Balder Ex-Libris - Sitchin ZechariaReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearSitchin Zecharia - Code cosmosurn:md5:687241b9913b771be2274e8167c0592c2018-02-05T01:08:00+00:002018-04-14T19:47:33+01:00balderSitchin ZechariaAmericaBolchevikCivilisationsCommunismConspiracyEugenicsEuropeGermanyJewMusicRacialismSeconde guerre mondialeSumerThird ReichUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Sitchin_Zecharia_-_Code_cosmos.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>Code cosmos Des clès de la bible a l'ADN, les secrets de la naissance humaine</strong><br />
Année : 1998<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook3/Sitchin_Zecharia_-_Code_cosmos.zip">Sitchin_Zecharia_-_Code_cosmos.zip</a><br />
<br />
Chapitre 1. Les pierres de l’Étoile. l aura fallu une guerre - féroce, sanglante - pour attirer l’attention, il y a tout juste quelques décennies, sur l’un des sites antiques les plus énigmatiques du Proche-Orient. Le plus énigmatique, sans doute pas. Mais le plus inexplicable, ça, oui. Et bien sûr l’un de ceux qui restent ancrés dans la haute Antiquité. Il s’agit d’une structure sans équivalent parmi les ruines des grandes civilisations qui fleurirent au Proche- Orient au fil des millénaires passés – du moins parmi celles qui furent découvertes. Les structures qui lui ressemblent le plus reposent à des milliers de kilomètres de là, au-delà des mers, sur d’autres continents. Et celle à laquelle on songe le plus immédiatement, c’est Stonehenge dans la lointaine Grande-Bretagne. Là où, dans une plaine battue par les vents d’Angleterre, à quelque cent trente kilomètres au sud-ouest de Londres, des cercles d’imposants mégalithes dessinent le monument préhistorique le plus important de tout le pays. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - Guerres des dieux Guerres des hommesurn:md5:08675e9d594db229295f0880a6d259d52016-07-27T09:00:00+01:002016-07-27T08:01:07+01:00balderSitchin ZechariaAfricaAmericaMythologieOVNIReptilienSlaverySumer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Sitchin_Zecharia_-_Guerres_des_dieux_Guerres_des_hommes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>Guerres des dieux Guerres des hommes Les surprenantes origines de l’humanité et des « dieux » qui détruisirent la première civilisation</strong><br />
Année : 1990<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Sitchin_Zecharia_-_Guerres_des_dieux_Guerres_des_hommes.zip">Sitchin_Zecharia_-_Guerres_des_dieux_Guerres_des_hommes.zip</a><br />
<br />
Avant-propos. ien avant que les hommes ne se combattent entre eux, les dieux se sont entredéchirés. À telle enseigne que c’est au nom des conflits divins que commencèrent les guerres des hommes. Et ces conflits entre dieux pour la suprématie sur cette planète, la Terre, ne furent que la poursuite des rivalités qui existaient entre eux sur leur propre planète. Alors, la première civilisation humaine sombra dans un holocauste nucléaire. J’évoque ici des faits. Non de l’imaginaire. Des faits transcrits dans leur déroulement il y a très, très longtemps – au fil des Chroniques terriennes. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - Le livre perdu du dieu Enkiurn:md5:399e12f0e799e292bc1e5d8210698f362014-05-06T23:32:00+01:002014-05-06T23:32:00+01:00balderSitchin ZechariaArchéoastronomieHistoire InterditeJewMagicNibiruOVNISatanismSumer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Sitchin_Zecharia_-_Le_livre_perdu_du_dieu_Enki.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le livre perdu du dieu Enki Mémoires et prophéties d'un dieu extraterrestre</strong><br />
Année : 2002<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Sitchin_Zecharia_-_Le_livre_perdu_du_dieu_Enki.zip">Sitchin_Zecharia_-_Le_livre_perdu_du_dieu_Enki.zip</a><br />
<br />
