Balder Ex-Libris - Maury AlfredReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearMaury Alfred - Le symbolisme des animaux au moyen âgeurn:md5:9426f02ffb8ddd043577c995ba88f30c2018-05-14T20:11:00+01:002018-05-14T21:12:53+01:00balderMaury AlfredChristConspiracySymboliqueUFOUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Maury_Alfred_-_Le_symbolisme_des_animaux_au_moyen_age.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Maury Alfred</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le symbolisme des animaux au moyen âge</strong><br />
Année : *<br />
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Le serpent. De tous les symboles que le christianisme a adoptés, il n’en est certainement aucun qui remonte à une plus haute antiquité que celui du serpent. Le plus ancien des livres sacrés des Hébreux adopte, dès ses premières pages, la forme du reptile, pour en revêtir le génie du mal, lorsqu’il tente Ève. C’était très probablement en Égypte, qui le tenait à son tour de l’Inde et de la Perse, que Moïse avait puisé cet emblème de la ruse, de l’insinuation et de la perfidie. En effet, nous voyons les Égyptiens peindre sous la figure du serpent, Apophis, la divinité malfaisante, l’adversaire d’Horus. Celui-ci était représenté perçant Apophis d’une lance, comme on vit plus tard les chrétiens montrer saint Michel triomphant du dragon infernal. Dans la religion indienne, le serpent Secha ou Vasouki, l’arbre Calpavrikcham, jouent le même rôle que le serpent tentateur et l’arbre de la science du bien et du mal, dans la genèse. Crichna, l’incarnation de la seconde personne de la trinité hindoue, tua le serpent Caliya, idée qui rappelle trait pour trait celle de Jésus-Christ venant mettre fin au règne du démon ou du serpent. Garuda est placé à l’entrée de l’Éden hindou, dont il défend l’accès aux serpents. En général le serpent se lie au culte de Çiva, le principe destructeur de la Trimourti, le Satan indien. En Perse, Ahriman, le dieu rival d’Ormuzd, la cause du péché du premier homme, celui qui a introduit le mal dans le monde, était regardé comme ayant la figure d’un serpent ; c’était, sous la forme d’une couleuvre, qu’il avait sauté du ciel sur la terre et les dews ses sujets étaient autant de serpents gardiens de l’or. <strong>...</strong></p>Maury Alfred - La magie et l'astrologie dans l’antiquité et au moyen âgeurn:md5:c8da34f4a09678f47d815c293e1ddbb92017-08-01T00:09:00+01:002018-04-14T19:57:13+01:00balderMaury AlfredAstrologieGermanyJewMagieRacialismReligionRevisionismThird Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Maury_Alfred_-_La_magie_et_l_astrologie_dans_l_antiquite_et_au_moyen_age.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Maury Alfred</strong><br />
Ouvrage : <strong>La magie et l'astrologie dans l’antiquité et au moyen âge</strong><br />
Année : *<br />
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Introduction. Les sciences physiques n’étaient à l’origine qu’un amas de superstitions et de procédés empiriques qui constituaient ce que nous appelons la magie. L’homme avait si bien conscience de l’empire qu’il était appelé à exercer sur les forces de la nature que, dès qu’il se mit en rapport avec elles, ce fut pour essayer de les assujettir à sa volonté. Mais au lieu d’étudier les phénomènes, afin d’en saisir les lois et de les appliquer à ses besoins, il s’imagina pouvoir, à l’aide de pratiques particulières et de formules sacramentelles, contraindre les agents physiques d’obéir à ses désirs et à ses projets. Tel est le caractère fondamental de la magie. Cette science avait pour but d’enchaîner à l’homme les forces de la nature et de mettre en notre pouvoir l’oeuvre de Dieu. Une pareille prétention tenait à la notion que l’antiquité s’était faite des phénomènes de l’univers. Elle ne se les représentait pas comme la conséquence de lois immuables et nécessaires, toujours actives et toujours calculables ; elle les faisait dépendre de la volonté arbitraire et mobile d’esprits ou de divinités dont elle substituait l’action à celle des agents