Balder Ex-Libris - Tag - KahalReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearRohling Auguste - Le Juif selon le Talmudurn:md5:00fa0cb4bd5e08a35d651ec614a697e52018-06-11T16:00:00+01:002021-11-21T23:41:54+00:00balderRohling AugusteEx-LibrisHébraïsmeKahalReligionTalmudZohar <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Rohling_Auguste_-_Le_Juif_selon_le_Talmud.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rohling Auguste</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Juif selon le Talmud</strong><br />
Année : 1889<br />
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Préface. Mon cher confrère, Vous avez eu une idée excellente en publiant une traduction nouvelle du célèbre ouvrage du Dr Rohling : Le Juif selon le Talmud. Aucun doute ne peut cette fois subsister sur l’authenticité des textes cités par l’auteur et les Juifs eux-mêmes ont renoncé, je crois, à épiloguer à ce sujet. Nous avons donc devant nous un document d’un prix inestimable qui nous permet de pénétrer en quelque façon dans l’âme même, ou plutôt dans le cerveau du Juif, de savoir exactement les sentiments qu’il éprouve vis‑à‑vis de nous, de connaître la conception qu’il a de toute chose au point de vue social, comme au point de vue moral. Pour tout esprit capable de réflexion cette étude éclaire d’une lumière éclatante les obscurités de l’époque actuelle, elle explique ce qui semblait incertain et confus, elle montre la logique secrète de faits que nous avions peine à comprendre. « Toutes les révolutions, a dit très justement Proudhon, sont des révolutions théologiques. » La crise générale au milieu de laquelle se débat le monde en ce moment se résume en un mot : la revanche du Talmud sur l’Évangile. Les grandes phrases sur la philosophie, les droits de l’homme, la régénération de l’humanité qui, pendant les premières années de ce siècle, ont servi au Juif comme de paravent pour opérer à son aise, ne trompent plus personne ; c’est un vieux décor de papier qui se déchire et s’en va en lambeaux… Le Juif apparaît en maître ; il ne prend plus même la peine de dissimuler cette maîtrise ; il tient tous les peuples par la finance, il modifie selon les intérêts de ses syndicats les lois du travail ; il a acheté tous les hommes d’État qui étaient à vendre et éloigné de tout emploi ceux qu’il ne pouvait corrompre. Il est omniprésent et omnipotent partout où il est présent, si puissant qu’on n’ose même plus l’attaquer… Vous vous souvenez de l’émotion qui saisit cette Chambre servile lorsque Laur eut le courage de désigner le chef des accapareurs par son nom et de flétrir publiquement Rothschild. Tous ces prétendus hommes libres qui outragent perpétuellement tout ce qui est digne de respect, tout ce qui représente la foi, l’idéal, le dévouement : le Christ, le Pape, les prêtres, les Soeurs de Charité, avaient des frissonnements de valets pris en faute à la pensée qu’on se permît d’attaquer un banquier de Francfort qui pour eux revêt un caractère sacro-saint. <strong>...</strong></p>Brenier Flavien - Les juifs et le Talmudurn:md5:8a1dfd80c66fd7e5ca01b7d38f45de1f2017-11-16T01:51:00+00:002021-12-13T00:42:59+00:00balderBrenier FlavienEx-LibrisFranceHébraïsmeKahalReligionSatanismeTalmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Brenier_Flavien_-_Les_juifs_et_le_Talmud.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brenier Flavien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les juifs et le Talmud Morale et principes sociaux des juifs d'après leur livre saint : le Talmud</strong><br />
Année : 1913<br />
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Avant-propos. Aucun problème ethnique ou religieux ne s’est posé, à travers l’Histoire, d’une manière plus générale, plus continue et plus obsédante que le problème Juif. Aussi loin qu’on se reporte depuis que les Juifs sont campés au milieu des nations - et cette manière de vivre est bien antérieure pour eux à l’époque où les armées romaines leur infligèrent ce qu’on appela « la dispersion » - on trouve les Juifs en lutte avec tous les peuples qui les ont reçus dans leur sein. Les convulsions de cet éternel conflit emplissent une partie de l’Antiquité et tout le Moyen-Âge. Dans les temps modernes, si la lutte entre l’élément juif et les éléments chrétiens et musulmans revêt un caractère d’acuité moindre, c’est qu’Israël a eu l’habileté de cacher son agression, jadis presque toujours directe, sous mille masques habilement fabriqués. Mais qu’on soulève au hasard l’un de ces masques, et, sous le péril qui menace chaque peuple dans sa sécurité nationale, dans sa prospérité matérielle, dans sa liberté religieuse ou dans sa paix sociale, presque toujours on trouvera le Juif. C’est le Juif, en effet, qui a modifié les conditions d’existence économique des nations, en créant un système financier qui lui permet d’accumuler, à plaisir, les ruines publiques ou privées. C’est le Juif qui a déchaîné, en dix pays, la persécution antichrétienne, pour assouvir la haine séculaire de sa race contre les serviteurs du Christ. C’est le Juif qui a mis le feu à l’édifice social en semant l’idée collectiviste dans le monde par le moyen de ces agitateurs et théoriciens hébreux qui s’appelèrent Karl Marx, Lassalle et Singer en Allemagne ; Neumayer, Adler et Aaron Libermann en Autriche ; Fribourg, Léon Frankel et Haltmayer, en France ; James Cohen en Danemark ; Dobrojanu Ghéréa, en Roumanie ; Kahn, Lion et Samuel Gompers, aux États-Unis. <strong>...</strong></p>Brenier Flavien - Les juifs et le Talmud Partie 1urn:md5:5c5a1cd52cc1a440c0bf4f4ad84ef4a12017-09-18T00:53:00+01:002021-12-13T00:42:45+00:00balderBrenier FlavienEconomyFührerGermanyHébraïsmeKahalReligionRevolutionSatanismeTalmudThird Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Brenier_Flavien_-_Les_juifs_et_le_Talmud_Partie_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brenier Flavien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les juifs et le Talmud Partie 1</strong><br />
Année : 1913<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook3/Brenier_Flavien_-_Les_juifs_et_le_Talmud_Partie_1.zip">Brenier_Flavien_-_Les_juifs_et_le_Talmud_Partie_1.zip</a><br />
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Morale et principes sociaux des juifs d'après leur livre Saint : Le Talmud. (Avec un aperçu des circonstances historiques dans lesquelles le peuple Juif renonça à la loi de Moïse). <strong>...</strong></p>Baruteil Pierre - La race de vipères et le rameau d'olivierurn:md5:ccc02618cf58c838a869e12619fad37b2016-06-26T09:00:00+01:002021-12-12T23:42:40+00:00balderBaruteil PierreAllemagneBabylonChristChristianismeChristianismeConspirationConspirationCrime rituelEspagneEx-LibrisFranceHébraïsmeHébraïsmeIsraëlKahalMédecinePologneProche-OrientPropagandeProvenceRacesReligionRothschildRussieSatanismeTalmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Puig_A_-_La_race_de_viperes_et_le_rameau_d_olivier.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Baruteil Pierre (Puig A.)</strong><br />
Ouvrage : <strong>La race de vipères et le rameau d'olivier Solution de la question juive</strong><br />
Année : 1897<br />
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Préface. Le 22 octobre 1895, à l'instigation de ses amis les Antisémites d'Algérie, M. Edouard Drumont ouvrit dans la Libre Parole un concours dont voici le sujet : « Des moyens pratiques d'arriver à l'anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux. » Le concours fut clos le 1er juin 1896. Le jury pour juger les Mémoires se composa de : MM. Maurice Barrès, ancien député. Colonel comte Gaston de Brémond d'Ars. Paul de Chamberet. Théodore Denis, député. Julien Dumas, députe. Docteur Dupouy. Urbain Gohier, rédacteur au Soleil. Vicomte d'Hugues, député. Bernard Lazare, publiciste. (Il dut se retirer à partir du 18 juin.) Millevoye, rédacteur en chef de la Patrie. De Montfort, député, auteur d'une proposition de loi relative aux conditions de naturalisation des étrangers. Nemours Godré, rédacteur à la Vérité. De Pontbriand, député, auteur d'une proposition de loi relative aux conditions de naturalisation des étrangers. Rouyer, ingénieur des Arts et Manufactures. Edmond Turquet, ancien député, ancien sous‑secrétaire d'État aux Beaux-Arts. Charles Vincent, rédacteur à la Gazette de France. Colonel Wilbois. Ces messieurs devaient avoir à juger environ 150 manuscrits. Les résultats du concours furent proclamés le 7 novembre 1896. Le 6 du même mois l'auteur du présent Mémoire, recevait de M. le Président du jury, la lettre suivante : « Paris, 6 novembre 96, Monsieur Puig. Vous avez appris par le journal de ce matin, que la Commission vous a, dans sa séance d'hier soir, décerné une première médaille de vermeil. Votre Mémoire m'a vivement intéressé par votre magistrale et savante étude du Talmud. Je serais fort heureux, Monsieur, de faire votre connaissance. Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments. E. Rouyer, Président de la Commission du Concours de la Libre Parole ». Avant de répondre à la question du concours, l'auteur a voulu s'assurer de l'identité du prévenu, ainsi que de la réalité et de la gravité de ses crimes. À cette fin, remontant jusqu'aux origines des Juifs, il les suit dans leur évolution, dans leurs vicissitudes et leurs différents états sociaux, et dans leurs pérégrinations sur tous les points de l'univers où la main de Dieu les a rejetés jusqu'à nos jours. Il les étudie : dans leur corps, aux points de vue ethnologique, physiologique, etc ; dans leur âme : par leurs aptitudes intellectuelles et morales ; d'après le Talmud toujours en vigueur, il fait l'analyse et la synthèse psychologique de leur esprit, il en donne la définition, en développe les conséquences contre les non-Juifs ; il en montre le but, (lequel n'est autre que la domination universelle assise sur la négation de tous nos droits) non moins que les moyens de l'atteindre, et l'état actuel de la puissance juive dans le monde entier ; enfin après avoir réfuté les erreurs juives, tant spéculatives que pratiques, il indique les moyens d'en conjurer les effets désastreux, ou d'arriver à l'anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux. <strong>...</strong></p>Le cahier jaune - 02urn:md5:01f1fb2e7885bd203ad8725d3fb0145c2016-06-10T23:02:00+01:002016-06-10T23:50:53+01:00balderLe cahier jauneChristianityConspirationEuropeFranc-maçonnerieFranceHébraïsmeKahalMédecineNapoléonParisRacialismRevueUkraineVichy <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Le_cahier_jaune_-_02.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Le cahier jaune</strong><br />
Ouvrage : <strong>02</strong><br />
Année : 1941<br />
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Revue mensuelle. <strong>...</strong></p>Nitoglia Curzio - Le grand Kahal Un terrible secreturn:md5:7f6e169f1cb0a202d04a228647067b3f2015-11-16T07:33:00+00:002015-11-16T07:33:00+00:00balderNitoglia CurzioChristChristianityHébraïsmeIndiaKahal <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Nitoglia_Curzio_-_Le_grand_Kahal_Un_terrible_secret.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Nitoglia Curzio</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le grand Kahal Un terrible secret</strong><br />
Année : *<br />