Introduction. Il y a près de 445 000 ans, des astronautes venus d’une autre planète sont arrivés sur Terre à la recherche d’or. S’écrasant dans l’une des mers de la Terre, ils regagnèrent la rive à pied et fondèrent Eridu, la « Maison construite au lointain ». Le camp initial se développa rapidement pour devenir une véritable Mission Terre, avec un centre de contrôle, un Spatioport, des exploitations minières et jusqu’à une station étape sur Mars. Confrontés à un manque de main-d’oeuvre, les astronautes eurent recours à des manipulations génétiques pour créer des Travailleurs Primitifs: l’Homo sapiens. Le déluge avait balayé la surface de la Terre, il leur fallait prendre un nouveau départ. Les astronautes devinrent des dieux, apportant à l’Humanité la civilisation, leur apprenant à prier. Puis, il y a environ quatre mille ans, tous ces progrès furent engloutis dans une catastrophe nucléaire provoquée par les rivalités et les guerres entre les visiteurs. Ce qui s’est produit sur Terre, et en particulier les événements qui ont suivi l’apparition de l’être humain, a été relaté par Zecharia Sitchin dans la série des Chroniques de la Terre. L’auteur s’appuie sur la Bible, les tablettes d’argiles, les mythes anciens et les découvertes archéologiques. Mais ce qui a précédé les événements qui se sont déroulés sur Terre, ce qui s’est déroulé sur Nibiru, la planète des astronautes, et a motivé leur voyage interstellaire, le besoin d’or, la création de l’homme? Quelles émotions, rivalités, croyances, moralité (ou manque de moralité) ont motivé les principaux acteurs de cette saga céleste et spatiale? Quelles relations ont généré des tensions grandissantes sur Nibiru et sur Terre? Quelles tensions sont apparues entre anciens et plus jeunes, entre ceux qui sont venus de Nibiru et ceux qui sont nés sur Terre? Et dans quelle mesure ce qui s’est produit était écrit par la Destinée, un destin dont le passé renferme les clés du futur? Ne serait-il pas prometteur que l’un des principaux acteurs, un témoin visuel capable de faire la différence entre le Sort et le Destin, ait écrit pour la postérité le Comment du Pourquoi et le Où du Quand, les Débuts et peut-être la Fin? C’est précisément ce que certains d’entre eux ont fait, à commencer par le meneur du premier groupe d’astronautes lui-même. Spécialistes et théologiens admettent maintenant que les récits bibliques de la Création, d’Adam et Ève, du Déluge et de la Tour de Babel se sont inspirés de textes écrits des milliers d’années plus tôt en Mésopotamie, en particulier par les Sumériens. Ces écrits affirmaient à leur tour tirer leur connaissance d’événements passés (dont certains avaient eu lieu avant l’apparition de la civilisation) et des écrits des Anunnakis (« Ceux qui des cieux vinrent sur Terre »): les « dieux » de l’Antiquité. Un siècle et demi de découvertes archéologiques dans les ruines des civilisations de l’Antiquité a permis de mettre au jour un grand nombre de ces textes, en particulier au Proche-Orient. Les découvertes ont également permis de mesurer l’étendue des textes manquants (les « écrits perdus »), qu’ils soient cités ou suggérés dans les textes trouvés, ou que leur existence passée ait été cataloguée dans les bibliothèques royales ou sacrées. Les « secrets des dieux » étaient parfois révélés en partie dans les épopées. C’est le cas de l’Épopée de Gilgamesh, qui révèle le débat entre les dieux ayant mené à la décision de laisser périr l’Humanité dans le déluge, ou d’un texte intitulé Atra Hasis, qui relate comment la mutinerie des Anunnakis qui peinaient dans les mines mena à la création des travailleurs primitifs, c’est-à-dire les Terriens. De temps à autre, les meneurs des astronautes eux-mêmes rédigèrent des textes, les dictant parfois à un scribe élu. C’est le cas du texte connu sous le nom d’Erra Epos, dans lequel l’un des deux dieux à l’origine de la catastrophe nucléaire essaie de rejeter la responsabilité sur son adversaire. Parfois, c’est le dieu lui-même qui tient le stylet, comme dans le Livre des secrets de Thot (dieu égyptien de la sagesse), que le dieu a rédigé dans le secret d’une chambre souterraine. Lorsque le seigneur-dieu Yahvé, selon la Bible, offre les Dix Commandements à Son peuple élu, Il grave de Sa propre