettre en feu les Balkans afin d'en recevoir l'assistance de centaines de divisions, comment ils firent des préparatifs pour le bombardement de Batum et de Bakou, mettant à profit une interprétation aussi intéressée que dépourvue de scrupules d'une neutralité turque qui ne leur était pas hostile, comment ils attirèrent toujours davantage dans leurs filets les Pays-Bas et la Belgique et finalement les empêtrèrent dans des accords d'états-majors, constituant des engagements formels et tant d'autres choses. Mais ces documents donnent aussi .une image de toute la méthode d'amateurisme avec laquelle ces provocateurs de guerre politicailleurs tentèrent de maîtriser l'incendie, qu'ils avaient eux-mêmes allumé, de leur démocratisme militaire, qui partage la responsabilité du sort atroce qu'ils préparèrent à des centaines de milliers et des millions de soldats de leurs propres pays, de leur barbare manque de conscience, avec lequel ils poussèrent sciemment et froidement leurs peuples à une évacuation en masses dont les répercussions militaires devaient avoir des suites surtout nuisibles pour eux-mêmes, mais d'une atrocité douloureuse pour le commun des hommes. Or, ces mêmes criminels sont en même temps responsables d'avoir poussé la Pologne à coups de fouet dans la guerre. Dix-huit jours plus tard cette campagne était pratiquement terminée. L'appel à la paix du 6 octobre. Le 6 octobre 1939 je parlai de . cet endroit au peuple allemand, la deuxième fois depuis le début de cette guerre. Je pouvais lui annoncer le brillant écrasement militaire de l'État polonais. En même temps j'adressai alors un appel au bon sens des hommes responsables des États ennemis et aux peuples eux-mêmes. Je les ai prévenus d'une continuation de la guerre dont les suites ne pouvaient être que désastreuses. Je mis particulièrement les Français en garde contre une lutte devant nécessairement se propager au- delà de la frontière, et qui, quelle qu'en pût être l'issue, devait avoir des conséquences terribles. J'ai alors adressé ce même appel au reste du monde, toutefois - ainsi que je le déclarai - avec la crainte non seulement de ne pas être entendu mais au contraire de provoquer maintenant plus que jamais la fureur des fauteurs de guerre intéressés. C'est ce qui s'est exactement produit. Les éléments responsables d'Angleterre et de France ont vu dans cet appel de ma part une attaque dangereuse contre leur "affaire de guerre". Ils se mirent immédiatement en devoir de déclarer que toute idée d'une entente n'avait aucune chance de succès et serait même considérée comme un crime, qu'on devait continuer la guerre au nom de la culture, de l'humanité, de la fortune, du progrès, de la civilisation, et - aide que pourra - même au nom de la sainte religion, et qu'on devait mobiliser pour cela des nègres et des hommes de la brousse, et qu'à coup sûr la victoire viendrait alors d'elle-même, qu'à vrai dire il suffisait de la prendre. Ils pensaient que moi-même je devais bien le savoir, et l'aurais su effectivement depuis longtemps, et que pour cette raison seulement je lancerais au monde un appel à la paix. Car si j'avais été en mesure de croire à la victoire, je n'aurais pas- à leur dire- proposé à l'Angleterre et à la France une entente inconditionnelle! Ces excitateurs avaient réussi à me faire passer pour un vrai lâche devant le reste du monde. Mon offre de paix me valut des injures, des insultes personnelles, Monsieur Chamberlain me conspua formellement devant l'opinion publique mondiale et refusa, suivant les instructions des excitateurs et provocateurs Churchill, Duff Cooper, Eden, Bore Belisha, etc., même de parler de la paix, encore moins de faire quelque chose pour elle. Cette clique d’intérêts de grand capitalisme a ainsi réclamé à grands cris la continuation de la guerre. Ce nouveau chapitre vient de débuter. J'ai déjà assuré une fois, et vous le savez tous, mes compatriotes, que - lorsque pendant un certain temps je ne parle pas et qu'il ne se passe rien d'autre - · cela ne veut pas dire que je ne fasse rien. C'est que chez nous il n'est pas nécessaire comme dans les démocraties de quintupler ou de décupler chaque avion construit et de le crier ensuite, par les fenêtres, dans le monde. Même pour les poules il n'est pas très sage d'annoncer à haute voix chaque œuf à peine pondu. Mais il est encore plus bête que des hommes d'État racontent déjà au monde des projets, qui ne sont