Balder Ex-Libris - Tag - MontréalReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearGodbout Dominique - Benjamin Franklin le grand illuminéurn:md5:e7e92d554140028bf9684ee361658f942016-08-24T15:37:00+01:002016-08-24T19:51:44+01:00balderGodbout DominiqueCanadaChristianityFranc-maçonnerieMontréalQuébecReligionRose-CroixÉtats-Unis <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Godbout_Dominique_-_Benjamin_Franklin_le_grand_illumine.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Godbout Dominique</strong><br />
Ouvrage : <strong>Benjamin Franklin le grand illuminé Son acolyte à Montréal, l’imprimeur Fleury Mesplet Son frère « Rose-Croix » de la Loge des Neuf Soeurs à Paris, l’infâme et pervers Voltaire Nos « Illuminés canadiens » Louis-Joseph Papineau et Wilfrid aurier</strong><br />
Année : 2001<br />
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Avant-propos. Le nom de Benjamin Franklin a été retenu par l’Histoire pour un double motif. Le premier consiste dans les travaux de cet autodidacte sur l’électricité. Le second, encore plus lumineux, relève de la politique : Franklin a été, comme on le sait, la cheville ouvrière de l’indépendance américaine. Tout ceci est très connu, pour avoir été largement rapporté, commenté et même proposé par l’historiographie traditionnelle comme modèle de succès personnel, social, politique et diplomatique. Succès obtenu, a-t-on répété, grâce à un labeur incessant de la part de Franklin, joint à un renoncement exemplaire en faveur de ses concitoyens et de l’idéal démocratique. C’est ainsi que le Bonhomme Franklin, comme on l’appelait en France à cause de sa simplicité, laissa la réputation d’un imprimeur laborieux, d’un parlementaire éclairé et d’un ambassadeur efficace. Étaient-ce là les seuls aspects à retenir sur la carrière de cet Américain célèbre ? N’y aurait-il pas, dans la vie de Benjamin Franklin, des tranches de vie gardées secrètes et dont l’importance réelle dépasserait celle des épisodes mieux relatés ? Précisément oui. La figure de cet homme, "aussi connue en France que la face de la lune", comme il aimait à le répéter, possédait bel et bien, tout comme l’astre de la nuit, son côté caché. Sait-on, par exemple, que la perte du Canada par la France est attribuable en très grande partie à l’influence de Franklin ? Que les plans secrets de ce dernier étaient d’abolir les systèmes monarchique, aristocratique et hiérarchique à travers le monde? Que ses activités obscures au sein de la franc-maçonnerie avaient pour objectif de chasser Dieu entièrement de l’esprit humain ? Et tout cela sous le couvert d’un dévouement sans bornes envers l’humanité, et derrière un visage montrant toutes les apparences de la bonté et de la simplicité ; visage reproduit à plaisir par une foule d’artistes français sous forme de portraits, de gravures, de statuettes, de bustes, de médaillons, etc. Sait-on enfin que la réalisation de ces bibelots, qui furent répandus partout en France, était financée par le support injustifiable du faible et naïf roi Louis XVI ? Et qu’elle avait pour but non avoué de magnifier démesurément le personnage de Franklin afin de lui permettre de répandre sournoisement, en même temps que son image, les idées les plus subversives dans les journaux officiels de l’État mis complaisamment à sa disposition par ce même Louis XVI ? Ce n’est donc pas sans raison que le grand biographe de Benjamin Franklin, Bernard Faÿ, a écrit que son «héros» avait été "l’acteur le plus doué de son temps" ; qu’il avait été "la figure la plus mystérieuse du XVIIe siècle", figure dont le sourire de bourgeois railleur n’avait "jamais été compris". Le temps est venu, croyons-nous, que ce «sourire énigmatique» soit enfin compris; que le mystère de cette figure soit révélée au grand jour ; que ce grand acteur du XVIIIe siècle mette bas son masque et se révèle à tous comme l’un des grands illuminés du Prince de ce monde. <strong>...</strong></p>Bariteau Claude - Québec 18 septembre 2001 Le monde pour horizonurn:md5:49901405d9c6efe69a69207892b6d7482015-02-20T00:28:00+00:002015-02-20T00:30:34+00:00balderBariteau ClaudeAmériquesBolchéviqueCentre de documentation et de propagandeConspirationHébraïsmeIsraëlMontréalQuébecRévolution <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Bariteau_Claude_-_Quebec_18_septembre_2001_Le_monde_pour_horizon.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bariteau Claude</strong><br />