main deux tablettes de pierre qu’Il confie à Moïse sur le mont Sinaï. Moïse détruit le premier jeu de tablettes en réaction à l’incident du veau d’or, puis grave lui-même de nouvelles tablettes recto verso pour les remplacer. Il passe quarante jours et de quarante nuits sur le mont Sinaï à graver les mots du Seigneur. Sans un récit sur le Livre des secrets de Thot, écrit sur un papyrus datant du règne du roi égyptien Khufu (Chéops), l’existence de ce livre serait restée inconnue. Sans les récits bibliques de l’Exode et du Deutéronome, nous n’aurions jamais entendu parler des tablettes divines et de leur contenu. Tout cela aurait été relégué au rang des énigmatiques « écrits perdus » dont l’existence même ne nous aurait jamais été connue. Il arrive que nous sachions que certains textes ont existé sans pour autant connaître leur contenu, ce qui n’est pas moins frustrant. C’est le cas du Livre des guerres de Yahvé et du Livre de Jasher (« Livre de la justice »), qui sont spécifiquement mentionnés dans la Bible. L’existence de deux livres anciens (textes antérieurs connus du narrateur biblique) peut être déduite dans au moins deux cas. Le chapitre cinq de la Genèse commence par l’affirmation suivante: « Voici le livret du Toledoth d’Adam. » Le terme Toledoth est en général traduit par « descendance », mais pour être plus précis, il signifie en réalité « compte rendu historique ou généalogique ». L’autre cas est celui du chapitre six de la Genèse, lorsque le récit concernant Noé et le Déluge commence par les mots « Voici le Toledoth de Noé ». Il s’avère que des fragments d’un ouvrage connu sous le nom de Livre d’Adam et Ève ont traversé les millénaires sous leur version arménienne, slavonique, syriaque ou éthiopique. Le Livre d’Enoch (l’un des apocryphes qui n’ont pas été inclus dans la Bible canonisée) contient des passages qui, selon les chercheurs, seraient des fragments tirés d’un Livre de Noé bien plus ancien. L’exemple de la célèbre bibliothèque d’Alexandrie, en Égypte, est souvent cité pour illustrer l’ampleur des livres perdus. Fondée par le général Ptolémée après la mort d’Alexandre en 323 av. J.-C., elle est réputée avoir contenu plus de cinq cent mille « volumes » écrits sur toutes sortes de supports (argile, pierre, papyrus, parchemin). La grande bibliothèque où les érudits se rassemblaient pour étudier les connaissances accumulées a brûlé et fut détruite au cours des guerres qui ont fait rage entre 48 av. J.-C. et la conquête par les Arabes, en 642 apr. J.-C. De ses trésors, il ne nous reste qu’une traduction des cinq premiers livres de la Bible hébraïque en grec et quelques fragments qui ont survécu dans les écrits de certains chercheurs attitrés de la bibliothèque. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - La fin des tempsurn:md5:e5fa9693edf2b0eddb5f6562a335cc482013-09-30T00:51:00+01:002013-09-30T00:51:00+01:00balderSitchin ZechariaAllemagneCivilisationsFührerHébraïsmeLes chroniques de la TerreNibiruReptilienSumerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Sitchin_Zecharia_-_La_fin_des_temps_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>La fin des temps Les prophéties du retour</strong><br />
Année : 2007<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Sitchin_Zecharia_-_La_fin_des_temps.zip">Sitchin_Zecharia_-_La_fin_des_temps.zip</a><br />
<br />
Préface. PASSÉ, FUTUR. « Quand reviendront-ils ? ». Combien de fois les lecteurs de mes livres m’ont-ils posé cette question ? D’innombrables… « Ils », ce sont les Anunnaki, ces extraterrestres venus sur Terre depuis leur planète Nibiru, et vénérés comme des dieux depuis l’Antiquité. Quand reviendront-ils ? Sera-ce lorsque Nibiru, au fil de son orbite allongée, reviendra dans le voisinage de notre planète ? Et dès lors, qu’adviendra-til ? Les ténèbres tueront-elles le jour, la Terre volera-telle en éclats ? Sera-ce la paix, sera-ce Armageddon ? Un millénaire de souffrances ou la seconde venue du Messie? L’événement aura-t-il lieu en 2012 ? Plus tard ? Jamais? Autant de