mêmes. Dès lors, pour soumettre la nature, il fallait arriver à contraindre ces divinités ou ces esprits à l’accomplissement de ses voeux. Ce que la religion croyait pouvoir obtenir par des supplications et des prières, la magie tentait de le faire par des charmes, des formules et des conjurations. Le dieu tombait sous l’empire du magicien ; il devenait son esclave, et, maître de ses secrets, l’enchanteur pouvait à son gré bouleverser l’univers et en contrarier les lois. A mesure que les sciences se dégagèrent des langes de la superstition et de la chimère, la magie vit son domaine se resserrer de plus en plus. Elle avait d’abord envahi toutes les sciences, ou, pour mieux dire, elle en tenait complètement lieu : astronomie, physique, médecine, chimie, écriture même et poésie, tout, dans le principe, était placé sous sa tyrannie. La connaissance des lois naturelles, révélée par l’observation, montra tout ce qu’il y avait de stérile et d’absurde dans les pratiques auxquelles elle recourait. Chassée d’abord de la science des phénomènes célestes, elle se réfugia dans celle des actions physiques. Puis, expulsée de nouveau, par l’expérience, du monde matériel et terrestre, elle se retira dans les actions physiologiques et psychologiques, dont les lois plus obscures se laissaient moins facilement pénétrer ; elle s’y fortifia, et continue d’y résister encore. <strong>...</strong></p>Maury Alfred - Les fées au moyen âgeurn:md5:c02e050fb8c00d53f62f2426229edb882017-06-26T02:31:00+01:002018-04-14T20:00:17+01:00balderMaury AlfredEuropeFirst World WarMythologieSecond World War <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Maury_Alfred_-_Les_fees_au_moyen_age.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Maury Alfred</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les fées au moyen âge Suivi de Notice de folklore et d'histoire</strong><br />
Année : 1843<br />
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Chapitre 1 : Les Parques et les déesses-mères. Le sentiment religieux s’éveille, chez tous les hommes, en présence du spectacle imposant de la nature ; mais suivant la physionomie de celle-ci, il prend un caractère différent et s’attache à des objets divers. Sous le ciel bruineux et triste de la Celtique ou de la Germanie, l’esprit n’est point affecté des mêmes impressions que sous le soleil brûlant de l’Afrique, ou sous l’atmosphère molle et vaporeuse de la Toscane. Devant les granits sévères de l’Armorique que la mer vient souvent ronger de ses flots écumeux, à l’entrée de ces forêts ténébreuses et profondes, telles que l’Erzgebirge ou les Ardennes, le long de ces fleuves majestueux aux bords romantiques et solitaires, comme le Rhin ou la Loire, au milieu de ces landes stériles, de ces immenses bruyères, de ces dunes mobiles de l’Aquitaine ou de la Domnonée, l’imagination est saisie d’une pensée grave et rêveuse ; elle ne s’allume pas d’un enthousiasme soudain ; elle ne se berce pas d’idées voluptueuses et riantes, comme elle le fait en face des scènes grandioses de l’Inde ou de l’Égypte, des vallées fraîches et fleuries de la Thessalie, des jardins magnifiques de la Perse. La pensée religieuse semble grandir avec la végétation, avec la force vitale d’expansion qui nous entoure. On pourrait la comparer à cette herbe modeste et humble de taille qui parcourt en un an le cercle de ses destinées, mais qui, transportée sous un climat plus actif, sous l’influence d’agents atmosphériques plus énergiques, s’élance fièrement en arbuste ligneux et se transforme même en un arbre d’une majestueuse prospérité ! L’étude des religions met tous les jours en lumière ces oppositions dans le caractère des croyances de chaque peuple, nées de la dissemblance des contrées qu’ils habitent. Qu’il y a loin de ce Dieu si vaste et si incompréhensible des Hindous, de ce Brahma, qui se cache dans des profondeurs insondables pour l’intelligence humaine, à ce Dieu informe du Kamtschadal, dont la figure est un pieu grossièrement taillé, planté près du foyer d’une yourte misérable ! <strong>...</strong></p>