encore qu'à l'état d'esquisses, pour lui en donner connaissance à temps. C'est au bavardage effréné de deux de ces grands dirigeants d’États démocratiques que nous avons dû d'être constamment au courant des plans d'extension de la guerre de nos adversaires et en particulier de sa concentration en Norvège et en Suède. L'immixtion des Puissances occidentales dans le Nord. Tandis que cette clique anglo-française de fauteurs de guerre regardait ainsi autour d'elle, à la recherche de nouvelles possibilités d'extension de la guerre et pour mettre éventuellement le grappin sur de nouvelles victimes, je me suis employé à parfaire l'organisation militaire allemande, à former de nouvelles élites, à mettre en train la production du matériel de guerre ainsi qu'à ordonner l'ultime préparation de toute l'armée à ses nouvelles tâches. Le mauvais temps de la fin de l'automne et de l'hiver obligea en outre à retarder les opérations militaires. Dans le courant du mois de mars nous eûmes connaissance de3 intentions des Franco-Britanniques, de se faufiler dans le conflit russo-finlandais, bien moins pour secourir la Finlande que pour nuire à la Russie, que l'on considérait comme une puissance collaborant avec l'Allemagne. C'est de cette intention que naquit graduellement la décision d'intervenir directement et activement en Finlande, si de quelque manière c'était possible, afin de créer une base, d'où l'on pût porter la guerre dans la Baltique. Mais simultanément se faisaient jour, avec toujours plus de netteté, les propositions du Conseil de guerre suprême des alliés, soit d'allumer l'incendie dans les Balkans ou en Asie-Mineure, pour couper les fournitures de pétrole russe et roumain à l'Allemagne, soit de faire main basse sur les minerais de fer de la Suède. Dans ce but on devait procéder à un débarquement de troupes en Norvège et, avant tout, occuper le chemin de fer affecté au transport des minerais depuis Narvik jusqu'au port de Luléa en territoire suédois. La conclusion de la paix entre la Russie et la Finlande relégua dans l'ombre en dernière minute l'action déjà résolue contre les États nordiques. Mais quelques jours plus tard déjà ces intentions reprirent corps et se concrétisèrent en une décision nette. L'Angleterre et la France étaient d'accord pour occuper par surprise une série de points importants en Norvège et empêcher de la sorte que l'Allemagne fût encore ravitaillée de minerais suédois pour faire la guerre. Afin de s'assurer sans réserve des rJ)lnerais suédois, on se proposait d'envahir la Suède elle-même et d'écarter de son chemin, si possible à l'amiable, mais au besoin par la violence, les forces peu considérables que la Suède était à même de leur opposer. Si nous avons appris l'imminence du danger, c'est grâce à l'incoercible loquacité du Premier Lord de l'Amirauté en personne. La chose nous fut confirmée par une indication donnée à un diplomate étranger par le président du conseil français Reynaud. Que la date fixée ait déjà été reculée deux fois avant le 8 avril, que le 8 l'occupation dût avoir lieu, que le 8 fût donc la troisième et dernière date fixée pour ce coup de main, voilà ce que nous ne savons que depuis peu et, à vrai dire, nous n'en avons eu la confirmation définitive que grâce à la découverte des procès-verbaux du conseil de guerre suprême des alliés. Dès que se dessina plus nettement le danger de voir le Nord impliqué dans la guerre, fait donné ordre à l'armée allemande de prendre les mesures que comportait la situation. Le cas de l'«Altmark» avait déjà prouvé que le Gouvernement norvégien n'était pas disposé à garder la neutralité. Outre cela, nous savions par des renseignements de nos agents qu'il existait déjà une entente absolue du moins entre les éléments dirigeants du Gouvernement norvégien et les puissances alliées. Finalement l'attitude de la Norvège devant la violation de ses eaux territoriales par les mouilleurs de mines britanniques dissipa nos. derniers doutes. Alors fut déclenchée l'action allemande qui avait été préparée jusque dans les moindres détails. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Le Testament Politique d'Hitlerurn:md5:5871278835f37be9d844775138aa84972011-11-28T18:31:00+00:002014-03-17T15:45:34+00:00balderHitler AdolfAllemagneEuropeFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Le_Testament_politique_d_Hitler_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Testament Politique d'Hitler</strong><br />