questions fondamentales qui mêlent les plus grands espoirs et les plus grandes peurs aux croyances religieuses et aux espérances, sur fond d’événements du quotidien : les guerres sur des territoires qui virent la naissance des relations entre les dieux et les hommes ; les menaces d’holocaustes nucléaires ; les désastres naturels impitoyables qui s’annoncent. Ces questions, j’ai fait en sorte de ne pas y répondre tout au long de ces années. Désormais, les réponses à apporter ne peuvent – ne doivent – plus attendre. Les interrogations sur la parousie, soyons-en conscients, n’ont rien de nouveau. Elles ont été par le passé, et c’est encore le cas aujourd’hui, indissociablement liées à l’espérance teintée de crainte du jour du Seigneur, de la fin des temps, d’Armageddon. Il y a quatre mille ans, au Proche-Orient, l’on porta témoignage d’un dieu et de son fils porteurs des promesses du paradis sur terre. Il y a plus de trois mille ans, le roi et le peuple égyptiens se mirent à espérer les temps messianiques. Il y a deux mille ans, le peuple de Judée se demanda si le Messie s’en était venu. Et nous voilà dans la transe des mystères de ces événements. Les prophéties sont-elles en train de se réaliser ? Nous allons nous confronter aux questions irrésolues, éclairer d’anciennes énigmes, déchiffrer l’origine et la signification de symboles : la croix, les poissons, le calice. Nous décrirons le rôle tenu par des sites en connexion avec le cosmos au détour de hauts faits de l’histoire, et montrerons pourquoi passé, présent, futur mènent à Jérusalem, le carrefour du « lien entre le Ciel et la Terre ». Puis nous méditerons sur le pourquoi de la similitude qui relie le XXIe siècle de notre ère au XXIe siècle avant Jésus-Christ. L’histoire se répète-t-elle ? Est-il écrit qu’elle doive se répéter ? Une horloge messianique en fixe-t-elle le cours ? Le temps est-il venu? Voilà plus de deux mille ans que le Daniel de renommée vétérotestamentaire harcelait les anges par sa question : Quand ? Quand s’en viendra la fin des jours, la fin du système de choses ? À plus de trois siècles de nous, le bien connu Sir Isaac Newton, découvreur des secrets des mouvements célestes, composa des traités sur le livre de Daniel de l’Ancien Testament et sur le livre de l’Apocalypse du Nouveau Testament. L’on a récemment retrouvé ses calculs, tracés à la main, relatifs à la fin des temps : nous les analyserons. Et avec eux, de récentes prédictions eschatologiques1. La Bible hébraïque et le Nouveau Testament affirment tous deux que les secrets du futur se cachent dans le passé, que la finalité de la Terre est liée au Ciel, que les affaires et la destinée des hommes sont indissociables de Dieu et des dieux. À nous frotter à ce qui va advenir, nous remontons de l’histoire à la prédiction : impossible de comprendre l’une sans l’autre, nous rendrons compte des deux. Armés de cette résolution pour guide, examinons ce qui est de l’ordre du devenir à travers la loupe de ce qui fut. Une certitude : les réponses vont se révéler surprenantes. Zecharia Sitchin. New York, novembre 2006. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - Quand les géants dominaient sur Terreurn:md5:42d875b1c686b38651c844c95e9cbffc2013-09-28T20:02:00+01:002013-09-28T19:09:23+01:00balderSitchin ZechariaAllemagneArchéoastronomieArchéologieCosmogenèseEuropeFührerNibiruOVNISumerTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Sitchin_Zecharia_-_Quand_les_geants_dominaient_sur_Terre_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>Quand les géants dominaient sur Terre Dieux, demi-dieux et ancêtres de l'homme : la preuve de notre ADN extraterrestre</strong><br />
Année : 2010<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Sitchin_Zecharia_-_Quand_les_geants_dominaient_sur_Terre.zip">Sitchin_Zecharia_-_Quand_les_geants_dominaient_sur_Terre.zip</a><br />
<br />
