Balder Ex-Libris - Tag - ThéâtreReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearSchuré Edouard - La druidesseurn:md5:45c1b9e5bf9bf66ba16c39caecd8db6a2017-09-12T11:44:00+01:002018-04-14T19:55:29+01:00balderSchuré EdouardEuropeIcelandReligionScandinaviaThéâtre <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img4/Schure_Edouard_-_La_druidesse.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Schuré Edouard</strong><br />
Ouvrage : <strong>La druidesse</strong><br />
Année : 1914<br />
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Le Chêne d’Hû Gadarn. Au fond, sur une élévation rocheuse, le sanctuaire des Bellovaques est un temple druidique circulaire, bâti en pierres cyclopéennes. Ses colonnes massives sont des monolithes carrés, reliés entre eux par des blocs grossièrement équarris ; ouvertures entre le mur et le toit du temple ; celui-ci se compose d’une coupole ronde, formée de trois assises de pierres superposées. Un escalier de trois larges dalles conduit à la porte du temple placée au milieu. Sur le linteau supérieur de cette porte, on voit, comme une sorte de frontispice, un large bouclier rond, en bronze doré, avec au centre une tête échevelée en ronde-bosse, qui représente Bélen, le Soleil rayonnant. A la partie supérieure du bouclier, est attachée une magnifique chevelure de femme, d’un blond fauve, dont les nattes pendent sur le disque d’or. Devant la porte du temple, un trépied de bronze, où brûle une flamme légère. - Contre les murs du temple, des enseignes et des armes romaines sont disposées en trophées. A gauche, un chêne millénaire. Son tronc énorme est creusé, à sa base, par les siècles. Cet enfoncement forme une sorte de chapelle, où sont suspendues des armes, des étoffes et toutes sortes d’amulettes. Le branchage gigantesque et encore verdoyant de l’arbre s’étend par-dessus le temple druidique. Entre le temple et le grand chêne, une allée tortueuse d’arbres géants se perd dans la forêt épaisse. A droite, la demeure de l’Archidruide, formée par une caverne dans une colline rocheuse. Une porte de bronze, en forme de trapèze, la ferme. - Du même côté, sur le devant de la scène, la pierre du sacrifice, rocher brut, où une cavité forme une chaise naturelle pour la victime. Entre la demeure de l’Archidruide et le temple, une perspective s’ouvre sur un petit lac et les huttes rondes, à toit pointu, d’un village gaulois. <strong>...</strong></p>Céline - L'Egliseurn:md5:4e8f47fc4e954e50a71724681c33c2732016-07-15T07:30:00+01:002016-07-15T06:36:11+01:00balderCélineEuropeFrancePremière guerre mondialeThéâtreUnited StatesWoman <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Celine_-_L_Eglise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Céline (Destouches Louis Ferdinand)</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Eglise</strong><br />
Année : 1933<br />
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Préface. Dix ans qui viennent de passer... La pièce que vous allez lire nous vieillit d’autant... Pourtant nous n’avons pas changé grand’chose en la donnant hier à l’imprimeur... Tout de même... Cette petite Janine qui se résignait alors, nous l’avons fait revenir... avec un revolver... Trois lignes, tout à fait à la fin... Vous verrez... Elle va brutaliser notre comédie... Pourquoi ? Est-ce là tout ce que nous avons appris en dix ans ?... Mais vous-même ? L.-F. C.. <strong>...</strong></p>Céline - Progrèsurn:md5:13525735076b91ff81a7ee88e38545542016-07-15T07:16:00+01:002016-07-15T06:36:11+01:00balderCélineEuropeFranceThéâtreUnited StatesWoman <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Celine_-_Progres.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Céline (Destouches Louis Ferdinand)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Progrès</strong><br />
Année : 1927<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook2/Celine_-_Progres.zip">Celine_-_Progres.zip</a><br />