Année : 1945<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Hitler_Adolf_-_Le_Testament_politique_d_Hitler.zip">Hitler_Adolf_-_Le_Testament_politique_d_Hitler.zip</a><br />
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Pitt et Churchill. - Pitt prépare la grandeur de l'Empire, Churchill creuse son tombeau. - L'Europe a perdu sa primauté. - La Grande-Bretagne aurait dû accepter une paix blanche. - Le Troisième Reich était condamné à faire la guerre. - Le malheur et l'adversité, origine des grands relèvements. Quartier Général du Führer, 4 février 1945. Churchill se prend pour Pitt. Quelle erreur est la sienne! Pitt avait trente-quatre ans en 1793. Churchill est malheureusement un vieillard, tout juste bon pour exécuter servilement les consignes du démentiel Roosevelt. D'abord les situations ne sont nullement comparables. Il faut se replacer dans les conditions de l'époque. Pitt avait raison, du point de vue de l'Angleterre, de ne pas transiger avec Napoléon. En s'obstinant comme il l'a fait, dans des conditions impossibles, Pitt préservait les chances qu'avait son pays de jouer le rôle qui fut le sien au xIxe siècle. C'était une politique de vie. En refusant de s'entendre avec moi, Churchill a entraîné son pays dans une politique de suicide. Il a commis la même erreur que commettent les généraux qui conduisent une guerre selon les normes de la guerre précédente. Il s'agit là de schémas qui ne sauraient se superposer. Le fait nouveau, c'est l'existence de ces géants que sont les États-Unis et la Russie. L'Angleterre de Pitt assurait l'équilibre mondial en empêchant toute hégémonie en Europe, en empêchant donc que Napoléon arrivât à ses fins. L'Angleterre de Churchill, tout au contraire, devait permettre l'unification de l'Europe pour maintenir cet équilibre. Je me suis efforcé d'agir, au début de cette guerre, comme si Churchill devait être capable de comprendre cette grande politique. Il était capable, dans un moment de lucidité,. de la comprendre. Mais il était depuis trop longtemps lié aux Juifs. Mon idée, en ménageant les Anglais, était de ne pas créer de l'irréparable à l'Ouest. Plus tard, en attaquant à l'Est, en crevant l'abcès communiste, j'ai eu l'espoir de susciter une réaction de bon sens chez les Occidentaux. Je leur donnais l'occasion, sans y participer, de contribuer à une oeuvre de salubrité, nous laissant à nous seuls le soin de désintoxiquer l'Occident. Mais la haine qu'éprouvent ces hypocrites pour un homme de bonne foi est plus forte que leur instinct de conservation. J'avais sous-estimé la puissance de la domination juive sur les Anglais de Churchill. Ils préfèrent en effet sombrer dans la déchéance plutôt que d'admettre le national-socialisme. Ils eussent admis à la rigueur un antisémitisme de façade de notre part. Mais notre volonté inébranlable de miner à sa base la puissance juive dans le monde, ils n'ont pas un estomac assez solide pour digérer cela! Le génie de Pitt, c'est d'avoir pratiqué une politique réaliste, en fonction des données du moment, une politique qui a permis l'extraordinaire essor de son pays et qui lui assura la suprématie mondiale au cours du xIxe siècle. La copie servile de cette politique, et sans tenir compte de circonstances qui ne sont plus les mêmes, ce qu'a fait Churchill, est une pure absurdité. C'est que le monde a marché depuis le grand Pitt! Si les changements ont été relativement lents pendant un siècle, la première guerre mondiale les a précipités, et la présente guerre nous a conduits à des échéances. Au début du xixe siècle, du point de vue de la puissance, l'Europe seule comptait. Les grands empires asiatiques étaient tombés dans un sommeil qui ressemblait au sommeil de la mort. Le Nouveau-Monde n'était qu'une excroissance de l'Europe, et personne, raisonnablement, ne pouvait prévoir le prodigieux destin des treize colonies anglaises qui venaient de s'émanciper. Treize! Moi qui ne suis pas superstitieux, cela m'inciterait à le devenir! Ce nouvel État de quatre millions d'habitants qui s'agrandit démesurément en l'espace de cent ans pour accéder, au début du xxe siècle, à la puissance mondiale... <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Le procès-verbal de la rencontre de notre Führer Adolf Hitler avec le Grand Mufti Haj Amin al-Husseiniurn:md5:41e907088bd6db0c6ce25bb6d15a96e52011-11-28T18:31:00+00:002013-11-16T13:45:18+00:00balderHitler AdolfFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Discours_Fuhrer_et_Grand_Mufti_de_Jerusalem_-_28_novembre_1941_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le procès-verbal de la rencontre de notre Führer Adolf Hitler avec le Grand Mufti Haj Amin al-Husseini</strong><br />