Introduction. En ces jours-là… Et il arriva lorsque les hommes commencèrent à se multiplier sur la face de la Terre et que des filles leur furent nées, que les fils de Dieu virent les filles des hommes, qu’elles étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qu’ils choisirent. Il y avait des géants sur la terre en ces jours-là,et aussi après cela lorsque les fils de Dieu vinrent vers les filles des hommes, et elles leur enfantèrent des enfants ; ceux-ci devinrent des hommes puissants qui de tout temps étaient des gens de renom1. Le lecteur tant soit peu familier de la Bible en sa version anglaise du Roi Jacques reconnaîtra ces versets du livre 6 de la Genèse, prélude aux récits du Déluge, la grande montée des eaux au cours de laquelle Noé, confiné dans une arche, fut sauvé, avec mission de repeupler la terre. Ce même lecteur tant soit peu familier de mes écrits reconnaîtra aussi en ces versets la raison qui avait poussé cet élève, il y a bien des décennies, à demander à son professeur pourquoi l’on avait traduit le sujet de la phrase, Nephilim, par « géants ». Or, Nephilim est forgé sur la racine du verbe hébreu NaFol, s’effondrer, être jeté à bas, chuter : en aucun cas il ne fait allusion à « géants ». Ce jeune questionneur, c’était moi, bien sûr. Je m’attendais à des félicitations pour ma perspicacité linguistique. Je fus vertement remis à ma place. « Assis, Sitchin, siffla l’enseignant en contenant son irritation, on n’interroge pas la Bible ! » Je fus cruellement blessé, ce jour-là. Je n’interrogeais pas la Bible – tout au contraire, je manifestais mon besoin de la comprendre avec précision. Cet incident fit basculer ma vie. Je partis en quête des Nephilim. Qui furent-ils ? Qui furent leurs descendants « de renom » ? La recherche de réponses passa par un questionnement linguistique. Le texte hébreu ne fait pas mention d’« hommes » qui se multiplièrent, mais d’Ha’Adam – l’Adam –, terme générique, celui d’une espèce. Il ne parle pas de fils de « Dieu », mais emploie l’expression Bnei Ha-Elohim – les fils des Elohim, terme pluriel pour « dieux » mais dont la traduction littérale donne « Les Élevés » (ou les Nobles, les Imposants). Les « filles de l’espèce Adam » n’étaient pas « belles », elles étaient Tovoth, c’est-à-dire « bonnes pour… » au sens de « compatibles ». Inévitablement, nous voilà confrontés aux origines. Comment l’humanité advint-elle sur cette planète, et de qui provient le code génétique que nous portons ? En trois versets et quelques mots – exactement quarante-neuf dans la version hébraïque de la Genèse – la Bible décrit la création du Ciel et de la Terre, puis consigne la réalité de la préhistoire d’une humanité originelle, avec une série d’événements extraordinaires, dont un Déluge universel, la présence sur terre de dieux et de leurs fils, des mariages interespèces qui donnent naissance à des demi-dieux… C’est ainsi qu’en partant d’un mot (Nephilim), je finis par raconter l’histoire des Anunnaki, « Ceux qui du Ciel sur la Terre vinrent » – voyageurs de l’espace et colonisateurs interplanétaires venus depuis leur planète menacée jusque sur Terre en quête de l’or dont a besoin son écosystème, pour finir par façonner l’Adam à leur image. Je les ai ainsi fait revivre – j’ai reconnu chacun d’eux pour ce qu’il était, révélé leurs relations compliquées, décrit leurs travaux, leurs amours, leurs ambitions et leurs guerres – et identifié le fruit de leurs unions interespèces, les « demi-dieux ». On m’a parfois demandé où mes pistes de recherche auraient bien pu me conduire si le professeur, au lieu de me tancer, m’avait complimenté. C’est une tout autre question que je me suis posée : quelles seraient les conséquences de la réalité factuelle de cette affirmation, « Il y avait des géants sur la terre en ces jours-là, et aussi après cela » ? Les implications culturelles, scientifiques, religieuses en seraient terribles ; elles conduiraient forcément aux questions incontournables : pourquoi les compilateurs de la Bible hébraïque, totalement vouée au monothéisme, ont-ils inclus une telle « bombe », ces versets consacrés à la haute mémoire préhistorique ? – et leurs sources, dès lors, quelles furent-elles ? Je crois détenir la réponse. Parce que j’ai déchiffré l’énigme des demi-dieux (auxquels appartient Gilgamesh), je peux conclure dans ce livre-ci – le couronnement de mon oeuvre2 : la preuve physique incontestable de la présence extraterrestre dans le lointain passé a été ensevelie dans une très ancienne tombe sous la forme d’un récit. Ce qu’il implique de nos origines génétiques est immense : il est la clé des secrets du bien-être, de la longévité, de la vie, de la mort ; un mystère dont la levée va entraîner le lecteur dans une aventure à nulle autre pareille ; et au final, lui révéler ce qui demeura tu depuis Adam dans le jardin d’Éden. Zecharia Sitchin. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - Cosmo Genèseurn:md5:9b79308a984eeeee680211bf62918e322013-03-06T23:49:00+00:002013-03-07T00:03:58+00:00balderSitchin ZechariaArchéologieCosmogenèseMythologyNibiruOVNISumer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Sitchin_Zecharia_-_Cosmo_Genese_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>Cosmo Genèse Genesis Revisited Les preuves scientifiques de l'existence de la planète cachée à l'origine de l'humanité</strong><br />
Année : 1990<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Sitchin_Zecharia_-_Cosmo_Genese.zip">Sitchin_Zecharia_-_Cosmo_Genese.zip</a><br />
<br />
Préface. Par le traducteur de Zecharia Sitchin. Le tout premier livre de Zecharia Sitchin, La 12e Planète, est paru en 1976 aux États-Unis. Il a rencontré immédiatement un prodigieux succès : pour la première fois, un spécialiste des récits mythologiques mésopotamiens, capable de vérifier les textes à la source, osait y voir davantage que le fruit d'un imaginaire débridé. Pour Sitchin, il était impossible que les scribes sur argile de ces épopées bibliques avant la lettre n'aient pas été inspirés par une forte tradition orale fondée sur... des événements réels. Dans les années qui suivent la publication de La 12e Planète, ce sont plus de vingt traductions de par le monde qui révèlent à un public fasciné cette autre vision de l'histoire de l'humanité. Celle que racontent, sans détour, les histoires des dieux et des hommes. Zecharia Sitchin, dès lors, se consacre entièrement à l' approfondissement de ses travaux et publie, en plus de trente années, pas moins de quinze ouvrages, tous élaborés autour de son idée forte : l'homme n'est pas le fruit d'une évolution « naturelle », de type darwinien. Non qu'il nie l'évolution. Simplement, suggèrent les mythologies de Sumer, cette évolution-ci fut pour le moins « génétiquement modifiée » par plus savant que nos modernes tripatouilleurs de gènes... Les livres de Zecharia Sitchin sont désormais diffusés à plusieurs millions d'exemplaires. De son vivant, le chercheur autodidacte a multiplié les conférences, les débats télévisés. II a même emmené de par le monde des groupes de lecteurs sur les grands sites du drame humain. Sitchin fut prophète en son pays. Et sa notoriété gagna - presque - le monde entier. Car curieusement, la France est restée longtemps le seul pays à ne pas traduire son œuvre. En 1988, un éditeur, au nom, hélas, prédestiné puisqu'il va disparaître presque immédiatement, Souffles, s'enthousiasme pour La 1 Z Planète et en assure la première traduction. Pendant plusieurs semaines, le titre reste sur la liste des meilleures ventes. Mais il faudra attendre plus de dix ans pour que Sitchin, et à échelle modeste, commence à devenir accessible à un public francophone2. Le livre que vous prenez en mains figure parmi les démonstrations dés du chercheur américain. En synthétisant l'essentiel des découvertes véhiculées dans La 12e Planète, il offre à un public nouveau de se familiariser avec l'essentiel de sa lecture des épopées sumériennes, tour en plongeant dans les découvertes scientifiques contemporaines qui corroborent une incroyable réalité. Un astronome du XXIe siècle confirme scientifiquement des écrits du VIe siècle avant Jésus-Christ. J'ai rencontré une première fois Zecharia Sitchin en 1990, à New York. Sa 12e Planète