Ouvrage : <strong>Québec 18 septembre 2001 Le monde pour horizon</strong><br />
Année : 1998<br />
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Deux voies conduisent à la souveraineté des États contemporains. Avec la première, l'État et l'essentiel de son territoire sont préexistants. Avec la seconde, une minorité nationale en est le moteur. C'est le cas au Québec depuis le début des années 1970. Dans ce livre, Claude Bariteau explique l'émergence du projet souverainiste actuel. Il révèle, entre autres, que ses assises culturelles ne sont pas indépendantes de l'application, au Québec, de l'Indirect Rule. Mode de gestion des colonies mis au point par les dirigeants britanniques, l'Indirect Rule conduit à la subordination puis à la dévalorisation de la culture des peuples conquis. Aussi, ces derniers ont-ils tendance à affirmer leur culture lorsqu’ils aspirent à la souveraineté. Par ailleurs, l'Indirect Rule implique le contrôle des populations conquises avec l'appui d'intermédiaires locaux associés aux détenteurs du pouvoir. La création du Canada en 1867 et sa redéfinition, en 1982, ont été fortement influencées par ce mode de gestion de telle sorte que la reproduction des élites fédéralistes québécoises en est toujours tributaire. Pour Bariteau, si la souveraineté se justifie amplement depuis le rapatriement de la Constitution, le processus de mondialisation en cours la rend incontournable. À ses yeux, les souverainistes devraient toutefois valoriser la citoyenneté, plutôt que la culture, en privilégiant un projet foncièrement civique d'inspiration social-démocrate. Ce faisant, les pièges de l'Indirect Rule seraient évités et le peuple québécois pourrait accéder, par exemple le 18 septembre 2001, au statut d'État souverain membre des Nations Unies. Claude Bariteau est anthropologue. Détenteur d'un doctorat de l'Université McGill, il est professeur au département d'anthropologie de l'Université Laval depuis 1976. Universitaire engagé, Le Devoir, La Presse, Le Soleil et L'Action nationale publient régulièrement ses réflexions sur le Québec. <strong>...</strong></p>Arcand Adrien - La révolte du matérialismeurn:md5:fbcd291800a7c85407af624ce5b22a582013-07-17T22:29:00+01:002022-01-11T00:24:48+00:00balderArcand AdrienBolchéviqueCanadaCommunismeConspirationEx-LibrisFranc-maçonnerieHébraïsmeMontréalQuébecRussieTalmudÉconomie <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Arcand_Adrien_-_La_revolte_du_materialisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Arcand Adrien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La révolte du matérialisme "Notre devoir devant les faits" Causerie prononcée à Montréal</strong><br />
Année : 1966<br />
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Préambule. La lutte à finir qui se poursuit de nos jours sur toute l’étendue de la terre, est vraiment la lutte du matérialisme contre tout spiritualisme, la bataille implacable de la matière contre l’esprit. Le Communisme qui régit tous les territoires dans l’orbite de Moscou, s’affirme ouvertement comme le culte et l’organisation du matérialisme ; il affirme que tout n’est que matière, qu’il n’y a ni au-delà, ni divinité, ni âme humaine. Donc, pas d’autre nécessité, pas d’autre foi, pas d’autre espoir qu’en la matière. La plupart des autres pays non-communistes sont régis de façon invisible par la franc-maçonnerie, dont les chefs suprêmes ont exactement les mêmes convictions et visent au même but final, mais par des moyens plus détournés, plus hypocrites, dosant tous leurs mouvements dans une gradation aussi diabolique qu’habile. Ce sont là des vérités sommaires, presque des lieux communs, que n’importe quel chercheur peut trouver en peu de temps. Mais néanmoins, ce n’est qu’une parcelle de vérité sur la question, un premier aperçu, et ce n’est pas encore suffisant pour comprendre pleinement le péril qui nous menace, pour nous en libérer, pour vaincre finalement