Balder Ex-Libris

Auteur : Covington Harold Armstead
Ouvrage : La brigade
Année : 2007

Lien de téléchargement : Covington_Harold_Armstead_-_La_brigade.zip

Avant-propos. La fiction, en nous sortant du quotidien, peut nous toucher profondément. Elle peut tout à la fois nous enseigner des choses et créer une mythologie mentale. Aujourd’hui, cependant, nous sommes de plus en plus assaillis de films et d’ouvrages hostiles, qui cherchent à promouvoir ce qui nous nuit, et qui rarement montrent les blancs exerçant leurs qualités uniques. Dans ce contexte, des oeuvres qui ravivent la flamme de l’esprit européen, qui nous passionnent dans leur récit et nous poussent à agir pour les nôtres, sont des gemmes précieuses. Chaque semaine le mercredi à 17h, dès mercredi prochain, sera publié sur Blanche Europe un chapitre du roman La Brigade. Je laisse la parole à l’auteur de la traduction pour nous présenter l’ouvrage et son contexte. Harold Covington est depuis des décennies une grande figure du mouvement nationaliste blanc aux Etats-Unis et un romancier prolifique, qui ne dissocie pas les deux aspects de son activité. Après avoir baroudé dans le mouvement national socialiste américain et vécu moult expériences en Rhodésie et en Irlande, il a fondé au début des années 2000 le Front du Nord-Ouest, qui apporte une proposition stratégique au mouvement nationaliste blanc. L’idée est de se séparer des Etats-Unis pour former une nation entièrement blanche et libre dans au moins trois états : le Washington, l’Oregon et l’Idaho. Les Etats-Unis sont vus par les séparatistes blancs comme un projet qui a échoué, une entité entièrement corrompue et déchue, au-delà de toute réparation possible. (Ce diagnostic est d’ailleurs partagé par les séparatistes des races sombres). La région du Nord-Ouest a été identifiée depuis longtemps par beaucoup de nationalistes blancs éminents comme étant le refuge stratégique, pour plusieurs raisons. C’est là que les Blancs sont encore très majoritaires, sauf par endroits dans les grandes villes. C’est là aussi qu’un vaste territoire et de grandes ressources agricoles et industrielles sont encore présentes, avec en plus une grande façade maritime qui désenclave le foyer national. C’est là enfin que les caractéristiques du territoire et le caractère de la population permettent le plus de livrer une guérilla. Le Northwest Front a rédigé depuis longtemps une esquisse de constitution, écrite par Covington et entre autres, David Lane. La création d’un tel Etat est vu par les séparatistes blanc comme une mesure d’urgence qui permettra enfin d’appliquer concrètement les « 14 mots » : Nous devons préserver l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants blancs (car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre). Le plan doit se dérouler en deux temps : tout d’abord appeler les Blancs conscients à migrer vers leur patrie, afin d’arriver à la masse critique permettant de passer à la deuxième phase : l’assaut contre ZOG par la guérilla, pour finir par la libération du territoire. Cette vision grandiose, Covington la développe dans une organisation, le Northwest Front, qui est basée doctrinalement sur une suite de 5 romans, qui forment une saga impressionnante. Fonder un mouvement politique sur de la littérature peut sembler étonnant, mais qu’est-ce que l’Histoire ? Une certaine trajectoire, dont les romans peuvent donner une vision enthousiasmante. Charlotte Corday n’a-t-elle pas puisé son inspiration chez Corneille pour abattre le tyran Marat ? Et pour revenir aux Etats-Unis, dans les années 80, l’organisation armée The Order dont faisaient partie Lane et Mathews, s’inspirait jusque dans son nom des Carnets de Turner de Pierce, qui peut être vu comme le précurseur. Covington vise la même chose, projetant l’avenir par le verbe pour que le rêve se réalise plus fort et plus vite. Mais on aperçoit chez Covington un sérieux et ambition de victoire vraiment très nette. Il faut remarquer que du point de vue littéraire, les romans de Covington sont supérieurs à ceux de Pierce : les personnages sont plus travaillés, les personnages secondaires sont plus nombreux, tous sont riches et vraiment typiques, l’intrigue est palpitante et le style est très vivant. Les romans de ce cycle révolutionnaire ont un éclat et une profondeur particulière pour deux raisons. D’une part, ils dépeignent avec réalisme tout un monde de Blancs de la classe ouvrière et de la classe moyenne de cette région, qui vit un grand réveil et découvre le sens de la liberté, dans un avenir proche où la tyrannie anti-blanche et la dégradation sociale et raciale atteint des sommets intolérables. D’autre part, ils montrent de façon didactique comment un mouvement insurrectionnel peut se construire, jusqu’aux détails les plus infimes et les plus techniques. Un peu comme chez Jack London, qui est une grande référence des socialistes nationaux aux Etats-Unis, un roman est un témoin portatif de vérités, un kit compact de tableaux vivants, d’enseignements sociaux et d’instructions politico-militaires. Roman le plus abouti de cette saga, The Brigade raconte l’histoire de la Brigade de Portland de la Northwest Volunter Army, de ses membres, de ses coups fumants contre la Bête. C’est pour cette raison que nous avons choisi de le traduire chapitre par chapitre (il y a 29 chapitres) pour le site Blanche Europe. ...