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Introduction. En étudiant le problème juif, je suis tombé encore une fois sur un secret: celui du Kahal. Peu d’auteurs en ont traité et tous en restent à l’œuvre fondamentale d’un juif converti, Jacob Brafmann, qui est presque totalement introuvable. Après de longues et difficiles recherches, j’ai réussi à en trouver la traduction (manuscrite) en langue française (l’original existe aussi en russe, au British Museum, de même qu’une version en polonais et une en allemand). Jacob Brafmann, un russe d’origine juive, se convertit au Christianisme à trente-quatre ans et fut nommé professeur d’hébreu au Séminaire théologique gouvernemental de Minsk. En 1870 il publia en langue russe, à Vilnius, son œuvre Le Livre du Kahal. Les juifs achetèrent pratiquement tous les exemplaires et les détruisirent. Cependant un exemplaire fut sauvé et il y eut aussi une traduction française de l’ouvrage qui parut en 1873, intitulée: Livre du Kahal. Matériaux pour étudier le Judaïsme en Russie et son Influence sur les populations parmi lesquelles il existe. L’Encyclopaedia Judaica écrit à ce sujet: «Brafmann attaqua l’organisation juive (Kahal) dans différents périodiques russes, en la décrivant... comme un Etat dans l’Etat et affirma qu’elle faisait partie d’une conspiration internationale juive. En 1869, Brafmann... publia le Livre du Kahal, une traduction en russe des minutes de la Kehillah de Minsk... Bien que Brafmann ait été accusé de faux, en réalité son livre était une traduction très consciencieuse de documents, il a servi à de nombreux chercheurs comme source historique pour la connaissance de la vie interne du Judaïsme russe au XIXème siècle». Le Livre du Kahal n’est donc pas un faux comme le seraient les Protocoles des Sages de Sion (même s’ils disent la vérité), ainsi que l’a affirmé récemment Norma Cohn, mais plutôt “une source historique”, d’après l’avis de l’autorisée Encyclopédie Juive! Et est étudié comme telle. <strong>...</strong></p>A Phoenix journal - 233urn:md5:b31b3549ba60d0d47ce1372d4e1308952013-12-28T17:52:00+00:002013-12-28T20:20:23+00:00balderA Phoenix journalConspiracyUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.A_Phoenix_journal_-_233_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>A Phoenix journal</strong><br />
Title : <strong>233</strong><br />
Year : 1998<br />
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CHAPTER 1. REC #2 HATONN. SAT., MAR. 7, 1998 10:54 A.M. YR. 11, DAY 203. SAT., MAR. 7, 1998 THE KAHAL OF THE CAHILLA. The dispersion of the Jews (The Cahilla) which followed in 135 A.D., instead of destroying the Kahal, (Government of The Cahilla), served on the contrary to set it on a new and firmer basis, on which it has continued ever since. Wherever Jewish immigrants settled, they founded communities apart under the direction of the fraternities, and held to the precepts of the Talmud. Each community has its miniature Kahal. The different aims of these communities always found themselves intimately related with those of the Central body upon which their existence depended. So it was possible for the Jews to develop and operate a perfected system of espionage which they still maintain. In olden days as now, they sent agents to watch over Jewish affairs at police stations and other agents were posted at the doors of shops, hotels, business houses, law courts, and even in private homes to get advance information of all kinds. In this manner all kinds of things became possible, even blackmail, with which all kinds of political pressure could be brought to bear on Gentiles who had political influence in the Roman Government at that time. Hence, it is easy to understand the reason for the concentration of trade into Jewish hands with all these instruments of political pressure and advance business information at their finger tips at all times. There is a colloquial term that should always be coupled with the Dispersion. That is “Der Tag”, or “The Day of Redemption”, when World Jewry shall be gathered together again under one head, with all Gentile nations subservient to this world-wide Jewish empire whose governing seat is to be in Jerusalem. (U.S.A. and Jerusalem, Palestine.) (ZIONIST MOVEMENT) Millions of gullible Germans, as well as millions of gullible and illiterate Christians everywhere, thought back in 1914 that Der Tag meant the Day of Recognition for Germany as to her place in the sun as a nation. (H: Every day we learn more, don’t we? And keep in mind, this article was written in 1934.) It was a phrase and a term artfully “sold” to the German people, or rather, put in their mouths. Really it was Hebrew in meaning, indicating in the secret councils of Jewry that having provoked and produced the world war (one), with the white pariah nations thus engaged in slaughtering one another by the hundreds of thousands, the outcome could only mean the achievement by the Jews of an age-long goal; winning to the pinnacle of world-wide political and economic power. So the Germans, French, English and Russians went forth to fight this war of self-extermination, not knowing that in greeting Der Tag they were playing the game of Jewish world imperialists—as will be explained and authenticated in more detail further along. <strong>...</strong></p>A Phoenix journal - 230urn:md5:9295fc8f9162f5cbf360df8624a14d992013-12-25T00:38:00+00:002014-03-26T02:47:16+00:00balderA Phoenix journalConspiracyUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.A_Phoenix_journal_-_230_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>A Phoenix journal</strong><br />
Title : <strong>230</strong><br />
Year : 1998<br />
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Rise of the antichrist. Vol. 4. <strong>...</strong></p>A Phoenix journal - 079urn:md5:7a2aa7fca5cb5a500263253b53c5de0a2013-12-24T23:09:00+00:002014-03-25T23:20:37+00:00balderA Phoenix journalConspiracyConspiracyUnited States <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.A_Phoenix_journal_-_079_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>A Phoenix journal</strong><br />
Title : <strong>079</strong><br />
Year : 1993<br />
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Marching to ZOG ! <strong>...</strong></p>Fry Leslie - Le Juif Notre maitreurn:md5:3be3a8eb3afaca7c57cbbc916732a3dd2013-10-26T01:41:00+01:002013-10-26T00:44:14+01:00balderFry LeslieConspirationHébraïsmeKahalMithraOrientR.I.S.S.Talmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Fry_Leslie_-_Le_Juif_Notre_maitre_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Fry Leslie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Juif Notre maitre Les retour des flots vers l'Orient</strong><br />
Année : 1931<br />
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Préface. On a fréquemment observé que notre civilisation suit le cours du soleil de l'Orient vers l'Occident : de la Grèce à Rome ; de la Scandinavie et de l'Allemagne à l'Angleterre, la France et l'Espagne ; d'Europe en Amérique. Elle est attirée vers l'Ouest par la fraîcheur du sol où elle pourra bâtir de plus nobles cités, créer des mœurs plus parfaites, débarrassées qu'elles seront des entraves du passé. On peut dire que l'Occident représente l'indépendance de la pensée, la liberté de la parole et le gouvernement représentatif : tous ces principes sont contenus dans la conception occidentale du progrès. Au-dessous de ce grand courant occidental de notre civilisation, il y a des courants inférieurs qui, eux, se dirigent vers l'Orient. Ils sont entraînés par un esprit qui regarde en arrière vers l'Est, vers ce passé de tyrannie et d'esclavage, de volupté et de misère, et cet esprit les porte à supprimer la culture occidentale, car il est rétrograde tout en prétendant bien souvent s'attribuer le nom de «Progrès», et ses voies conduisent â l'erreur. Mais les courants qu'il gouverne sont larges, profonds et leurs effets, violents. Les pages qui suivent ont pour objet de jeter la lumière sur ces courants inférieurs orientaux qui ont ruiné les Etats occidentaux. On y a commenté en détail les problèmes politiques que la plupart des gouvernements préfèrent ignorer ; on y a appelé une attention spéciale sur une lutte souterraine qui se poursuit – et qui a peut-être une plus grande portée que les soi-disant périls encourus par la civilisation occidentale, tels que le Péril Jaune ou le Péril Noir -, où chaque mouvement est non seulement observé et enregistré par les gouvernants, mais encore par l'ensemble des gouvernés. En résumé, on a essayé de mettre en fort relief la structure interne d'un système qui a produit et fomente encore les inimitiés de races et qui, de plus, a été jusqu'à ruiner certaines civilisations et à renverser des gouvernements nationaux. <strong>...</strong></p>Saint-Yves d'Alveydre Joseph Alexandre - Mission des Juifsurn:md5:d3d5c64cb45d9c4934d554d96523e46d2013-08-09T18:39:00+01:002020-12-18T20:53:13+00:00balderSaint-Yves d'Alveydre Joseph AlexandreConspirationHébraïsmeIsraëlKabbaleKahalMartinismeTalmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Saint-Yves_Joseph_Alexandre_-_Mission_des_Juifs_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Saint-Yves d'Alveydre Joseph Alexandre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Mission des Juifs Tome 1 et 2</strong><br />
Année : 1884<br />
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<strong>Tome 1 - <a href="https://www.bookdepository.com/Mission-des-juifs-Tome-1-Saint-Yves-Dalveydre/9781648589256">Book Depository</a> - <a href="https://www.amazon.com/dp/B08QDX2M97">Amazon</a> - <a href="https://app.thebookpatch.com/BookStore/mission-des-juifs-tome-1/b3908955-9063-4612-b353-c37d9ca09a23?isbn=9781648589256">The Book Patch</a></strong><br />
<strong>Tome 2 - <a href="https://www.bookdepository.com/Mission-des-juifs-Tome-2-Saint-Yves-Dalveydre/9781648589263">Book Depository</a> - <a href="https://www.amazon.fr/dp/B08QG5Q5WN">Amazon</a> - <a href="https://app.thebookpatch.com/BookStore/mission-des-juifs-tome-2/e8253bfb-5638-43ff-a96f-bbb0a275c585?isbn=9781648589263">The Book Patch</a></strong><br />
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Le cinq février 1909, à midi, au cœur de la tranquille cité de Pau, Saint-Yves d'Alveydre s'éteignait discrètement, au soir d'une existence de soixante-six années presque entièrement consacrées à l'étude solitaire et à la recherche indépendante. Franc-tireur de l'histoire, historien de la Tradition, ses œuvres reflètent une analyse originale de l'enchaînement psychologique des causes et des effets qui tissent le canevas socio-politique de l'histoire des hommes. Une biographie peut-elle avoir sa place ici ? Saint-Yves, qui a toujours voulu donner aux idées la priorité sur les faits, n'aurait certainement pas aimé que l'on racontât sa vie par le menu. <strong>...</strong></p>Bakony Itsvan - Chinese communism and chinese jewsurn:md5:f3b1178fcb9eff9a533b2537a0dc10b42013-07-26T02:42:00+01:002013-08-09T17:59:04+01:00balderBakony ItsvanChinaCommunismConspiracyJewKahalLibrary of political secrets <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Bakony_Istvan_-_Chinese_communism_and_chinese_jews_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>Bakony Itsvan</strong><br />
Title : <strong>Chinese communism and chinese jews Library of political secrets 4</strong><br />
Year : 1969<br />