m'avait, non pas convaincu à cent pour cent (comment le journaliste que je suis aurait pu, sans complément d'enquête, adopter un point de vue aussi radical ?), mais en tout cas intrigué. Suffisamment pour que je veuille parler à ce chercheur cosmopolite hors norme, né dans un État de l'ex-Union soviétique, l'Azerbaïdjan, élevé en Palestine, étudiant en Grande-Bretagne puis journaliste et écrivain aux États-Unis... Notre premier entretien m'avait surpris. Sitchin, de son anglais parfait roulant les « r », s'était surtout attaché à montrer au journaliste français comment « vendre » un article sur son œuvre aux divers magazines : insister sur le rôle des déesses et la procréation pour les journaux féminins, aborder le thème de la protection de l'atmosphère de la « planète cachée » dans les magazines scientifiques et écologistes, bref travailler l'« angle». Pourquoi s'en étonner ? Aux États-Unis, un auteur, un chercheur, est en soi un chef d'entreprise, la sienne. Quoi de plus normal qu'il optimise, cible, promeuve l’œuvre d'une vie? Quelques années plus tard, notre second entretien scella une promesse : celle de faire connaître au public français les preuves sans cesse enrichies de l'existence d'une planète géante, au sein du système solaire, encore invisible aux yeux des astrophysiciens. J'avais une certitude : la thèse était scientifiquement plausible. Pourtant, les éditeurs français auxquels je présentais « l'impubliable Mister Sitchin » déclinaient l'offre : « Ça n'intéressera pas, la presse n'en voudra pas, un succès dans le monde entier ne préfigure pas un succès en France... » Chère exception française ! En février 2003, pourtant, le mensuel Science & Vie se demande « Combien de planètes dans notre système solaire ? » Aux neuf connues pourraient s'ajouter un, deux, plusieurs corps célestes selon la définition que l'on retiendra d'une planète (Pluton a bel et bien perdu son statut de planète en raison de sa taille - l'ex-minuscule dernière planète connue n'est sans doute qu'une« lune» échappée... ). Mais surtout, bon nombre d'astronomes opinent que le système « cache » une ou plusieurs planètes supplémentaires non encore repérées. Ils fondent leur hypothèse sur certaines perturbations inexplicables et une énigme astronomique, la « ceinture de Kuiper », myriade de petits corps glacés - des astéroïdes pour la plupart - en anneau autour du Soleil. « La ceinture de Kuiper semble s'arrêter brusquement à cinquante unités astronomiques, comme si elle était tronquée », constate l'astrophysicien Alessandro Morbidelli, de l'Observatoire de Nice-Côte d'Azur. Il soupçonnait alors une planète inconnue d'en être cause. Selon lui, il ne s'agit pas d'une énième planète tournant autour du Soleil à l'exemple des neuf connues dans le plan de l'écliptique:« (...) cette planète aurait pu être expulsée sur une orbite très allongée dont la période pourrait se compter en milliers d'années. » Pour la première fois, un scientifique reconnu corrobore non pas Sitchin, qui n'a rien inventé, mais bel et bien les scribes des récits mésopotamiens. Eux-mêmes simples et modestes « traducteurs » de récits bien plus anciens qui ont tranquillement transcrit, dans l'argile, en caractères cunéiformes, vers 4000 avant Jésus-Christ, l'existence d'une planète, Nibiru, orbitant selon une trajectoire cométaire allongée : très exactement la conclusion de Morbidelli ! Entre les surprenants scribes mésopotamiens et l'astrophysicien français, une seule divergence, à l'époque: la planète cachée pourrait être de la taille de Mars selon l'astrophysicien niçois, c'est une planète géante selon les récits sur tablettes. Curieusement, le même Morbidelli, sans doute morigéné par la « communauté » scientifique qui voit toujours d'un très mauvais œil que l'on échafaude des hypothèses trop éloignées du cadre consensuel, a dernièrement revu et corrigé « son » système solaire: il n'y fait plus mention d'une planète transplutonienne. Le jour du Seigneur... Il n'empêche que la théorie très étayée d'Alessandro Morbidelli