Année : 1941<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Hitler_Adolf_-_Le_proces-verbal_de_la_rencontre_de_notre_Fuhrer_Adolf_Hitler_avec_le_Grand_Mufti_Haj_Amin_al-Husseini.zip">Hitler_Adolf_-_Le_proces-verbal_de_la_rencontre_de_notre_Fuhrer_Adolf_Hitler_avec_le_Grand_Mufti_Haj_Amin_al-Husseini.zip</a><br />
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Berlin le 30 novembre 1941. Procès-verbal de l’entretien entre le Führer et le Grand Mufti de Jérusalem le 28 novembre 1941 à Berlin, en présence du Ministre des Affaires Étrangères du Reich et du Chef de Légation, Grobba. Le Grand Mufti commence par remercier le Führer pour le grand honneur qu’il lui fait en le recevant. Il souhaite saisir cette opportunité pour exprimer au Führer du Grand Reich allemand, admiré de tout le monde arabe, ses remerciements pour la sympathie qu’il a toujours témoignée à l’égard de la cause arabe, et tout particulièrement de la cause palestinienne, et dont il a donné une claire expression lors de ses discours publics. Les pays arabes sont convaincus que l’Allemagne gagnera la guerre, ce qui sera favorable à la cause arabe. Les Arabes sont les amis naturels de l’Allemagne, puisqu’ils ont les mêmes ennemis, les Anglais, les Juifs et les communistes. Ils sont donc disposés à coopérer avec l’Allemagne de tout leur coeur, et sont prêts à participer à la guerre, non seulement d’une manière que l’on pourrait considérer « négative », en commettant des actes de sabotage ou en suscitant des mouvements insurrectionnels, mais aussi de manière positive par la formation d’une Légion arabe. Comme alliés, les Arabes peuvent être plus utiles à l’Allemagne qu’il ne le paraît à première vue, autant pour des raisons géographiques qu’à cause des souffrances que leurs infligent les Anglais et les Juifs. De plus les Arabes ont noué avec toutes les nations musulmanes des relations qui pourront être utilisées au bénéfice de la cause commune. La Légion arabe pourra être levée tout à fait facilement. Un appel du Mufti aux pays arabes ainsi qu’aux prisonniers de nationalités algériennes, tunisiennes et marocaines pourrait provoquer un afflux en grand nombre de volontaires, impatients de combattre. Le monde arabe est fermement convaincu de la victoire allemande, non seulement parce que le Reich possède une grande armée, de braves soldats et des chefs militaires de génie, mais aussi parce que le Tout-Puissant n’accorde jamais la victoire à une cause injuste. Dans ce combat les Arabes luttent pour l’indépendance et l’unité de la Palestine, de la Syrie et de l’Iraq. Ils ont la plus grande confiance dans le Führer et considèrent sa main comme le baume de leurs blessures, infligées par les ennemis de l’Allemagne. Le Mufti mentionne alors la lettre qu’il a reçue et qui spécifie que l’Allemagne n’entend pas occuper de territoires arabes, et qu’elle comprend et reconnaît les aspirations arabes à l’indépendance et à la liberté, tout comme elle soutient la disparition d’un Foyer national juif. Une déclaration publique en ce sens pourrait être très utile par ses effets sur les peuples arabes en ce moment. Cela pourrait réveiller les Arabes de leur léthargie momentanée et leur donner un nouveau courage. Cela faciliterait aussi l’action du Mufti pour organiser secrètement l’action des Arabes en prévision du moment où ils pourront frapper. En contrepartie, il peut donner l’assurance que les Arabes attendront dans une stricte discipline le moment opportun et ne frapperont que sur l’ordre de Berlin. Au vu des évènements en Iraq, le Mufti remarque que jamais l’Allemagne n’a incité les Arabes à attaquer dans cette région l’Angleterre, mais qu’eux-mêmes n’ont fait que réagir à une agression directe de l’Angleterre contre leur honneur. Les Turcs, estime-t-il, accueilleront favorablement l’établissement d’un gouvernement arabe dans des territoires voisins, parce qu’ils préfèrent avoir dans leur voisinage des gouvernements arabes faibles plutôt que des gouvernements européens forts. Étant une nation de 7 millions d’habitants, ils n’ont d’autant plus rien à craindre des 1,7 millions