l’ennemi. Quand on veut se donner la peine assez ardue d’explorer la grande conspiration dans son dernier repaire, on fait des découvertes vraiment étranges et l’on perçoit des choses que tout le dispositif de la conspiration ne permet pas de soupçonner. Je vous ferai grâce d’une infinité de détails là-dessus, et vous résumerai succinctement les faits. Ces faits constituent la Vérité, cette vérité qu’il n’est pas permis de publier, de dire, voire même d’avoir l’audace de tenter de connaître. La Vérité cachée, inconnue même des masses juives, la voici : L’or, maître du monde. La ploutocratie juive internationale, c’est-à-dire la Haute Banque Mondiale de l’Or, est l’autorité suprême qui conduit la vie financière et économique du monde. C’est de ce groupe que Henry Ford disait, en 1921 : « Eliminez cinquante juifs influents, et vous n’aurez plus de guerres, de révolutions, d’effondrements économiques, de crises de chômage ni de communisme. » Cette ploutocratie juive des rois de la finance réside à Wall Street ; elle a autant d’influence sur le Kremlin que sur la Maison Blanche. C’est ce qui explique que, en tout ce qui concerne l’avancement de la conspiration mondiale, Washington et Moscou ont conjugué leur action depuis 1933. Leurs mésententes ou querelles publiques, suscitées par Wall Street pour la galerie et pour dérouter l’opinion mondiale, ne nuisent en rien au progrès du complot. Leur affaire de Corée, par exemple, n’a servi qu’à instaurer l’armée ou la police mondiale, et à pousser l’Amérique à établir un système de militarisme et de garnison permanent, nécessaire pour étouffer les initiatives et les libertés des nationaux, tout en les dépouillant par les taxes et un coût de la vie toujours plus élevés. Cette ploutocratie juive exerce l’autorité et l’influence suprêmes sur le Communisme, sur la Franc-Maçonnerie et les autres associations et sectes qui en découlent. Les chefs suprêmes de la grande conspiration matérialiste ne sont pas des matérialistes. Ce sont ce qu’on appelle chez les ignorants de « bons juifs », des Juifs de synagogue, qui soutiennent la synagogue, et, au besoin, pour leurs fins, soutiennent des institutions chrétiennes. Les hommes « sans âme ». Ce qu’on appelle « le bon juif » est plus dangereux que le Juif non-pratiquant. Car le Juif de synagogue est complètement saturé de Talmudisme et il croit aux enseignements du Talmud, qui a fini par prévaloir sur la Torah ou l’Ancien Testament. Le Talmud, même dans ses éditions modernes, enseigne que le Dieu unipersonnel des Juifs, Jéhovah, ne reconnaît et n’aime qu’un seul peuple, qui est son élu, qui est le peuple saint, parce que seul le Juif a une âme ; que les autres êtres humains, les Gentils ou goyim sont des êtres sans âme, créés uniquement pour être utiles au Juif, pour le servir, pour l’enrichir, pour être conduits et régentés par le Juif. D’après le Talmud, toutes les religions des goyim sont des idolâtries et doivent être effacées de la terre, pour que seul le Judaïsme, la vraie religion, subsiste universellement. Lorsque seul le Judaïsme subsistera, les goyim devront en prendre connaissance et reconnaître enfin l’onction, la royauté d’Israël, devant laquelle ils devront docilement s’incliner, en acceptant leur sort définitif de serviteurs du peuple-élu. On se rappelle encore l’action en libelle intentée contre le journal La Croix, de Québec, par les Juifs. Devant le tribunal, l’un des rabbins les plus éminents de Montréal t témoignage. Lorsqu’il affirma que le Judaïsme croit à l’enseignement d’ « aimer Dieu et son prochain comme soi-même », la question lui fut posée : « Sous votre serment, est-ce que le non-juif peut être le prochain du juif ? » et il répondit catégoriquement : Non. La croyance juive est encore la même qu’au temps où le Christ racontait la parabole du bon Samaritain, qui scandalisa si fortement les rabbins de l’époque. L’irréligion, l’athéisme, prêchés par le communisme et les autres organisations, ne sont qu’à l’intention des Gentils, afin de les mieux subjuguer. Si le communisme parvenu au pouvoir frappe avec tant de fureur rageuse les religions et les temples des Gentils, il ne moleste pas la synagogue. Bien