constitua, à l'époque, pour Zecharia Sitchin un début de reconnaissance à nul autre pareil. Elle fit tomber le principal frein que les critiques ont jusqu'alors adressé à l'auteur des « Chroniques terriennes » : l'existence d'une planète orbitant sur une si longue période relevait pour eux de la spéculation hasardeuse. Plus maintenant. Les savants du très lointain passé, auteurs de récits dits mythologiques, ne peuvent plus passer pour des rêveurs imaginatifs si Morbidelli a raison... Dès lors, tout lecteur sans parti pris va regarder d'un autre oeil ce qu'affirment ces surprenants scribes d'un passé très lointain sur cette planète. Il va comprendre à quel point la Bible elle-même a puisé dans ce savoir pour décrire la cosmogenèse dans... la Genèse. Tour à tour historien, archéologue, linguiste et scientifique, Zecharia Sitchin s'est attaché au fil de cette synthèse de ses ouvrages précédents à rassembler tous les indices, grands et petits, qui donnent sens à sa thèse. Il fut bien sûr malmené, contredit, traîné dans la boue par des contempteurs qui lui auront essentiellement reproché ses interprétations « imaginatives » de textes dont ils affirment qu'ils n'en disent pas autant que le prétend Sitchin. Mais avant tout, « ils » ne lui ont jamais pardonné de n'être pas sorti de leurs écoles prestigieuses... En 2011, au moment même où j'achève la traduction de Quand des géants dominaient sur Terre, j'apprends la disparition de l'auteur des Chroniques terriennes. Si un jour, dans quelques centaines ou dizaines d'années, moins peut -être, un grand observatoire ou un astronome amateur découvre pour la première fois au bout de son télescope la « douzième planète », le monde entier va retenir son souffle. Des millions de lecteurs de par le monde se souviendront qu'un opiniâtre chercheur, aidé par le savoir inouï de savants des temps bibliques, avait affirmé cette planète habitée. Alors commencera l'attente. Celle d'une humanité à la rencontre de ses origines... OLIVIER MAGNAN. <strong>...</strong></p>Sitchin Zecharia - La douzième Planèteurn:md5:d9a7bb14c9db7c7b708740c9c39dd3202012-03-10T16:09:00+00:002013-12-26T10:34:09+00:00balderSitchin ZechariaIraqLes chroniques de la TerreNibiruReptilienSumer <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Sitchin_Zecharia_-_La_douzieme_Planete_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sitchin Zecharia</strong><br />
Ouvrage : <strong>La douzième Planète La surprenante et véritable Première Chronique de la Terre ! Les chroniques de la Terre 1</strong><br />
Année : 1976<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Sitchin_Zecharia_-_La_douzieme_Planete.zip">Sitchin_Zecharia_-_La_douzieme_Planete.zip</a><br />
<br />
Cette extraordinaire histoire, la nôtre depuis 500.000 ans, n'est pas de la science-fiction ! Aujourd'hui, elle révèle que des astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus et revenus sur Terre et ont fait chaque fois brusquement évoluer l'humanité. Une vision de Nostradamus du passé ? Non, Zecharia Sitchin est l'un des rares spécialistes capables de lire et de comprendre l'écriture cunéiforme et, en se basant sur les archives sumériennes d'il y a 6.000 ans, il déclare en 1976 : « Il y a une planète de plus dans notre système solaire ! ». En 1982, le satellite IRAS signale la course vers la Terre d'un large astre « inconnu jusqu'alors »... En 1988, les ordinateurs de la NASA calculent que son orbite passe entre Mars et Jupiter, exactement comme l'auteur l'avait déduit des documents astronomiques les plus anciens de notre planète. Qui étaient ces dieux d'antan qui dans leurs vaisseaux sillonnaient le Ciel et la Terre ? Ils firent l'Eden et Adam, furent amoureux des filles des hommes, protégèrent Noé, interdirent l'achèvement de la « Tour » de Babel, et enrichirent l'humanité de leurs mathématiques, de leur agriculture, de leurs lois, de leur organisation sociale et religieuse, et de l'histoire de leur vaisseau spatial principal : « LA DOUZIÈME PLANÈTE ». <strong>...</strong></p>