d’arabes résidant en Syrie, en Transjordanie, en Iraq et en Palestine. De même, la France n’a pas d’objection à ce plan d’unification, puisqu’elle a concédé à la Syrie son indépendance en 1936, et a donné son approbation à l’unification de l’Iraq et de la Syrie sous la couronne du roi Fayçal en 1933. Dans ces circonstances, le Mufti renouvelle sa requête d’une déclaration publique du Führer selon laquelle les Arabes ne doivent pas perdre l’espoir de constituer une force puissante dans la vie des nations. Avec un tel espoir dans le coeur, les Arabes, poursuit-il, consentiront à attendre. Ils ne sont pas pressés de voir la réalisation immédiate de leurs aspirations (à constituer une grande nation indépendante), et ils peuvent très bien attendre six mois ou un an. Mais s’ils n’étaient pas inspirés par un tel espoir au travers d’une telle déclaration, cela pourrait être interprété comme un succès pour les Anglais. Le Führer répond que l’attitude fondamentale de l’Allemagne sur ces questions, comme le Mufti l’a déjà déclaré, est claire. L’Allemagne soutient une guerre sans compromis contre les Juifs. Cela inclut naturellement une opposition active à un Foyer national juif en Palestine, qui ne serait rien d’autre que le centre, sous la forme d’un État, de l’exercice de l’influence destructrice des intérêts juifs. L’Allemagne est consciente que la revendication par les Juifs de leur rôle pionnier en Palestine dans le domaine économique est un mensonge. Le travail y est fait par les Arabes seuls, et non par les Juifs. L’Allemagne est déterminée, étape par étape, à appeler les nations européennes, l’une après l’autre, à résoudre le problème juif, et en temps voulu à adresser un appel similaire aux nations non-européennes. L’Allemagne est à présent engagée dans un combat pour la vie ou la mort avec deux citadelles du pouvoir juif : la Grande-Bretagne et la Russie soviétique. Il y a théoriquement une différence entre le capitalisme anglais et le communisme de la Russie soviétique, mais actuellement les Juifs dans ces deux pays poursuivent un but identique. C’est le combat décisif ; il se présente extérieurement comme un conflit entre l’Allemagne et l’Angleterre, mais idéologiquement, c’est un combat entre le nationalsocialisme et les Juifs. Cela va sans dire que l’Allemagne fournira une aide déterminée et pratique aux Arabes engagés dans le même combat, car les promesses non suivies d'effets sont inutiles dans une guerre dont l’alternative est la réussite ou la destruction (de l'Allemagne), et où les Juifs sont capables de mobiliser toute la puissance de l’Angleterre à leurs seules fins. L’aide aux Arabes doit être matérielle. Les seules marques de sympathie sont d’un faible secours dans un tel combat, et cela a été pleinement démontré par les événements en Iraq, où les circonstances n’ont pas permis de rendre pleinement effective une aide pratique. En dépit de tous nos témoignages de sympathie, l’aide allemande a été insuffisante, et l’Iraq a été vaincue par la puissance anglaise, qui est la protectrice des Juifs. Le Mufti se dit conscient que l’issue de cette guerre décidera aussi du destin du monde arabe. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Libres Propos 1urn:md5:5e0ad2ac977586eae2c85b67014a78db2011-11-28T18:30:00+00:002013-11-16T13:31:09+00:00balderHitler AdolfAllemagneFührerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Libres_Propos_1_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Libres Propos 1</strong><br />
Année : 1941<br />
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PREMIÈRE PARTIE A LA CONQUÊTE D'UN EMPIRE. Samedi 5 juillet 1941. Les peuples aryens et le peuple russe. - La poigne est une nécessité
pour dominer le Russe. - Appauvrissement du sous-sol. . Ce qui nous manque, c'est une vue d'ensemble quant à la volonté de vivre, quant à la façon de vivre des peuples. Il faut faire une différence entre le mouvement populaire fasciste et le mouvement populaire russe. Le mouvement fasciste est rentré spontanément dans les traditions de la société romaine. Le mouvement russe tend essentiellement à l'anarchie. D'instinct, le Russe ne va pas à une forme de société supérieure. Certains peuplés peuvent vivre de telle façon que chez eux l'ensemble des unités familiales ne forme pas un tout. Si la Russie a adopté malgré cela une forme d’État comparable à ce que nous