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The Israelite leader Israel Joseph Benjamin II, Chacham of Israel, after his visit to China at the middle of last century, says in his report on Chinese clandestine Judaism, presented to the western Israelite leaders, that in one epoch the Chinese Jews mixed themselves with the population of the mongolic race through mixed marriages: "They keep their faith with the characteristic tenacity distinguishing the Hebrew race, they even now do not marry but women of their same religion"... "During the war among Tartar and Chinese peoples, a part of them moved to the Che-Kiang province, neighboring that in which our city is located, and became established in Kang Tchou, a city I intend to visit, and the other part is in Amoy in the Fo-Kien province. There are emigrants also in Peking and throughout China". After this, the laborious Chacham referring to what a German Jewish magazine said, talks about a group of Chinese Jews that: "Only one had a real Jewish type, but except for the religion and circumcision, they are completely converted into Chinese by their language , dressing, customs, and habits, they also have Chinese names... It is said that Jews came to China from the north-westem part of India by about the third century after Christ; they first remained secretly in Ning-hia, Hantcheou and Peking, and later became established in Kai-fung-foo". A dangerous fifth column of secret Jews had entered China, who as a result of their total adaptation through the centuries, to the racial and social characteristics of the Chinese people are now dangerously confounded and diluted in the population of that country. It should be noted that although the Israelites of the former celestial Empire are considered among the most mixed with the indigenous race, since the last century they have kept the rigid custom of marrying only among themselves, and the above mentioned Hebrew leader says that they have kept their faith "with the characteristic tenacity that distinguishes the Hebrew race". <strong>...</strong></p>De Vries De Heekelingen Herman - L'Orgueil juifurn:md5:6e1ac161b02e60c25add2cc411fa4f3b2013-05-16T00:41:00+01:002022-01-14T22:23:22+00:00balderDe Vries De Heekelingen HermanEx-LibrisHébraïsmeIsraëlKahalRacialismeTalmudTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.De_Vries_De_Heekelingen_Herman_-_L_Orgueil_juif_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Vries De Heekelingen Herman</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Orgueil juif</strong><br />
Année : 1938<br />
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Aperçu général. L’orgueil est un sentiment propre à la nature humaine, par conséquent indépendant du facteur-race. Sous toutes les latitudes, nous trouvons des individus orgueilleux et d’autres qui ne le sont pas. L’orgueil constitue une manifestation d’ordre psychologique et non d’ordre physiologique ; les nègres ne sont ni plus ni moins orgueilleux que les jaunes ou les blancs. Pourquoi donc existerait-il un orgueil spécifiquement juif, un orgueil particulier à la race juive ? Pourquoi ne ferait-on pas une distinction entre des Juifs orgueilleux et d’autres Juifs qui ne le sont pas, comme on le fait pour d’autres races ? Les circonstances historiques, le genre de vie, l’organisation sociale peuvent favoriser ou contrecarrer le développement de l’orgueil de tout un peuple. Les persécutions que les Juifs ont endurées au cours des siècles, autant que la vie de ghetto, la solidarité due au fait que, partout les Juifs ont constitué une minorité, tout cela a développé leur orgueil initial, dont nous trouvons des traces dès leur entrée dans l’histoire. Cet orgueil est devenu à tel point inhérent à la race juive, qu’on peut parler d’un orgueil typiquement juif. L’orgueil donne à l’orgueilleux une opinion trop avantageuse de lui-même et lui cache ses défauts ; il le rend susceptible à la moindre critique et, comme tout individu offre des côtés critiquables, il est constamment froissé ou irrité. L’orgueil peut aussi être un consolateur (généralement un mauvais consolateur) contre de mauvais traitements mérités ou immérités ; dans ce cas, l’orgueilleux s’enferme dans sa tour d’ivoire, séparé du reste des humains par son « complexe de supériorité ». Toutes ces caractéristiques de l’orgueil se retrouvent chez les Juifs. Le Juif a une opinion fort avantageuse de lui-même, parce qu’il s’est toujours considéré comme membre du peuple élu et qu’il a attribué cette élection à sa race. IL se croyait élu parce qu’il descendait d’Abraham, il éprouvait un orgueil infini par le fait du sang qui coulait dans ses veines. L’orgueil lui cache ses défauts, parce qu’il croit accomplir tout son devoir lorsqu’il obéit aux deux cent quarante-huit commandements et aux trois cent soixante-cinq prohibitions du Talmud. Un exemple frappant, qui montre le degré auquel peut atteindre ce sentiment de perfection est la lettre que Salomon Rothschild écrivait à Metternich lors du décès de son frère Nathan : « Mon frère a conservé, écrivait-il, toute sa lucidité jusqu’à la mort. Dix minutes avant la fin, comme on exécutait les cérémonies dont nous avons l’habitude, il disait : « Inutile de tant prier, car, croyez-moi, j’ai la conviction de n’avoir pas péché ». L’orgueil rend le Juif chatouilleux, il ne tolère pas la moindre critique. Rien de plus naturel : puisqu’il se croit supérieur à son entourage, toute critique le met hors de lui. Il a une manière à lui de combattre ceux qui osent le critiquer : il tâche de faire passer ses adversaires pour des gens sans importance ou sans savoir. S’il est incapable de répondre sur le fond, il se contente d’une contradiction pure et simple, sans aucune preuve à l’appui. Dans la discussion, il est souvent d’une suffisance incroyable. Quelques jours avant la chute de son ministère, lors d’une discussion au Sénat, M. Léon Blum s’écriait : « Qui se permet de ricaner quand je parle ? » L’orgueil peut aussi faire fonction de consolateur. Du moment que le Juif croit dur comme fer qu’il a une tâche à remplir ici-bas, l’opinion du monde n’a plus aucune importance pour lui. « Nous n’avons pas à nous occuper de l’opinion du monde qui nous entoure, dit M. Joseph Kastein, ni de la catégorie dans laquelle il faut classer sa façon de penser. Il suffit simplement que le Juif conserve, en lui-même, la certitude qu’il a créé pour tous les peuples des valeurs culturelles absolument prodigieuses. » Cette certitude a pour conséquence que le Juif bondit dès qu’un goy se permet de douter de sa supériorité. Il s’irrite alors profondément et devient haineux. Deux siècles avant notre ère, le grand-prêtre hellénisant Ménélaüs, accusait, la loi juive « d’enseigner la haine du genre humain, de défendre de s’asseoir à la table des étrangers et de leur marquer de la bienveillance ». Inutile d’ajouter que Ménélaüs ne jouit pas d’une bonne renommée parmi les Juifs, mais il se rencontre avec saint Paul qui, deux siècles plus tard, dans son Epitre aux Thessaloniciens, a dit aussi d’eux : Et omnibus hominibus adversantur. Il n’est donc pas, étonnant que, même dans la Rome ancienne, si tolérante pour toutes les religions, les Juifs furent profondément haïs et qu’on promulgua pour eux des lois d’exception. Il en a été ainsi partout et toujours. Les Juifs sincères l’avouent eux-mêmes. « Le Juif provoque, dit M. Kadmi-Cohen, la répulsion ou la crainte ou la haine ou le mépris universel, tantôt plus, tantôt moins. Ce phénomène psychologique ne peut s’expliquer que par le sentiment de tout être sain en présence de quelque chose d’informe, de maladif, d’incomplet. » Bernard Lazare se demande pourquoi l’hostilité à l’égard des Juifs s’est manifestée partout : « Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des Juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères, mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie. Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes moeurs ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidé en Israël même « et non chez ceux qui les combattirent ». « La question juive, dit Théodore Herzl, existe partout où les Juifs vivent en nombre tant soit peu considérable. Là où elle n’existait pas, elle est importée par les immigrants juifs. Nous allons naturellement là où l’on ne nous persécute pas, et là encore la persécution est la conséquence de notre apparition. Cela est vrai et demeurera vrai partout, même dans les pays de civilisation avancée — la France en est la preuve — aussi longtemps que la question juive ne sera pas résolue politiquement. Les Juifs pauvres apportent maintenant avec eux l’antisémitisme en Angleterre, après l’avoir apporté en Amérique. » Parmi les populations, dit le même auteur, l’antisémitisme grandit de jour en jour, d’heure en heure, et doit continuer à grandir parce que les causes continuent à exister et ne sauraient être supprimées ». Ces causes étaient multiples chez les chrétiens, les mahométans et les païens, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours. Religieuses et économiques à certaines époques, nationalistes et raciales à d’autres moments, elles culminaient toujours dans le sentiment d’héberger des fractions d’un autre peuple dont l’orgueil et l’intransigeance les empêchent de s’assimiler à leur entourage. Se considérant comme infiniment supérieurs, les Juifs refusaient dès le commencement de leurs pérégrinations, de se mêler aux autochtones. « Peuple énergique, vivace, dit encore Bernard Lazare, d’un orgueil infini, se considérant comme supérieur aux autres nations, le peuple juif voulut être une puissance. Il avait instinctivement le goût de la domination puisque, par ses origines, par sa religion, par la qualité de race élue qu’il s’était de tout temps attribuée, il se croyait placé au-dessus « de tous. » Même détachés des antiques traditions de leur culte, dit Mlle Marguerite Aron, ils conservent, obscurément, au plus profond d’eux-mêmes, la conscience d’avoir été choisis « pour être les dépositaires de l’absolue vérité. Ils n’accordent pas volontiers qu’ils peuvent se tromper dans leurs opinions morales, et, quand il s’agit de reconnaître chez un autre une opinion contraire et de la respecter, le sens de la justice, pourtant si fort en eux, est supplanté par l’indignation et la colère ». Orgueil infini, goût de la domination ; irritabilité dès que quelqu’un émet une opinion qu’ils ne partagent pas, ce sont exactement les traits de caractère que nous venons d’attribuer aux Juifs. Ce ne sont pas des traits qui font aimer un peuple que l’on a accueilli chez soi, bien au contraire, ce sont les sources de l’antisémitisme universel. « Devant l’unanimité des manifestations antisémitiques, il est difficile d’admettre, comme on a été trop porté à le faire, qu’elles furent simplement dues à une guerre de religion ; et il ne faudrait pas voir dans les luttes contre les Juifs la lutte du polythéisme contre le monothéisme et la lutte de la Trinité contre Jéhovah. Les peuples polythéistes, comme les peuples chrétiens, ont combattu, non pas la doctrine du Dieu Un, mais le Juif. « Quelles vertus ou quel vices valurent au Juif cette universelle inimitié ? Pourquoi fut-il tour à tour, et également, maltraité et haï, par les Alexandrins et par les Romains, par les Persans et par les Arabes, par les Turcs et par les Nations chrétiennes ? Parce que partout, et jusqu’à nos jours, le Juif fut un être insociable ». Bernard Lazare se demande ensuite pourquoi le Juif est insociable et il répond : « Parce qu’il est exclusif ». Nous pourrions continuer en demandant : Pourquoi est-il exclusif ? et à nous de répondre : « Parce qu’il a toujours été et qu’il est encore orgueilleux ». « Pendant toute la durée de la diaspora, explique Achad Haam, nos pères avaient la coutume de remercier Dieu de les avoir fait naître Juifs ... Tous admettaient comme un axiome qui ne se discutait pas que l’échelle de la création avait des degrés ; les minéraux, les plantes, les animaux, les hommes et enfin, tout en haut, les Juifs ». Cet aveu d’un orgueil stupide et incommensurable ne date pas du Moyen Age ou de l’Antiquité, il n’est pas la suite de mauvais traitements ou d’une situation misérable. Son auteur, Achad Haam, pseudonyme d’Ascher Ginzberg, est mort en 1927. Il fit ses études à Berlin, à Vienne et à Bruxelles. D’après The Jewish Encyclopedia, il était dès sa jeunesse un connaisseur si éminent du Talmud que les rabbins de son entourage le consultaient. Nous verrons tout à l’heure que cela explique bien des choses. Auparavant nous constaterons qu’Achad Haam n’est pas le seul de nos contemporains à placer le Juif au sommet de l’échelle de la création. Théodore Herzl, le créateur du sionisme, écrivait le 18 août 1902 à Lord Rothschild : « Notre race est en toutes choses plus capable que la plupart des autres peuples ; c’est la cause de leur haine ». M. Samuel Roth reprend la même pensée, mais il précise davantage : « L’Europe n’a pas seulement une façon juive de penser, mais tout ce qu’elle entreprend est déterminé par des personnalités juives ... Il n’y a pas de programme, de sentiment ou de conviction qu’un Européen puisse adopter sans suivre un Juif, que ce soit un Bergson, un Marx ou un Freud ». « Les Juifs sont une rosée divine au milieu des peuples », dit à son tour M. Jacob Klatzkin, personnage important du monde juif actuel. Cette « rosée divine » a pour mission de devenir une « lumière parmi le nations ». Et ainsi de suite. D’où vient cet orgueil peu commun ? Comment expliquer que, de nos jours encore, des Juifs connus soient en proie à une fatuité aussi extraordinaire ? Cet orgueil a toujours existé. On en trouve des traces multiples dans l’Ancien Testament. On nous objectera que l’Ancien Testament fait partie des écrits qui sont à la base du christianisme. Il faut s’entendre et ne pas chercher dans l’Ancien Testament ce qui ne s’y trouve pas. Ce sont des Juifs qui l’ont écrit et le contenu n’exprime pas toujours des sentiments chrétiens, puisque ceux-ci relèvent du christianisme, couronnement de la révélation divine, réalisée par le Christ et ses apôtres. Couronnement que les Juifs ont rejeté pour s’enfoncer dans les erreurs, codifiées dans le Talmud. Voici quelques extraits du Talmud : « L’homme fut créé uniquement pour vous apprendre que si quelqu’un détruit une seule âme juive, cela lui sera imputé à faute, comme s’il avait détruit le monde entier, et si quelqu’un sauve une seule âme juive, cela lui sera compté comme s’il avait sauvé le monde entier ». « Partout où ils (les Juifs) se rendent, ils deviennent les princes de leurs maîtres ». « Tous les Juifs sont des enfants de roi ». « B. Hanina disait : un non-juif qui frappe un Juif mérite la mort ... B. Hanina disait ensuite : Qui donne un soufflet à un Juif est coupable comme s’il souffletait Dieu ». Et voici la contre partie : « Si (quelqu’un tue) intentionnellement, il est évident qu’il doit être exécuté. » Raba répondit excepté le cas où il avait l’intention de tuer une bête et qu’il a tué un homme, ou qu’il avait l’intention de tuer un non-juif, et qu’il a tué un Juif ». « Vous (Juifs) êtes appelés des hommes, les peuples du monde ne sont pas appelés des hommes (mais des bêtes) ». C’est tout à fait charmant. Les non-juifs sont à tel point impudiques que l’on ne sait jamais qui est leur père et si on le sait, par hasard, il vaut mieux ne pas s’en souvenir. D’ailleurs, leur ardeur lubrique est comme celle d’un étalon. Ceci pour ce qui concerne les hommes. Quant aux femmes : « Tout homme, excepté un mineur, qui commet un adultère avec la femme d’un autre homme, excepté la femme d’un mineur, avec la femme de son prochain, excepté la femme d’un non-juif, devra être tué ». C’est la conséquence du mépris de tout ce qui est non-juif : l’adultère d’un Juif avec une Juive est puni de mort, mais l’adultère avec une non-juive ne porte pas à conséquence. Puisqu’ils sont si pervertis, tout est permis aux non-juifs. « Un non-juif peut avoir des rapports avec sa fille ? Mais alors pourquoi Adam n’a-t-il pas pris sa fille ? (Il ne l’a pas prise) afin de permettre à Caïn de prendre sa soeur ». Et que l’on ne dise pas que tout cela est périmé et qu’à notre époque les Juifs ne font plus ces distinctions entre Juifs et non-juifs. On n’a qu’à lire attentivement la littérature juive pour se rendre compte que leur présomption est restée toujours la même. Voici un exemple entre plusieurs. Schalom Asch est un romancier qui, selon le Jüdisches Lexikon peint la vie juive d’une façon simple et d’après nature. Dans son roman, Le soldat juif, il fait écrire par un père juif à son fils : « Et si tu es en garnison dans une ville, cherche-toi une honnête fille de famille. Fréquente ses parents, parle de mariage. Ainsi tu auras ton ordinaire assuré, la fille lavera ton linge. Mais, mon gars, ne la rends pas malheureuse ... c’est une fille juive ... ». Dans une autre nouvelle, le même auteur fait encore comprendre qu’une jeune fille juive est sacrée, parce que juive. La scène se joue dans la chambre à coucher de Salomon. Il tend la main à la jeune fille qui a préparé son lit. Elle ferme les yeux et se laisse choir dans ses bras ... Tout à coup, Salomon revient à lui et se dit : Une jeune fille juive est égale à une fille de roi, et quittant la chambre, il lui dit : « Non, Rachel, tu dois te marier ». Le père conseillait à son fils de ne pas abuser de la jeune fille juive qui laverait son linge, parce qu’elle était juive, et Salomon repoussait la tentation parce qu’une jeune fille juive est égale à une fille de roi ! C’est exactement le même esprit qui amenait le Talmud à faire la distinction entre une Juive et une non-juive. Il est impossible d’extirper de l’âme juive l’influence talmudique millénaire. Ses principes sont entrés dans le sang des Juifs. Leur orgueil est devenu la pierre angulaire de leur système de défense. Un correspondant juif occasionnel de la Juste Parole, revue judéophilissime, en s’adressant à un député qui avait osé rappeler le danger juif, le menace : « Mais prenez garde : tout ne finit pas ici-bas. Vous aurez des comptes à rendre un jour. Nous sommes le « Peuple spirituel » de Dieu et celui qui nous touche, touche à la prunelle de ses yeux ». Même chez certains Juifs convertis, l’idée persiste que tout se fait en fonction des Juifs. M. René Schwob écrit qu’au point de vue surnaturel l’histoire du monde est celle des Juifs. « Si bien que rien n’importe davantage que leur conversion, ou plus exactement leur retour à l’invisible vivant. Le jour où ils seront rentrés en possession de leur héritage, le monde n’aura plus de raison de subsister ». C’est une preuve indéniable que l’orgueil s’est emparé si profondément de l’âme juive que, même un homme comme M. René Schwob, de religion catholique, et qui considère tout uniquement sur le plan spirituel, en arrive à la conclusion que le monde n’a plus aucune raison de subsister lorsque les Juifs seront sauvés. L’idée de ce qui arrivera aux autres âmes ne lui vient même pas à l’esprit. Si l’empreinte juive a encore une telle force sur un Juif sincèrement converti, que doivent penser les Juifs de religion juive ? Le Juif se sent supérieur à son entourage non-juif ; il a un profond dédain pour tous ceux qui n’appartiennent pas à sa race. Il considère comme ennemis tous les peuples de la terre, il complote éternellement contre eux. Aussi longtemps qu’il se sent inférieur en force, il dissimule, on le voit paraître encadré de pasteurs ou de prêtres, prêts à défendre sa cause, il envoie des adresses aux Papes, il se fait distinguer comme soutien du trône, il se signale par sa charité. Mais, dès qu’il se sent en force, dès qu’un des siens est, par exemple, Président du Conseil, il se souvient de sa supériorité imaginaire ; dans un pays où sur 10.000 habitants il n’y a que cinquante Juifs, il fait occuper environ la moitié des sièges du gouvernement par ses frères de race. « Dans des moments de déséquilibre historique, dit M. Hans Rosenfeld, les Juifs n’apparaissent pas aux yeux du peuple menacé comme un modèle enviable d’heureuse synthèse, mais bien au contraire comme un objet d’horreur et de haine, parce que son légitime instinct de conservation se cabre contre leur individualisme démesuré et sans entraves ». Ils sont dangereux ces idéalistes orgueilleux qui prétendent remplacer les formes sociales, basées sur des traditions séculaires, par des chimères internationalistes qui aboutiront à un régime où Israël deviendra, selon les Archives israélites, « le lien des peuples ». « Le Seigneur a dit : « vous serez un royaume de Cohenin » ; et c’est afin que nous le devenions que Juda a dû être dispersé parmi les nations. Ce n’est pas en nous attachant au sol que nous remplirons notre destination ; c’est l’industrie, l’esprit de commerce et d’entreprise qui nous pousse à quitter le sol natal (trop souvent par les persécutions) et à devenir le lien des peuples ». Déjà Flavius Josèphe, l’historien juif de l’époque de la destruction du temple, disait hardiment : « que nuls autres ne peuvent donner de si bons préceptes que nous » et les juifs du ghetto s’imaginaient que tout existait à cause des Juifs : Dieu créa le monde uniquement à cause des Juifs et de la Tora. S’il n’y avait eu de Juifs, il n’y aurait pas eu de monde, Dieu n’existe que pour Israël, il n’existe pas pour les païens. Dans le ciel, il y a des synagogues où Dieu est assis en compagnie des grands rabbins pour discuter la Halacha (la partie juridique et casuistique du Talmud) ... Puisque Dieu est un Juif pieux et exclusif, il ne peut rien avoir de commun avec un païen. Du fait que celui-ci a rejeté la Tora, il est physiquement impur et bestial. Israël est le froment, les païens ne sont que paille et immondices ». Un auteur juif contemporain constate qu’au « moment où eut lieu la dispersion, le peuple juif avait atteint une si grande maturité historique que, psychologiquement, il lui était difficile de se mélanger avec des éléments ethniques qui ne lui étaient apparentés ni par leur nature ni par leur conception du monde. Son caractère était formé et ne se laissait plus modifier. Ainsi s’assimile mal celui qui émigre sur ses vieux jours. D’autre part, le peuple juif, orgueilleux, se considérait comme élu. En proie au « complexe de supériorité », il regardait de haut le monde païen. » C’est tout à fait exact, un non-juif ne saurait mieux dire. Leur « complexe de supériorité » les fait regarder de haut les misérables goim qui, d’ailleurs, n’ont été créés qu’à cause des Juifs. Ces déclarations d’une intolérance et d’un orgueil insupportables ne datent pas seulement de l’époque du Talmud. Nos contemporains émancipés et « assimilés » estiment encore maintenant que ceux qui n’appartiennent pas au peuple élu ne sont que des goim qui ne peuvent avoir un idéal aussi élevé que celui des Juifs. Le rabbin Moïse Gaster disait au IIIème Congrès sioniste à Bâle, d’après le protocole sténographique : « Nous avons toujours devant les yeux un grand idéal qui ne