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Note de l'Éditeur. Madame Cécile Robert Denoël, la veuve de l’éditeur de Voyage au bout de la nuit, a bien voulu confier le manuscrit de ce texte que Céline lui-même lui avait offert au début de l’année 1933. Il s’agit d’un double dactylographique de cinquante-cinq feuillets numérotés de 2 à 54 sous couverture cartonnée et lacée. La page de couverture porte de la main de Céline le mot « Périclès », barré de trois traits transversaux et corrigé à côté en « Progrès ». En bas de page et à droite, sur deux lignes on peut lire : « Louis Destouches / 35 rue Vernet ». <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Les tribus du cinéma et du théâtreurn:md5:45ddb82bec7ff4d93c84e0b0d91d89822012-02-26T14:40:00+00:002022-01-10T22:49:06+00:00balderRebatet Lucien RomainCinémaEx-LibrisHébraïsmeLes juifs en FranceThéâtre <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Rebatet_Lucien_Romain_-_Les_tribus_du_cinema_et_du_theatre_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les tribus du cinéma et du théâtre Les juifs en France 4</strong><br />
Année : 1941<br />
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CHAPITRE PREMIER. COMMENT LES JUIFS ONT EU LA VOCATION DU CINÉMA. Je vais aborder ici l’un des chapitres les plus classiques, les plus ahurissants aussi de l’invasion juive en France. Pour montrer avec une clarté suffisante les étapes de cet incroyable fléau, il est nécessaire, je crois, de déborder un peu le cadre de cette collection. Le cinéma est essentiellement international Juifs qui l’ont saccagé chez nous appartenaient à l’espèce la plus insaisissable, la plus vagabonde. Il faudra franchir de temps à autre les frontières de notre pays pour bien découvrir la trame de leurs méfaits. Le cinéma a vu le jour en France. Ses précurseurs s’étaient nommés Étienne Marey, magnifique chercheur au nom trop peu connu, Émile Reynaud, Démeny, Le Prince. Au printemps 1895, les frères Auguste et Louis Lumière faisaient breveter le premier appareil de projection, et donnaient en décembre suivant, boulevard des Capucines, la première représentation publique de cinéma, devançant de six mois Edison qui poursuivait en Amérique des études parallèles aux leurs. On ne doit pas oublier non plus que deux autres pionniers de la photographie animée qui travaillaient à cette époque aux Etats-Unis s’appelaient Eugène Lauste, Parisien de Montmartre, et Jean- Acmé Le Roy, descendant d’émigrés français. Les premiers vulgarisateurs de la découverte, en même temps scénaristes, metteurs en scène, comédiens, opérateurs et exploitants de films ont été Charles Pathé et Léon Gaumont. Le premier artiste véritable du cinéma fut le délicieux bricoleur-poète Georges Méliès, créateur du premier studio et d’innombrables et féeriques truquages. Le premier commanditaire de films fut un honnête industriel du nom de Grivolas, offrant un million à Charles Pathé, qui avait débuté dans des baraques de fêtes foraines. Jusque-là, nous n’avons été qu’entre Aryens. Dans leur Histoire du Cinéma1, si vivante et si prodigieusement documentée, Maurice Bardèche et Robert Brasillach nous ont fait le tableau le plus pittoresque de l’entrée du Juif dans le « septième art » La chose se passa en Amérique aux alentours de 1900. Il y avait dans les ghettos de New-York et de Chicago quelques petits Juifs du nom de Marcus Loew, Adolphe Zukor, William Fox, Cari Laemmle, nomades débarqués d’autres ghettos obscurs de l’Europe orientale ou des impasses les plus sordides de Withechapel. Ils étaient tous fripiers, brocanteurs ou revendeurs de fourrures maquillées, plus ou moins receleurs ou carambouilleurs. Ces faméliques vagabonds étaient prêts à n’importe quoi. Ils n’avaient rien à perdre, ni réputation ni fortune. Ils tenaient l’Amérique pour la terre de tous les miracles. Avec les bénéfices de quelques petites filouteries et quelques centaines de dollars d’emprunt, ils se jetèrent frénétiquement sur la nouvelle découverte. On a beaucoup parlé de leur hardiesse. Le mot d’astuce conviendrait mieux. Les Lumière, Edison considéraient au plus leur admirable invention comme une curiosité scientifique, intéressante sans doute pour les laboratoires, mais dont le succès de spectacle serait bien vite épuisé. Edison, il est vrai, devait revenir de son erreur et défendre ses prérogatives avec une âpreté au gain fort remarquable. Mais les brocanteurs juifs étaient déjà solidement installés dans la place, plusieurs fois millionnaires et maîtres des premiers « circuits » de salles obscures. <strong>...</strong></p>