entendons par là en Occident, cela ne lui est en tout cas pas congénital. Il est vrai en un sens que tout produit de la culture humaine, que toute œuvre douée de beauté ne peuvent naître que sous l'effet de cette contrainte que nous appelons l'éducation. Les peuples aryens sont des peuples particulièrement actifs. Un homme comme Krümel travaille du matin au soir ; tel autre ne cesse de réfléchir. L'Italien, lui, est diligent comme une abeille. Aux yeux du Russe; le principal apport de la civilisation, c'est la vodka. Son idéal consiste à ne faire jamais que l'indispensable. Notre conception du travail (toujours plus de travail ! ) - il la subit comme une véritable malédiction. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Mon Combaturn:md5:751303283421562f60d757017c9749372011-11-28T18:30:00+00:002013-11-16T13:31:06+00:00balderHitler AdolfAllemagneEuropeFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Mon_Combat_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Mon Combat</strong><br />
Année : 1924<br />
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TOME PREMIER : Bilan. PRÉFACE Le 1er avril 1924, le Tribunal populaire de Munich ordonnait mon incarcération à Landsberg-am-Lech. Pour la première fois, après des années de travail incessant. J'avais ainsi la possibilité de m'adonner à un ouvrage que beaucoup me pressaient d'écrire et que je sentais moi-même opportun pour notre cause. Je me suis donc décidé dans ces deux volumes1, à exposer non seulement les buts de notre mouvement, mais encore sa genèse. Un tel ouvrage sera plus fécond qu'un traité purement doctrinaire. De plus, j'avais ainsi l'occasion de montrer ma propre formation, pour autant que cela est nécessaire à la compréhension du livre, et que cela peut servir à la destruction de la légende bâtie autour de ma personne par la presse juive. Je ne m'adresse pas ici à des étrangers, mais à ces partisans du mouvement, qui lui sont acquis de coeur et dont l'esprit cherche maintenant une explication plus approfondie. Je n'ignore point que c'est par la parole beaucoup plus que par des livres que l'on gagne les hommes: tous les grands mouvements que l'histoire a enregistrés ont dû beaucoup plus aux orateurs qu'aux écrivains. Il n'en est pas moins vrai qu'une doctrine ne peut sauvegarder son unité et son uniformité que si elle a été fixée par écrit, une fois pour toutes. Ces deux volumes seront les pierres que j'apporte à l'édifice commun. L' AUTEUR. Landsberg-am-Lech. Maison d'arrêt. <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Libres Propos 2urn:md5:6a19bf4afb1be30380514a798b05b22b2011-11-28T18:29:00+00:002013-11-16T13:31:02+00:00balderHitler AdolfAllemagneFührerHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Hitler_Adolf_-_Libres_Propos_2_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hitler Adolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Libres Propos 2</strong><br />
Année : 1944<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Hitler_Adolf_-_Libres_Propos_2.zip">Hitler_Adolf_-_Libres_Propos_2.zip</a><br />
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24 mars 1942, pendant le diner. Informations à la disposition de l'ennemi. - Meilleure utilisation des hommes dans la Wehrmacht. - Protection de la propriété privée.- Limites de la propriété individuelle. - Les droits de l'Etat. - Moralité des loteries et des jeux de hasard. - Monopole de l'énergie industrielle. - Les Intérêts cap1talistes. Malgré leur propension à critiquer tout ce que nous faisons, les démocraties ne manquent pas une occasion de nous imiter quand nous prenons des mesures qui ont pour but de simplifier notre organisation. C'est pourquoi il conviendra dorénavant de ne plus faire état dans la presse de nos innovations dans ce domaine, car en agissant ainsi nous mettons ces informations à la disposition des nations ennemies et leur permettons de tirer profit de nos propres expériences. Même dans cet ordre de réalités, le silence est aujourd'hui de rigueur. En ce qui concerne l'utilisation des hommes, le général Jodl constate qu'il y a une nette amélioration dans la Wehrmacht si on la compare à l'armée de la première guerre mondiale - où l'on transformait un pêcheur en chasseur alpin et un boucher en employé de bureau, sous prétexte de former le soldat. Aujourd'hui, l'on s'efforce au contraire d'utiliser chacun en fonction de ses talents, pour le plus grand profit de la communauté. <strong>...</strong></p>