peut être comparé à celui des autres peuples. Nous poursuivons la réalisation de cet idéal depuis des siècles ... Nos aspirations et notre idéal ne sont pas ceux du monde entier ; c’est la raison qui nous rend différents et, je le proclame solennellement, très supérieurs à toutes les nations du monde, car aucune nation ne peut se comparer à nous ... Cette idée que rien au monde ne peut être comparé au Juif, a tellement imprégné son esprit, que le Juif dit souvent les plus grandes énormités, sans s’en rendre compte. Prenons-en quelques-unes dans divers domaines. Jassuda Bédarride, bâtonnier de l’ordre des Avocats à la Cour de Montpellier, raconte avec le plus grand sérieux qu’il fallait aux chrétiens une longue expérience pour les décider à accepter les bienfaits que leur offraient les Juifs. « Plusieurs siècles devaient s’écouler avant que la raison pût remporter cette victoire sur le préjugé, et lorsque les Juifs se disposaient à enrichir la France et l’Italie du tribut de leur savoir, le fanatisme du Moyen-Age devait leur en marquer sa reconnaissance par les plus violentes persécutions. » Jusqu’ici tous les historiens ont admis que les moines avaient été les premiers à cultiver les sciences et à les enseigner en Europe, mais le bâtonnier juif de Montpellier nous apprend que ce furent les Juifs. Quant au Moyen-Age, le même auteur nous enseigne que les Juifs « avaient attaché leur nom à tout ce qui s’était fait de grand et d’utile dans le Moyen-âge ». Lorsque Théodore Herzl se demandait où l’on pourrait installer son Etat juif, il constatait, que, l’effervescence régnant en Turquie, les grandes puissances pourraient être amenées à partager ce pays, ce qui enlèverait aux Juifs la possibilité de s’établir en Palestine. Et Herzl d’écrire dans ses mémoires : « Nous pourrions alors, peut-être, obtenir du Congrès européen un pays neutre, comme la Belgique ou la Suisse ». Ni plus ni moins ! Que vaut l’héritage d’un misérable Suisse ou d’un pauvre Belge en face des désirs d’un Juif, membre du peuple-roi ! Maintenant que les Juifs nous ont dotés de la fameuse Société des Nations, ce sera elle peut-être qui, par sa paix collective, nous amènera la guerre, et, dans l’esprit des Juifs, leur procurera non seulement la Suisse ou la Belgique, mais le monde entier. Il y a dans la littérature des exemples tout aussi savoureux. Israël Zangwill, dans une de ses nouvelles, The Master of the Name, fait entrer dans l’humble cabane d’un Juif de Pologne une princesse égarée à la chasse. L’enfant du Juif ne pouvait détourner ses yeux admiratifs de la belle princesse et de ses superbes vêtements. « Qu’elle est belle », dit-il enfin. Sur quoi, son père murmure gentiment : « Petit idiot, little fool, dans l’autre monde, la princesse allumera le fourneau pour nous ». En poésie, il en est de même : « J’ai entendu ta voix « Dieu châtié « Dieu cloué « Triste Dieu en agonie. « J’ai péché contre mon peuple « Mon peuple d’intelligents « Mon peuple d’orgueilleux. « Car j’ai dit « Heureux les pauvres en esprit. « J’ai péché contre mon peuple « Mon peuple de vengeurs « Mon peuple de haineux « Mon peuple de justes. « Car j’ai dit « Ne résistez pas au méchant. « Je t’ai entendu « Je t’ai entendu « Juif coupable « Grand Juif en larmes ». En effet, Notre-Seigneur, doux et humble de coeur, quel contraste avec le Juif impitoyable et orgueilleux ! Même dans la peinture juive on rencontre des manifestations de leur orgueil. Un tableau de Moritz Oppenheim, intitulé Der Dorfgeher, représente un Juif sortant de sa maison avec son enfant. Pour bien marquer qu’il s’agit d’un Juif, le peintre lui fait toucher la Mesusa (petite boîte allongée, contenant quelques textes de la Tora, que les Juifs fixent au montant de leur porte d’entrée). Pendant que le père touche la Mesusa, le petit Juif donne une aumône à un petit mendiant, très blond d’un type aryen prononcé, qui se tient humblement devant le jeune Juif. En ce qui concerne la musique, Disraeli écrivait « presque chaque grand compositeur ou musicien habile, presque chaque voix qui ravit par ses délicieux accents provient de notre race ». Leur superbe ne se borne pas à la musique, « dans chaque pays de l’Europe les Juifs sont, d’après Zangwill, au premier rang parmi les coryphées de tous les arts. » Certes, il y a des Juifs clairvoyants qui se rendent compte de l’absurdité de leur orgueil, mais ce sont des exceptions. « Le monde environnant, dit M. Joseph Kastein, n’a aucun besoin de nous. Il importe en présence de l’orgueil juif que cela soit dit une bonne fois avec toute la netteté désirable. Certes, il serait malaisé de se représenter le visage spirituel du monde en en retranchant l’existence de l’esprit juif, et il est tout aussi vrai que le monde est prêt à accepter du Juif tout ce qu’il peut offrir en fait de prestations et d’accomplissements techniques, spirituels et matériels ; mais, considéré sous son angle particulier du point de vue de ses propres besoins et de ses intérêts immédiats et réels, il n’a que faire du judaïsme, il ne veut point du judaïsme, ce judaïsme l’importune et il le hait. Il n’y a pas de peuple pour accepter volontiers le Juif. Et tout peuple qui l’accepte cède seulement à des considérations morales, politiques ou économiques. » Si cette conception pouvait se généraliser, il y aurait espoir d’arriver à une solution de la question juive, mais il en est, hélas, tout autrement. En général, on constate que tout homme qui ne chante pas la louange d’Israël est déclaré antisémite, et, par conséquent, insupportable et exaspérant. « Il faut donc que la liberté de l’opinion soit restreinte en ce qui concerne cette calomnie (antisémite), que la liberté du commerce soit limitée, en ce qui concerne la vente de ce poison par la presse et la librairie ... Il faut que les grands Etats libres suppriment cette littérature en chargeant le ministère public de poursuivre pour calomnie leurs auteurs avec ou sans plainte des organismes représentatifs des Juifs et des Israélites. Il faut que les grands Etats libres, assemblés autour de la table verte des conférences internationales, sachent obliger les petits Etats à en faire autant ». Afin que le Juif puisse remplir « son rôle historique, rôle conforme à la volonté de la Providence ... (de) servir à notre époque bouleversée de phare dans la nuit des temps ». A nous, pauvres goim, le rôle du silence, toute critique du peuple-phare sera considérée par l’orgueil juif comme un crime de lèse-majesté. <strong>...</strong></p>Lanin E. B. - Les juifs de Russieurn:md5:a909edb2daf916820b815553bd413f972013-04-17T00:04:00+01:002013-04-16T23:25:15+01:00balderLanin E. B.EuropeHébraïsmeKahalRussie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Les_juifs_de_Russie_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lanin E. B.</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les juifs de Russie Recueil d'Articles et d’Études sur leur situation légale, sociale et Économique</strong><br />
Année : 1891<br />
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Aux temps anciens du Grand-Duché de Moscovie, il n'y avait pas de question juive pour troubler le repos des hommes d'État russes; les pauvres Juifs inoffensifs étaient alors tenus éloignés du pays avec plus de succès que les Tartares belliqueux, avec plus de soin que la peste. Tout Juif trouvé en Russie était arrêté et expulsé, aucune raison, quelque grave qu'elle fût, ne paraissant suffisante pour justifier la souillure faite au sol par la présence d'un membre de la race qui crucifia le Sauveur. De cette manière, la population indigène resta livrée à ses propres inspirations et le courant de la civilisation russe demeura exceptionnellement pur de tout mélange juif, jusqu'au moment où la politique d'annexion commença d'être franchement inaugurée, et où la Russie avala gloutonnement, en même temps que les morceaux succulents qui appartenaient à ses voisins, les trichines juives qui ont trouvé un sol si approprié dans la société politique russe, et sont maintenant en train de faire crouler le système tout entier. Les luttes de la Russie, tantôt pour rejeter, tantôt pour s'assimiler et neutraliser ce dangereux élément, sont instructives, sinon édifiantes. <strong>...</strong></p>Ragozin Zénaïde Alexeïevna - Russian Jews and Gentilesurn:md5:dd4375315a862841b659e03ff93cc82e2012-08-25T19:12:00+01:002014-05-05T15:29:43+01:00balderRagozin Zénaïde AlexeïevnaJewKahalRussiaTalmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Ragozin_Zenaide_Alexeievna_-_Russian_Jews_and_Gentiles_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>Ragozin Zénaïde Alexeïevna</strong><br />
Title : <strong>Russian Jews and Gentiles From a Russian point of view</strong><br />
Year : 1881<br />
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The disturbances began at Ielizavetgrad, in the middle of the Easter week. How did they begin? On what provocation? The immediate occasion was too trifling to have been more than a pretense, a signal for something long impending. The first three holidays had passed over quietly, when, on the afternoon of Easter Wednesday, a quarrel took place at a much-frequented public-house on account of a broken drinking-glass, for which the offender refused to pay. The tavern-keeper, who was a Jew, from angry remonstrances passed to blows. A voice from the crowd around the bar was heard to shout: “They assault our people!” The uproar quickly spread along the street, and, in a few minutes, there was a mob of not less than a thousand men, which carried the news and the excite-ment from end to end of the city. The work of destruction began immediately, and raged all through the night and through the following day and evening, as late as midnight, when it stopped—not so much from fear of the troops who had been telegraphed for and only then had arrived, as because scarcely anything was left to destroy. To realize the extent of the ravages done, it must be kept in mind that Ielizavetgrad, situated on the highway between Poltava and Odessa, is a great commercial thoroughfare and a very wealthy city, with a population of forty-five thousand, of which fully one-third are Jews. The authorities were wholly unprepared. The ordinary police force was far too small to be of any use, and of the military only four squadrons, of cavalry were on hand—a force par-ticularly ill-suited for action in narrow, crowded streets—not quite five hundred men in all against a mob of many thousands, half of them women and children. It was a good-natured mob, too, which did not provoke violence by resistance, but dispersed at the first collision; but the broken groups would join again some streets further off, and carry their devastations to other quarters where the field was still clear. As for the citizens of the better classes, they, of course, took no part in the proceedings,—but they did nothing to oppose them. Num-bers followed the different mobs out of curiosity, as mere lookers-on. A certain secret sympathy with the rioters could even be detected, which the latter were not slow in perceiving, and acknowledged by sundry marks of friendly atten-tion. Thus, on the “bazaar,” or market-place, the ground being very wet and muddy, they spread it with carpets and woolen materials dragged out of the shops, at the same time politely inviting the spectators “to approach, as they need not lie afraid of soiling their nice shoes.” The citizens