au contraire. Un bulletin de l’Intourist soviétique publié entre les deux guerres, nous donnait la photographie de la cathédrale Saint-Isaac, la plus grande de Léningrad, transformée en musée antireligieux. Depuis cette époque, on a bâti à Léningrad une synagogue nouvelle, aussi grande et imposante que n’importe quelle basilique majeure de Rome. La dernière édition de l’Encyclopédie Juive en donne la photographie, au mot Léningrad, et ajoute que le gouvernement soviétique a fourni une partie des fonds pour ériger cette énorme construction. Ainsi, pendant que le gouvernement juif de Moscou transformait les temples chrétiens en salles de danse, musées antireligieux, maisons de prostitution, clubs, écuries ou casernes, il bâtissait la reine des synagogues avec les trésors arrachés aux églises des Gentils. La domination du monde. En somme, la lutte du matérialisme, quand on comprend bien le fond de la question, est la lutte du spiritualisme judaïque contre tous les autres spiritualismes, par ticulièrement le spiritualisme chrétien. C’est le cadavre de l’Ancien Testament qui veut ressusciter et s’imposer sur les ruines du Nouveau Testament. Si, pour nous, goyim, ce doit être une affaire d’irréligion et d’athéisme, pour les Juifs c’est une affaire essentiellement religieuse, une poussée générale de tous leurs organismes vers un messianisme terrestre, vers la domination du monde par les Juifs, la domination du Judaïsme sur la pensée humaine. Voilà la vérité, l’unique Vérité, sur la conspiration communiste, la Vérité qu’il faut taire, et je sais ce qu’il en coûte pour avoir le courage de la dire. Si le Talmud disait la Vérité, s’il était vrai que nous n’avons pas d’âme, que nous ne sommes que du bétail, alors j’admettrais le premier que le plan juif est justifié, qu’Israël a raison et a droit d’agir comme il le fait, que son complot suprêmement logique avec ses prémisses a raison d’être et s’impose. Mais, malgré les prétentions d’Israël, nous avons une âme, nous avons un spiritualisme, et c’est ce qui fera la perte du Juif si convaincu du contraire, c’est ce qui fera avorter son complot et réduira à néant toute sa puissance et tous ses efforts. Et puisque nous avons une âme, il y a nécessairement un monde et une vie spirituels, il y a fatalement un Esprit suprême qui a fait cette âme, il y a un-Dieu, une Révélation et tout ce qui s’ensuit. <strong>...</strong></p>Bernard Henri - La Ligue de l'enseignement Histoire d'une conspiration maçonnique à Montréalurn:md5:33760b3d32a82427c7922c4953d4a5aa2012-03-05T23:50:00+00:002014-05-07T21:34:17+01:00balderBernard HenriEducationFranc-maçonnerieHébraïsmeMontréalQuébec <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Bernard_Henri_-_La_Ligue_de_l_enseignement_Histoire_d_une_conspiration_maconnique_a_Montreal_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bernard Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Ligue de l'enseignement Histoire d'une conspiration maçonnique à Montréal</strong><br />
Année : 1904<br />
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Notre modeste étude sur la Ligue de l'Enseignement a reçu un si bienveillant accueil, qu'en moins d'un mois la première [édition a été épuisée. Rien ne saurait mieux prouver l'opportunité de cette brochure. De tous côtés, nous sont venues des appréciations et des lettres si encourageantes, que nous n'avons pas hésité à faire paraître cette nouvelle édition. Nous avons profité de cette réimpression pour ajouter plusieurs chapitres et quelques notes. Ces additions, nous l'espérons, jetteront une nouvelle lumière sur notre Ligue canadienne, en montreront mieux le véritable but que les ligueurs ont tout intérêt à cacher pour le moment, même par des dénégations comme celles que vient de publier le Canada. Nous regrettons de ne pouvoir reproduire toutes les lettres et appréciations qui nous sont parvenues : nous aurons bientôt l'occasion d'en parler. Nous croyons cependant utile de reproduire dès aujourd'hui, la lettre que Monsieur le comte Albert de Mun, de l'Académie, et député français déjà si favorablement connu de tous nos lecteurs, a eu l'extrême obligeance de nous adresser. <strong>...</strong></p>