would probably not have preserved this passive attitude had the rioters shown themselves at all cruelly inclined, and threatened the persons of the Jews instead of venting their rage only on their property. But, as it was, the worst instincts of a mob were not called into play, in great part owing to the prudence of the Jews themselves, who mostly kept out of sight. Had they “shown fight” at all, matters might have taken a more tragical turn, for the rioters gave signs of manifest irritation in the rare instances when revolvers were fired, very harmlessly, from windows. Crowds of women and children, and townspeople of the poorer sort, followed in their wake, picking up and carrying away all they could of the valuable property which covered the ground, or lay piled in mud-bespattered heaps, and literally could be had, not for the asking, but for the taking. A noteworthy feature, and one that shows how entirely the actors were mastered by one feeling, that of animosity toward the Jews, is that the rioters—mostly workmen, handicrafts-men, and peasants from the environs—did not take anything for themselves; they merely destroyed. Some shop-keepers and householders tried to ransom their goods with sums of money. One gave a thousand rubles, another two thousand; many gave a hundred and fifty or two hundred. The rioters took the money, but only to fling the coin away and tear the paper to shreds, and then went on with their work. The only temptation which they could not resist was whiskey (vodka). In the cellars of wholesale spirit-warehouses, every barrel was staved in or the faucets were taken out, till the whiskey stood several feet deep and the barrels actually swam. Three men were saved from drowning only by the timely assistance of the soldiers. Many lay senseless about the streets, and were picked up in that condition hours afterward. 1 Yet, on the whole, the mob behaved—for a mob—with remarkable coolness and discrimination. Not a sin-gle Russian house or shop was touched, even by mistake, although protected only by crosses in white chalk on the doors and shutters, and occasionally by some saints' images (ikonas) and Easter loaves placed in the windows—a device which was found so efficient that the Jews did not fail to adopt it in other towns, where many saved their houses by it. Jews living in Christian houses were not molested; neither were Hebrew physicians and lawyers, they being considered useful members of society. Exceptions were made in favor of well-recommended individuals. Thus, at the door of one house belonging to a Jew, the mob is confronted by the porter: “Boys” says he, “leave him alone! He is a good man, and often gives you work. I have been ten years in his service.” “All right!” say the rioters, and pass on. When the outrages were stopped at last, and the excitement had worn itself out, the city presented the strangest, wildest aspect. The streets were as white as after a fall of snow; for one of the mob's chief amusements had been to rip up every feather-bed and pillow they came across, and fling out the contents. The wooden houses were shattered, the furniture broken to pieces and left in heaps, mingled with kitchen utensils and household goods of every kind. Here might be seen the hulk of a grand piano, with lid and legs wrenched off and strings hanging out; further on, fine mahogany reduced almost to chips, with velvet rags still clinging to them, and close to that the débris of painted furniture of the commonest description. Not a pane of glass, not a window frame, not a door was left whole. Inside the houses the same ravages had been committed every-where, with methodical regularity; every object, even the smallest, was broken or spoiled for use; the very stoves were demolished; nothing escaped destruc-tion. <strong>...</strong></p>Vial Marie-Léon - Le juif sectaire ou la tolérance talmudiqueurn:md5:6cb347e64f7ab48e439851753710fc102012-07-16T14:13:00+01:002022-01-15T03:11:25+00:00balderVial Marie-LéonCatholiqueChristianismeEx-LibrisFranceHébraïsmeKahalTalmud <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Vial_Marie-Leon_-_Le_juif_sectaire_ou_la_tolerance_talmudique_s.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Vial Marie-Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le juif sectaire ou la tolérance talmudique Les mystères du Kahal — documents authentiques — la trahison et la corruption, principe et moyen de gouvernement.</strong><br />
Année : 1899<br />
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Ce volume est l’esquisse, à grands traits, de la tolérance des juifs, à travers dix-neuf siècles, à l’égard des chrétiens, spécialement des chrétiens français qu’il est de mode aujourd’hui d’accuser tous les jours d’intolérance à l’égard des juifs. La tolérance — ou l’intolérance — des uns à l’égard des autres ressortira avec éclat, croyons-nous, de la situation faite aujourd’hui par une minorité d’environ cent cinquante mille juifs à une majorité de trente-huit millions de Français, catholiques à tous les degrés, pour avoir poussé la tolérance, il y a cent ans, envers ces étrangers, jusqu’à les admettre sur le pied de la plus stricte égalité, parmi les membres de la grande famille française. A la clarté aveuglante des événements contemporains, résultats inévitables d’un siècle d’expérience, une première conclusion s’impose : La France est perdue si elle ne brise et bref délai le réseau des tyrannies cosmopolites où elle étouffe et se débat dans les étreintes de l’agonie ! — Par quel moyen ? — Par l’union active de tous les Français sans distinction sur le terrain, seul pratique en ce moment, du patriotisme, c’est-à-dire de l’antisémitisme. Ce sera notre conclusion dernière. Nous dédions ce travail à Édouard Drumont comme un hommage affectueux du disciple au Maître, comme un tribut d’admiration à l’initiateur du mouvement providentiel en voie de sauver l’Algérie et qui sauvera la France, si, dans le secret dessein de Dieu, la France doit être sauvée ! L. Vial. Paris, 2 juin 1899. PREFACE La prophétie du juif Mirés « Si dans cinquante ans vous ne nous avez pas pendus, il ne vous restera pas de quoi acheter la corde pour le faire. » — Qui a dit cela ? — Le juif Mirés, en 1860. — De qui l’a-t-il dit ? — De ses coreligionnaires. — A qui ? — Au général Turr qui l’a répété au « dîner des Spartiates » chez les Goncourt qui l’ont fidèlement reproduit dans leur journal qui se publie en ce moment. « Dans cinquante ans ! » dit-il en 1860. Or, nous sommes en 1899 ! Donc en 1910 ! donc dans onze ans l’échéance ! Mais au train dont vont les événements, surtout avec l’affaire Dreyfus, il pourrait bien se faire que la prophétie ne l’attendît pas, pour se réaliser dans un sens ou dans l’autre ! Non pas que nous souhaitions le massacre des juifs ; nous le réprouvons au contraire de toutes nos forces ; ce n’est point par le crime qu’on doit réprimer le crime ! Mais nous réprouvons avec non moins de vigueur la croissante et criminelle audace des juifs qui font tout ce qu’il faut pour expliquer, sinon pour justifier les représailles sanglantes, au cas où elles se produiraient : Ce que l’audace juive justifie, en tout cas, ce sont les progrès chaque jour croissants de l’antisémitisme qui, lui, du moins, quoi qu’on en dise, ne réclame point la mort des juifs, mais leur simple amendement . 3 — C’est le même juif Mirés qui reçut une volée de bois-vert des Archives israélites (juin 1867), pour avoir dit qu’« Israël devait de la reconnaissance aux papes ». On sait que les juifs, au moyen âge, appelaient Rome « le Paradis des. juifs ». M. le député Rouanet incline pour les Archives israélites contre le juif Mirés et les juifs du moyen âge, puisqu’il a accusé l’Eglise, à la tribune, le 22 décembre 1898, « de ne-pas faire son devoir à l’égard des juifs ». 4 — Jamais M. Drumont, chef de l’antisémitisme, seul qualifié pour parler au nom du parti, n’a préconisé la mort violente des juifs ! En revanche, les chefs du sémitisme ont salué avec sympathie,-s’ils ne l’ont pas provoquée, la fondation de la Société « Morte la bête, mort le venin » qui « a pour but de lutter par tous les moyens, quels qu’ils soient, En tout cas, cet amendement, il l’exige, bien décidé à ne point capituler devant d’injustes, de criminelles résistances, dussent-elles se réfugier indéfiniment dans le « maquis de la procédure ». Qu’est-ce donc que l’antisémitisme ? L’Antisémitisme n’est pas une guerre religieuse « L’Antisémitisme, a dit avec vérité le sympathique député d’Espalion, M. Massabuau, n’est pas une doctrine, c’est une protestation, de telle sorte que si, demain, les causes légitimes de protestations antisémitiques venaient à disparaître, il n’y aurait plus d’antisémitisme. » L’antisémitisme, dans sa forme actuelle, est tout entier dans cette définition. « Il n’est pas une doctrine. » S’il était une doctrine, en effet, il combattrait la doctrine juive contenue dans le Talmud. Il flétrirait tes rabbins chargés d’enseigner cette doctrine, au nom de l’Etat, dans les séminaires rabbiniques et dans les synagogues. Il flétrirait l’Etat qui n’a pas honte de stipendier avec les deniers du peuple français ces docteurs d’une doctrine religieuse hostile à la doctrine religieuse de la grande majorité des Français. Voilà ce que l’antisémitisme ferait s’il était une doctrine. Mais il n’est pas une doctrine ; il n’est et ne veut être qu’une protestation contre les abus de pouvoir d’une minorité oppressive contre une majorité opprimée. Respectueux de l’article x de la Constitution des droits de l’homme et du citoyen : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions religieuses », les antisémites laissent aux juifs le bénéfice complet de cette clause d’une constitution inspirée cependant et préparée par eux — nous le verrons plus loin — et arrachée de vive force au vote de la Constituante. Les docteurs juifs peuvent enseigner à loisir leur doctrine de haine contre la doctrine catholique ; les fidèles juifs peuvent s’en instruire à leur gré, tous les jours, dans les séminaires rabbiniques et les synagogues. Jamais les antisémites, nous parlons des chefs, n’ont eu même l’idée d’un projet de loi, tendant ne fût-ce qu’à diminuer cette liberté religieuse, cependant exorbitante, d’une minorité juive. Les juifs en pourraient-ils dire autant à l’égard de la liberté religieuse de la grande majorité des Français, des catholiques ? <strong>...</strong></p>Brafman Jacob - Livre du Kahalurn:md5:0d34b62fefdd564bfcfc5433a6430f702012-07-15T01:34:00+01:002014-01-07T15:53:40+00:00balderBrafman JacobHébraïsmeKahalRussie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Brafman_L_-_Livre_du_Kahal_s.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Brafman Jacob</strong><br />
Ouvrage : <strong>Livre du Kahal Matériaux pour étudier le Judaïsme en Russie et son influence sur les populations parmi lesquelles il existe.</strong><br />
Année : 1873<br />
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Pendant le séjour de S. M-lé à Minsk, an 1858, je lui présentai un mémoire sur l'état et l'organisation sociale des juifs en Russie. Quelque temps après, par un ordre émané du S-t Synode, en date du 29 Avril 1859, je fus appelé à S-t Pétersbourg, pour donner des explications à l'égard de ce mémoire et ensuite, le 13 mai 1860, je fus nommé lecteur de la langue hébraïque au séminaire de Minsk. Je fus en même temps chargé de rechercher les moyens propres à aplanir les difficultés que rencontrent, de la part de leurs coreligionnaires, les Juifs qui désirent embrasser le christianisme. Connaissant à fond l'état des juifs, dont j'avais professé la religion jusqu'à l'age de 34 ans, je savais à quelle source je devais puiser les matériaux nécessaires à mon travail, et les moyens de me les procurer me furent fournis par son Eminence l'archevêque de Minsk Rlichel. Ma tâche fut également facilitée par le concours que me prêtèrent plusieurs juifs éclairés; grace à ces circonstances exceptionnelles, je me suis trouvé au bout d'un certain temps en possession de matériaux précieux qui suffi~aient non seulement au travail que je me proposais, mais encore ils peuvent servir à faire connaître l'état des juifs en général et leur organisation sociale religieuse en Russie. <strong>...</strong></p>Winrod Gerald Burton - The Truth About the Protocolsurn:md5:925ce0e58e98c8eb08b3b94e2ff274e82012-04-28T18:41:00+01:002013-12-06T13:11:51+00:00balderWinrod Gerald BurtonConspiracyJewKahalTalmudThe protocols of the learned elders of zionZohar <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Winrod_Gerald_Burton_-_The_Truth_About_the_Protocols_s.jpg" alt="" /><br />
Author : <strong>Winrod Gerald Burton</strong><br />
Title : <strong>The Truth About the Protocols</strong><br />
Year : 19**<br />
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AFTER observing the title of this book, some will accuse me of being anti- Semitic. If by this they mean that I am opposed to the Jews as a race or as a religion, I deny the allegation. But if they mean that I am opposed to a coterie of international Jewish bankers ruling the Gentile world by the power of gold, if they mean that I am opposed to international Jewish Communism, then I plead guilty to the charge. -- Winrod. THE BOOK. ON the shelves of the British Museum in the city of London there is a book in the Russian language, by Sergius A. Nilus, called the Protocols of the Wise Men of Zion. It contains twenty-four documents which purport to reveal the inner workings of a plot by certain international Jewish leaders to enslave the world through a dictatorship based upon the power of gold. Next to the Bible, this volume, translated into various languages, is perhaps the most widely read book in existence. The superintendent of the library told me that he constantly receives inquiries about it from all parts of the world. Its catalogue mark in the library is C 37.C.31. This book was received by the Museum August 10, 1906. It was purchased through regular trade channels and there was nothing extraordinary about the manner in which it reached England's greatest library. The first translation from the Russian into English was published by Eyre and Spottiswoode, official printers of the British government, in 1920. Victor E. Marsden, who had previously represented a London newspaper in Russia, made another translation about the same time. Because Mr. Marsden was a master in both languages, his work is generally regarded as being thoroughly accurate and dependable: He lived through the Russian revolution and was forced to spend considerable time in a Bolshevik prison. Injuries thus sustained, impaired his health and sent him back home a broken man. Later he accompanied the Prince of Wales on his tour of the British Empire but died suddenly afterwards. Nilus first published the Protocols in 1905, although they had come into his hands four years before. He regarded it a patriotic and religious duty to give them the widest possible circulation. From the beginning of the century, down to the present hour, the plot which these documents disclose has been fulfilled step by step. In them we see an advance unfoldment of the economic and political history of the nations. If the Protocols are forgeries, as some Jews assert, then it is a paradox, that everything which they outline should be coming to pass before our eyes. THE TALMUD. WHERE did the Protocols originate? It is necessary to examine this problem from three angles in order to arrive at a satisfactory answer to this question. First: the secret operations of ancient Jewish Kahal must be understood. Second: the rebirth of Jewish nationalism, involving the building of Zionism and Communism, must be studied. Third: the source from which Nilus claimed to have received the documents must be considered. Turning to the Encyclopaedia Britannica we find such phrases as "hidden doctrines", "hidden wisdom", and "mystic communion", used in discussing the mysterious nature and purpose of the Kahal. We are told that the germ of this organization "may be traced to sayings and beliefs mentioned in the Talmud and known to have existed among the gnostics." In my book, Adam Weishaupt, a Human Devil, we trace the vicious trail of Gnosticism from the beginning of the Christian era, through the centuries into occult Illuminism, and finally into modern Bolshevism. For this reason we will not dwell on the subject here. But because of the intimate relation between the Kahal and the Talmud it becomes necessary to consider certain succinct features of the latter at this time. It is exceedingly difficult to secure even extracts from the Talmud in the English language, so well have Jewish leaders succeeded in keeping these writings away from the Gentiles. In her discussion of subversive movements, Mrs. Nesta Webster of England, offers several quotations from the Talmud which include such statements as, "Kill the best of the Gentiles" and "Tradition tells us that the best of the Gentiles deserve death". Graetz, a writer on Jewish history, speaks of a converted Jew and former student of the Talmud by the name of Donin who, after his baptism in the thirteenth century, "brought charges against the Talmud saying that it was filled with abuse against the founder of the Christian religion . . . Donin demonstrated that it was the Talmud which prevented the Jews from accepting Christianity, and that without it they would certainly have abandoned their state of unbelief. He stated that the Talmudical writing taught it was a meritorious action to kill the best man among the Christians . . . that it was lawful to deceive a Christian without any scruple." What stronger argument for the authenticity of such quotations from the Talmud is needed than to contemplate the solemn fact that exactly this kind of a program of destruction is being carried out, particularly in Russia where the orgy of killing has resulted in the slaying of millions of Gentile Christians? Lady Queenborough says in her treatise Occult Theocracy, "The obligations and rules of the rite for the Jewish masses are contained in the Talmud and Schulchan Aruk, but the esoteric teachings for the higher initiates are to be found in the Cabala." "Therein are contained the mysterious rites for evocations, the indications and keys to practices for conjuration of supernatural forces, the science of numbers, astrology, etc." "The practical application of the Cabalist knowledge is manifested in the use made of it, through the ages, by Jews to gain influence both in the higher spheres of Gentile life and over the masses. Sovereigns and Popes, both, usually had one or more Jews as astrologers and advisers, and they frequently gave Jews control over their very life by employing them as physicians. Political power was thus gained by Jews in almost every Gentile country alongside with financial power, since Jewish court-bankers manipulated state funds and taxes." "With its B'nai B'rith Supreme Council as the directing head, the sect with its members swarming among all nations has become the sovereign power ruling in the councils of all nations and governing their political, economic, religious and educational policies." In exposing the nest of occultism which evil birds have built in the branches of Judaism, General Netchvolodow says in his book, Nicholas et les Juifs, "The Chaldean science acquired by many of the Jewish priests, during the captivity of Babylon, gave birth to the sect of the Pharisees whose name appears in the Holy Scriptures and in the writings of the Jewish historians after the captivity (606 B. C.)". The work of the celebrated scientist Munk leave no doubt on the point that the sect appeared during the period of the captivity. "From then dates the Cabala or Tradition of the Pharisees. For a long time their precepts were only transmitted orally but later they formed the Talmud and received their final form in the book called the Sepher ha Zohar." It was to this occult circle of heartless monsters that Jesus Christ addressed His powerful polemics, "Ye serpents, ye generation of vipers, how can ye escape the damnation of hell". "Ye are of your father the devil, and the lusts of your father ye will do. He was a murderer from the beginning, and abode not in the truth, because there is no truth in him. When he speaketh a lie, he speaketh of his own: for he is a liar, and the father of it." "Woe unto you, scribes and Pharisees, hypocrites! For ye are like unto whited sepulchres, which indeed appear beautiful outward, but are within full of dead men's bones, and of all uncleanness." Beyond doubt, this ring of conspirators was responsible for both the death of Christ and much of the persecution which the early Church suffered. Flavien Brenier, a recognized authority on the subject of Judaism, explains how the secret lodge of Pharisees attained their great power in Israel and succeeded in perverting the nation's leadership from spiritual ideals to physical channels. He says, "This group of intellectual pantheists was soon to acquire a directing influence over the Jewish nation. Nothing, moreover, likely to offend national sentiment ever appeared in their doctrines. However saturated with pantheistic Chaldeism they might have been, the Pharisees preserved their ethnic pride intact. This religion of Man divinised, which they had absorbed at Babylon, they conceived solely as applying to the profit of the Jew, the superior and predestined being. The promises of universal dominion which the orthodox Jew found in the Law, the Pharisees did not interpret in the sense of the reign of the God of Moses over the nations, but in that of a material domination to be imposed on the universe by the Jews. The awaited Messiah was no longer the Redeemer of original Sin, a spiritual victor who would lead the world, it was a temporal king, bloody with battle, who would make Israel master of the world and 'drag all peoples under the wheels of his chariot'. The Pharisees did not ask this enslavement of the nations of a mystical Jehovah, which they continued worshipping in public, only as a concession to popular opinion, for they expected its eventual consummation to be achieved by the secular patience of Israel and the use of human means." It was in this realm that the Talmud, comprising the writings of the rabbis, was cradled. The fundamental likeness of the Talmud and the Protocols is most significant. Israel has been cursed for centuries with the false Messianic ideal that she is entitled to rule the world. It would be ridiculous for anyone to say that powerful apostate Jewish leaders have no desire to attain race supremacy. Such an assertion would be contrary to every basic tenet of the Talmud. No doubt the great rank and file of Jews are ignorant of the subversive schemes which their leaders have set in motion at the top of Jewry. But when David sinned, the whole house of Israel suffered. A few quotations from the Talmud will suffice to show the true nature of its contents: "You axe human beings, but the nations of the world are not human but beasts." Baba Mecia 114,6. "On the house of the Goy, (Goy means unclean, and is the disparaging name for a non-Jew), one looks as on the fold of cattle." Tosefta, Erubin VIII. "When one sees inhabited houses of the 'Goy' one says, 'The Lord will destroy the house of the proud'. And when one sees them destroyed he says, 'The Lord God of Vengeance has revealed himself." The Babylonian Talmud, Berachot 58,6. "Those who do not own Torah and the prophets must all be killed. Who has power to kill them, let him kill them openly with the sword, if not, let him use artifices till they are done away with." Schulchan Aruch: Choszen Hamiszpat, 425,50. "A Jew may rob a Goy, he may cheat him over a bill, which should not be perceived by him, otherwise the name of God would become dishonoured." Schulchan Aruch, Choszen Hamiszpat, 318. "Should a Goy to whom a Jew owed some money die without his heirs knowing about the debt, the Jew is not bound to pay the debt." Schulchan Aruch, Choszen Hamiszpat 283,1. "The son of Noah, who would steal a farthing ought to be put to death, but an Israelite is allowed to do injury to a Goy; where it is written, Thou shalt not do injury to thy neighbor, is not said, Thou shalt not do injury to a Goy." Miszna, Sanhedryn, 57. "A thing lost by a Goy may not only be kept by the man who found it, but it is forbidden to give it back to him." Schulchan Aruch, Choszen Hamiszpat. 266,1. "Who took an oath in the presence of the Goys, the robbers, and the customhouse officer, is not responsible." Tosefta Szebnot, 11. The authors of the Talmud knew what it would mean if this horrible moral code ever became known among the Gentiles. Therefore, they incorporated the following statement into their writings to protect the leaders of the race who are responsible for putting the doctrines into practice, "To communicate anything to a Goy about our religious relations would be equal to the killing of all the Jews, for if the Goys knew what we teach about them, they would kill us openly." Book of Libbre David 37. From the above quotations one comes to understand that if the Protocols are bad, the Talmud is worse. But the primary purpose of these examples of perverted Israelitish literature is to show the background of the Kahal, the mysterious organization which has been built within the bounds of international Jewry for the purpose of putting the teachings of the Talmud into operation. Assuming for the moment that the Protocols are true, it is not difficult to see the spirit in which they were conceived. The Talmudic writings, growing out of a mixture of Babylonian paganism and Old Testament teachings, were responsible for the spiritual blindness of the Jewish leaders in the days of Christ. Hence His words recorded in Matthew 15:6, "Ye have made the commandment of God of none effect by your tradition". Secret societies, occult in nature and tainted with the moral pollution of Babylon, grew up among the ancient Jews. These poison nerve-centers became dotted throughout the nation. They were eventually enlarged into a system of invisible government which became known as the Kahal. This sinister organization was responsible for fomenting the revolt against the Romans under Hadrian that resulted in the dispersion of the Jews in the year A.D. 135. But far from destroying the Kahal, the scattering of the race only intensified its activity and increased its power by broadening its scope. Now instead of having a single organization concentrated in one place, the Kahal had expanded, into small units, scattered over all parts of the civilized world. It became the international underground organization which bound Jews everywhere into an organic whole. We learn on good authority, "Wherever Jewish emigrants settled, they founded communities apart under the direction of the fraternities, and held to the precepts of the Talmud. Each community had its representative, its Rabbi, its synagogue: it was a miniature Kahal. The different aims of these communities always found themselves intimately related with those of the central body upon which their existence depended. "For if the ruling clique or caste had begun by grinding down its own race, it now saw that, by drafting them into its organization, it could exploit the Gentiles on a far grander scale. The number of fraternities was increased by the addition of trade unions, every trade in which the Jews engaged being represented. To strengthen its control and to advance the interest of the Jews as a whole, it developed and perfected that system of espionage which it still maintains." Thus, in every locality where a Kahal existed there was always a state within a state. Each local unit shrouded itself in secret mysticism. An international system of Jewish occultism was thereby created. By this means it has been possible to bore under Christian and Gentile foundations. Outstanding individual Jews have always worked their way into positions of power and influence. Napoleon once asked, "By what miracle did whole provinces of France become heavily mortgaged to the Jews, when there are only sixty thousand of them in the country?". That the Jewish leaders scattered over the earth have maintained ways and means of communication, and have worked together through the centuries, is a fact that no informed person will take the trouble to deny. By this means a world-wide program of secret government, based upon the Talmud, has been kept intact with some of the mightiest leaders apparently hidden from the public view entirely. THE AWAKENING. IN the year 1897 the first Zionist Congress convened in Basel, Switzerland. This event is generally credited with being the pivot on which the rebirth of Jewish nationalism turned. Theodore Herzl, a Hungarian Jew, was elected president of the organization, a position which he held until the time of his death. The rebirth of international Jewry did not occur in a day. Years were required to work up the interest and mould the sentiment which was expressed on that occasion. Prior to this gathering there had been years of planning. Jewish leaders in different parts of the world had conceived simultaneously, the plan of uniting their dispersed nation into one solid mass. No doubt such a herculean task involved the exchange of many letters and several personal conversations through the channels of the international Kahal. The men who were directing this undertaking were figures of outstanding prominence in the political, economic and religious circles of the world. It was not an easy task to pull the loose ends of the scattered nation together and breathe new life into its organism. After years of preparation, finally a great quickening took place and Zionism was born. Would it be a misuse of words to designate men who were capable of performing such a feat as "Wise Men"? Would it be erroneous to call the written records of their deliberations, "Protocols"? Would it be wrong to refer to their finished plans as the "Protocols of the Wise Men of Zion"? That such a group of international Jews did actually collaborate over a period of years in planning the rebirth of the nation is a well attested fact. That some of them were actuated by sinister motives is evident. That the spirit of the Talmud and the occultism of the Kahal were manifested, is equally evident. Looking toward the West we discover that powerful Jewish movements had been established, over a period of years, in both the United States and the countries of Europe. Nathan Birnbaum, the man who created the name Zionism, had formed an organization called the Kadimah with headquarters in Vienna. Its avowed aim was to build a Jewish center in Palestine from which the world should be ruled through the three spheres of politics, economics and religion. According to his plan, members of the race were to be "planted" in every nation for the purpose of determining the policies of the nations. A similar movement had taken form in Russia, with its base in Odessa, under the leadership of a vicious fanatic by the name of Asher Ginzberg. He founded his order in 1889 and called it the "Sons of Moses". Ginzberg also used the name Ahadhaam and was known among his intimate followers as the "King of the Jews". These are the kind of men who blended their efforts for the purpose of building their people into a united body. As previously indicated, their advance preparations could be legitimately called Protocols since the dictionary definition of this word is, "The preliminary sketch or draft of an official document". The strange thing about the whole matter is not that such documents as the Protocols of the Wise Men of Zion should have been written; the miracle is that they should have ever reached the public eye. But frequently, in history, we find that plans have miscarried or providences have occurred, in which carefully hidden and secret schemes have leaked out. An instance of this kind occurred in the year 1785 when a man by the name of Jacob Lang was struck dead by lightning while walking with Adam Weishaupt, the founder of the Illuminati. When Lang's body was being prepared for burial, certain incriminating papers were found in his clothing which gave away many vital secrets of the organization. As a result, the property of the Illuminati was confiscated by the Bavarian government and a ban was placed upon its activities. Many people who attach importance to the Protocols regard it as nothing short of miraculous that these documents should have ever been made available to the general public. At different times in Jewish history other Protocols have been issued by leaders as in the year 1492 when Chemor, Chief Rabbi of Spain, wrote for advice to the Grand Sanhedrin located in Constantinople. He received the following instructions which may truly be called a fifteenth century Protocol, "Beloved brethren in Moses, we have received your letter in which you tell us of the anxieties and misfortunes which you are enduring. We are pierced by as great pain to hear it as yourselves. "The advice of the Grand Satraps and Rabbis is the following: "1. As for what you say that the King of Spain obliges you to become Christian: do it, since you cannot do otherwise. "2. As for what you say about the command to despoil you of your property: make your sons merchants that they may despoil, little by little, the Christians of theirs. "3. As for what you say about making attempts on your lives: make your sons doctors and apothecaries, that they may take away Christians' lives. "4. As for what you say of their destroying your synagogues: make your sons canons and clerics in order that they may destroy their churches. "5. As for the many other vexations you complain of: arrange that your sons become advocates and lawyers, and see that they always mix in affairs of State, that by putting Christians under your yoke you may dominate the world and be avenged on them. "6. Do not swerve from this order that we give you, because you will find by experience that, humiliated as you are, you will reach the actuality of power. "(Signed) Prince of the Jews of Constantinople." <strong>...</strong></p>